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Ces étranges déchets laissés par les OVNIS

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De même qu’il est fréquent de trouver des détritus là où s’arrêtent les touristes sur la route des vacances, il n’est pas rare de découvrir des résidus de différentes natures, là où se posent les ovnis. Ce n’est sans doute pas très écologique… néanmoins, ces rejets provenant d’un phénomène insaisissable dont nous ne connaissons pratiquement rien, sont d’un intérêt et d’une importance considérable. Leur étude pourrait bien en effet nous apporter de précieux renseignements sur la nature réelle des ovnis.
« Cheveux d’Anges »
Les ovnis surprennent parfois les témoins en laissant tomber sur leur passage une étrange matière que l’on a l’habitude d’appeler « Cheveux d’Anges ». Il s’agit de fils blanchâtres et floconneux qu’il ne faut pas confondre avec « les fils de la vierge » ces fils d’araignées emportés par le vent.
Voyons ensemble quelques exemples de chute de cette mystérieuse substance :
Le 17 octobre 1952, à Oloron-Sainte-Marie, dans les Pyrénées Atlantiques, de nombreuses personnes furent témoins des évolutions d’un objet en forme de cigare qui libéra une trentaine de soucoupes volantes pendant que des fils blanchâtres étaient observés descendant lentement vers le sol.
Ces fils offraient une petite résistance à la traction et se dissolvaient dans l’air après peu de temps. Le 27 octobre 1952, à Gaillac dans le Tarn, se produisit le même phénomène.
Des témoins observèrent un long cylindre qui évoluait dans le ciel en compagnie d’un grand nombre d’objets de forme discoïdale. De cette formation se détachait une matière bizarre ressemblant à une pluie de laine de verre.
Les témoins eurent la surprise de voir que cette substance, au contact du sol, devenait gélatineuse avant de fondre et de disparaître complètement. Ce jour-là, même les officiers de la gendarmerie furent témoins de l’événement.
Ils ne purent que constater l’importance de la chute sur le sol de cette substance non identifiée. II y avait des filaments sur une très grande surface au sol, sur les toits, ou encore accrochés au fils électriques…
Cette étrange substance semblait se dissoudre au contact de la peau des témoins…
“Cheveux d’anges” répandus au sol
Aux Etats Unis les photos qui furent prises pendant de tels évènements montrent des surfaces très étendues (aussi grandes que des terrains de football) recouvertes de ces cheveux d’Anges.
À Florence, le 27 octobre 1964 une pluie de Cheveux d’Anges eut de drôles de conséquences. En effet, les équipes de football de Florence et de Pistoia qui disputaient un match arrêtèrent de jouer pendant que les dix milles spectateurs du stade levaient la tête pour contempler les évolutions de deux boules lumineuses qui survolèrent le terrain de sport à trois reprises.
Au même moment des filaments de couleur blanche descendirent du ciel sur Florence et ses environs. Laissant toute la population dans la plus totale expectative !
Une substance poudreuse
Il arrive aussi que l’on trouve une substance poudreuse sur les sites présumés d’atterrissages d’ovnis. À la Roche en Brenil, le 5 novembre 1964, un objet fut aperçu posé dans un pâturage. Les témoins ont observé également trois humanoïdes évoluant autour de l’engin.
Finalement ils repartirent en laissant derrière eux une substance blanchâtre et une empreinte en forme de cercle de trois mètres de diamètre dans le sol qui avait l’apparence de la cendre.
Le 31 Janvier 1963, à Ganada de Algosaray en Argentine, deux frères virent un objet atterrir dans un jardin puis repartir instantanément. Ils remarquèrent que l’ovni avait laissé des traces dans l’herbe et alertèrent la police.
Dépêchés sur les lieux, des enquêteurs découvrirent une poudre blanchâtre sur le sol. Une matière semblable fut trouvée le même jour sur un autre lieu d’atterrissage, à Tucuman, toujours en Argentine. Cette double découverte exclut à priori un canular de la part des deux frères.
C’est à Bueno-Aires que des OVNIS ont laissé des traces de leur passage sous formes d’étranges champignons disposés en cercles de 8m de diamètre.
En novembre 1971, dans l ‘état du Texas, des témoins racontèrent avoir vu près du sol, un objet volant d’une luminosité aveuglante. Une enquête fut ouverte par un collaborateur du docteur Hyneck qui releva que la terre à l’endroit où s’était posé l’objet, avait une teneur en calcium de vingt à trente pour cent supérieure à celle des environs immédiats.
Le sol était recouvert d’une poudre blanche et la surface de la terre formait une croûte cassante et fragile. Cette anomalie se manifestait sur une portion de terrain qui avait la forme d’un anneau. Cet anneau était luminescent dès la tombée de la nuit.
Il est également important de noter que sur l’emplacement de tels atterrissages, avec présence de poudre blanche, la végétation ne repousse plus.
Analyse de la substance recueillie à Florence en 1964 :
Lors d’une rencontre de football interrompue  par une chute de “cheveux d’anges”, un élève ingénieur eut la présence d’esprit de déposer un peu de cette matière dans un tube de verre stérile qu’il porta rapidement à l’institut de chimie de l’université de Florence.
Dans le laboratoire, les professeurs Giovanni Canneri et Danilo Cozzi firent une rapide analyse microscopique et spectrographique. Ils découvrirent du bore, du silicone, du calcium et du magnésium.
Ils déclarèrent en outre, qu’une fois allumés les filaments brûlaient en laissant un résidu transparent et soluble. Conclusion fut tirée que l’on était en présence d’une substance à structure macromoléculaire inconnue.
Des subtances huileuses au sol
Comme certaines voitures en mauvais état sur une place de parking, les ovnis laissent parfois des taches suspectes sur le lieu de leur atterrissage ; le 5 août 1971 à Beugnies dans le Nord de la France, le fils de l’adjoint du maire de la commune découvrit une trace en forme de cercle d’un diamètre de 5 mètres 50 constituée d’une unique bande de matière blanchâtre et brillante d’une largeur de 15 centimètres.
La même substance était visible sur le feuillage d’une haie toute proche. Le 3 octobre 1954 près de la Rochelle, un objet de 5 mètres de diamètre sur 2 mètres 50 de hauteur abandonna des liquides huileux.
Le 9 octobre 1954, à Briatexte, dans le département du Tarn, un autre disque de 6 mètres de diamètre laissa des taches brunes et huileuses. Le 28 juillet 1966 à Montsoreau dans un champ de blé un objet lumineux ayant fait son “nid” sur une surface de 3 mètres de diamètre couvrit également le sol d’une substance huileuse.
Parfois se sont des gouttes d’un liquide étrange et épais qui attire l’attention des enquêteurs. Ainsi en juillet 1965, dans le vignoble de Saint Gervaziy du Gard, trente pieds de vigne portaient sur leurs feuilles d’étranges brûlures provoquées par des gouttelettes d’un produit gras.
Le 19 août de la même année deux étudiants virent un grand disque lumineux atterrir dans un champ près de l’institut polytechnique national de Mexico.
En plus des marques d’un tripode sur le sol et de l’herbe brûlée, les enquêteurs de l’institut national mexicain trouvèrent des gouttelettes qu’ils qualifièrent d’étranges, car de composition moléculaire inconnue mais proche de celle des huiles minérales.
Les propriétés de ces substances
En général, ces mystérieux liquides ont de curieuses propriétés que n’ont pas les huiles “classiques”. En 1964 aux Etats-Unis dans l’état de la Géorgie, un représentant nommé Parham, conduisait sa Chevrolet sur une route déserte vers une heure du matin, quand soudain il vit un objet brillant fonçant sur lui.
Le moteur de son véhicule eut des ratés et notre homme dû s’arrêter sur le bas côté de la route. Un ovni en forme de soucoupe volante descendit alors juste au-dessus de sa voiture. Soudainement la chaleur devint suffocante et Parmhan commença à paniquer.
Il resta blotti derrière le volant de son véhicule et fut rapidement soulagé lorsqu’il vit l’engin s’éloigner quelques instants plus tard. Il alla conter son aventure à la direction de l’aviation fédérale de l’aéroport de Spartanburg où des experts examinèrent sa voiture et découvrirent qu’un liquide avait coulé de l’engin et abîmé la peinture du toit et du capot du véhicule.
Les taches furent analysées à l’aide d’un compteur Geiger, et faut-il s’en étonner… Elles étaient radioactives !
Nous retrouvons aussi un liquide radioactif dans un cas daté du 16 août 1968. Les services de renseignements de l’aviation Argentine et la commission de l’énergie atomique de Buenos-Aires enquêtèrent ensemble sur un cas d’atterrissage signalé dans la région.
À l’endroit où le témoin déclarait avoir vu l’objet se poser, subsistait une tache de 50 cm de diamètre. À l’aide des compteurs Geiger on releva que cette portion de terrain était fortement radioactive.
La liste des résidus que l’on peut éventuellement rencontrer sur les lieux d’atterrissage de ces engins ne s’arrête pas là. On peut encore trouver différentes matières toutes plus étranges les unes que les autres.
Ainsi, le 12 mai 1962, après un atterrissage à Bahia-Bianca en Argentine, les témoins découvrirent des résidus carbonatés. Les laboratoires de l’université nationale du sud firent des analyses qui révélèrent la présence d’une forte proportion de carbonate de calcium et de traces de carbonates de potassium.
Le 11 septembre 1967, après le passage d’un ovni dans la province de Santa Fe, des résidus furent de nouveau analysés, on y trouva des traces de carbone, de magnésium, de fer, de nickel et d’aluminium.
Le même jour, toujours en Argentine, au cours d’une terrible tempête, toute une famille observa un grand objet lumineux qui laissait derrière lui une odeur désagréable et une fumée épaisse ressemblant à de la suie.
A Belo-Horizonte au Brésil, on découvrit près d’un lieu d’atterrissage, des grains noirâtres, légers, de formes irrégulières et qui s’écrasaient facilement entre les doigts en dégageant une odeur désagréable.
Ces grains furent portés à l’institut central des géo-sciences de l’université fédérale de Minas-Grais. Les résultats n’ont jamais été communiqués.
Résidus métalliques
Enfin, il arrive que l’on puisse récolter des résidus métalliques de certains ovnis, comme ce fut le cas dans le sud ouest du Brésil le 14 décembre 1954.
Ce jour-là, à Campinas, un grand nombre d’habitants de la ville, aperçurent, dans le courant de l’après-midi, trois objets en forme de disque dont l’un d’entre eux paraissait en difficulté. En effet, il oscillait très fortement et ne pouvait conserver son altitude.
Celui-ci descendit jusqu’à une centaine de mètres du sol et les témoins entendirent alors plusieurs bruits sourds qui semblaient correspondre aux changements de direction du disque. Avançant par bonds successifs, l’objet laissa échapper un mince filet de liquide argenté.
Puis il reprit de l’altitude et s’éloigna avec les deux autres objets restés en attente, comme s’ils avaient attendu que leur “collègue” reprenne le contrôle de son engin.
Des recherches dirigées par les autorités furent rapidement organisées pour retrouver trace du mystérieux liquide tombé au sol lors de l’oscillation du disque volant.
Il en fut retrouvé sur les toits et sur les chaussées ; et plusieurs dizaines de grammes furent recueillies et remises au gouvernement Brésilien. Un porte parole de ce dernier, déclara, peu de temps après, que la matière récupérée était de l’étain et que cette analyse ne permettait pas de conclure sur l’origine de sa formation.
Heureusement, tout le métal n’était pas tombé dans les mains des autorités… Ledocteur Risvaldo Maffei, chimiste d’état, en avait ramassé. Il déclara que si le métal en question contenait bien de l’étain, il contenait
aussi et surtout 10% d’un autre métal qu’il n’était pas parvenu à identifier.
Poissons, charbon et pluies étranges…
En 1887 dans le comté de Durham, Edward Cook se retrouva sous une étrange pluie. Au début de grosses gouttes d’eau commencèrent à tomber, puis des centaines de petites grenouilles de la taille du pouce tombèrent en même temps.
En 1794 une troupe de Napoléon se retrouva sous une pluie de crapauds, ils durent quitter l’endroit où ils campaient tellement il en tombait !
Plus récemment en 1973 des joueurs de golf en Arkansas virent des milliers de grenouilles tomber pendant une pluie très forte.
Il n’y a pas eu que des pluies d’animaux :
À Londres en 1877 dans les rues de Kilburn, il y eut une pluie de charbon qui provoqua de nombreux débats dans la plupart des pays du monde. En 1876 une pluie de viande se produisit dans le Kentucky.
Le 27 août 1968 une pluie de sang et de viande se déclara au Brésil. Cette information fut retransmise par de nombreux journalistes.
En 1971 une pluie de haricots se déroula toujours au Brésil. En 1687 des fragments d’un matériau noir et fibreux tombèrent près de la ville de Klaipeda dans la Baltique. Ces morceaux sentaient l’algue pourrie, étaient de grande taille et se déchiraient facilement…
L’odeur disparut quand les feuilles séchèrent… Pour la plupart des scientifiques, ces phénomènes sont dûs généralement à des tempêtes et des cyclones qui en passant dans certaines zones aspirent ces animaux ou ces objets et vont les déposer avec la pluie qui les accompagne un peu plus loin…
Cela n’explique pas pourquoi des zones non touchées par ces tempêtes rencontrent des phénomènes insolites… Pourquoi les pluies ne concernent-elles à chaque fois qu’une seule espèce d’animal, et pourquoi les animaux ont-ils le plus souvent la même taille, comme s’ils provenaient d’un élevage.
Charles Fort auteur du Livre des Damnés, a recensé quantité de ces phénomènes survenus tout au long des siècles. Une théorie vous est présentée dans cet article selon laquelle des engins extraterrestres perdraient parfois, ou se débarrasseraient volontairement d’une cargaison devenue inutile.
Conclusion
Depuis toujours, nous avons eu la visite d’engins inconnus qui nous ont “arrosé” de matières mystérieuses. Et si nous remontons dans le temps, nous apprenons qu’en mai 1652, près de Rome, une masse de gelée poisseuse tomba du ciel au moment même où un grand objet lumineux était observé.
En mars 1796, une grosse masse de gelée tomba à Lusatia d’une boule de feu aérienne. Ainsi, depuis des siècles, d’étranges substances tombent sur notre Terre.
Les phénomènes météo ne peuvent pas toujours être incriminés et la présence de radioactivité ne peut s’expliquer que par la présence de moteur à énergie nucléaire. Si les ovnis larguent parfois de mystérieuses substances, nous n’avons pas encore trouvé d’explications à leur nature, du moins dans l’état actuel et officiel de nos connaissances…
J’ai moi-même récupéré des résidus de Nickel que Marius Dewilde (voir Top Secret n°17) m’a généreusement offerts. Certains autres ont été jetés sur le bord de cette fameuse voie ferrée…
Voilà peut-être la raison de la fermeture de cette portion de voix qui est désormais interdite à tout passage et qui se voit gratifiée d’un accès strictement protégé ! (voir Top Secret n°18 page 17).
Source : Claude Burkel/Top Secret N°20
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Mort insolite de personnages célèbres a travers le temps

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Milon de Crotone : Lutteur grec. (?, -540) voulut tester sa force en essayant d'écarter un arbre entrouvert. Il s'y coinça les mains et fut dévoré par les loups. 





Milon
Milon de Crotone : Selon la légende, Milon, parvenu à un âge avancé, traversait l'Italie et, ayant trouvé en chemin un vieux chêne abattu et entrouvert, il entreprit d'achever de le fendre avec ses mains ; mais l'arbre retrouva son état d'origine, et l'athlète n'ayant pas eu le temps de retirer ses doigts, resta finalement prisonnier de l'arbre, ses mains étant prises comme dans un étau : il ne put se dégager, et, incapable de se défendre, il fut dévoré par des loups. Dans un tableau réalisé vers 1535 par le Pordenone (Milon dévoré par le lion, University of Chicago), l'artiste a remplacé les loups par des fauves africains. Cette fantaisie artistique se retrouve, un siècle et demi plus tard, dans le célèbre groupe de marbre de Pierre Puget conservé au Louvre : Milon de Crotone (1682).







Eschyle
Eschyle (-525, -456)  était un dramaturge grec, considéré comme le père de la tragédie grecque. Ironiquement, sa mort tiendrait pourtant plus de l'insolite ou du comique. Mort en Sicile d'une chute de tortue sur le crâne ! (la tortue en question avait été cueillie par un aigle - en fait un gypaète barbu - qui venait de la lâcher, confondant le crâne chauve avec un caillou).Certains rapaces lâchent leurs proies de haut afin de pouvoir les dévorer plus facilement une fois qu'elles se sont écrasées au sol.












Empédocle
Empédocle (-490, -430), philosophe grec. Sauta dans l'Etna en activité. (sans doute pour prouver son immortalité...) et on ne retrouva que sa sandaleLa vie d'Empédocle nous est mal connue et a parfois un caractère légendaire manifestement dû à sa personnalité quelque peu excentrique. Il fut un personnage important d'Agrigente, défenseur de la démocratie. Il fut banni et termina sa vie dans le Péloponnèse. D'après la légende, Empédocle se jeta dans les fournaises de l'Etna en abandonnant sur le bord une de ses sandales , preuve de sa mort. Cette histoire est toutefois réfutée par Strabon.









Diogène de Sinope
Diogène de Sinope  (v.-413, v.-327) philosophe grec. Une première version indique qu'ayant volé de la nourriture à un chien, ce dernier l'aurait mordu, et qu'il serait mort suite à l'infection de la morsure. Une seconde version voudrait qu’il se soit suicidé en se mordant les lèvres pour se couper la respiration (quasiment impossible !), une autre plus amusante qu'il aurait absorbé un poulpe cru... mais il est peut-être aussi décédé de mort naturelle, de qui n'a plus rien d'insolite ! 









Philemon
Philemon (-362, -262) Poète comique grec, serait aussi mort d'une crise de fou rire provoquée par une de ses propres blagues alors qu'il allait être couronné sur scène à l'occasion de ses 100 ans ! Il décéda à un âge très avancé, presque centenaire. Sa mort nous est contée de manière fort diverse selon les auteurs .









Chrysippus
Chrysippus (-279, -206), philosophe stoïcien grec :  fit boire du vin à son animal domestique ( âne ou singe ) , et s'écroula de rire au sens propre comme au figuré en le regardant essayer, complètement ivre, d'attraper des figues pour les manger.
 














Claudius Drusus
Claudius Drusus (-38,  -9 av. J.-C), Fils aîné de l'empereur Claude et de Plautia. S'amuse à lancer une poire en l'air et à la rattraper avec la bouche : Mort étouffé ! 
Il avait été fiancé, peu de jours avant ce malheur, à la fille de Séjan; ce qui me semble prouver d'autant plus que Séjan ne fut point l'auteur de sa mort, comme le bruit en avait couru. 











Pline l'Ancien (23-79), écrivain et naturaliste romain, mort d'une crise cardiaque en assistant à l'éruption du Vésuve.
(en latin Gaius Plinius Secundus), né en 23ap. J.-C. à Novum Comum (l'actuelle Côme) dans le nord de l'Italie et mort en 79, à Stabies (Stabia en latin), près dePompéi 


Jovien (332-364), empereur romain, mort asphyxié par le monoxyde de carbone d'un brasero 









Théodebert
Théodebert1er (ou Thibert) (504-548) roi d'Austrasie de 547 à 548, tué par un bison pendant une partie de chasse ! Thibert Ier ou Théodebert Ier (Thiodoberkht, Brillant dans le peuple), né vers 500 et mort en 548, est un roi des Francs. Comme son père Thierry, il règne sur les parties orientales de l'ancien royaume de Clovis. Sa capitale est Reims.
















Louis III le jeune  (v.863-882) Roi de France. Louis III meurt le 5 août 882, âgé d'environ 18 ans. Il se fracasse le crâne contre le linteau d'une porte trop basse et tombe de cheval alors qu'il poursuivait la fille d'un certain Germond, courue se réfugier dans la maison de son père. Son corps est inhumé à Saint-Denis. Son frère Carloman devient le seul roi de Francie occidentale.












Sigurd Eysteinsson
Sigurd Eysteinsson (?-v.892) Souverain viking ayant régné sur le nord de l'Ecosse. Tué par la tête décapité d'un de ses ennemis (La tête sanglée à la selle de son cheval, cognait contre la jambe de Sigurd, et une dent infecté finit par le griffer. La plaie s'est infectée et Sigurd est mort !)















Philippe de France 
Philippe de France (1116-1131) fils aîné du roi Louis VI le Gros et donc dauphin du royaume. Se balade à cheval dans Paris quand son cheval heurte un cochon. le cheval se cabre, Philippe est désarçonné, se fracasse le crâne contre une pierre et meurt peu après. 















Henri Ier d'Angleterre
Henri Ier d'Angleterre (1068-1135) Indigestion de lamproies (murènes)
Henri Ier est le plus jeune fils de Guillaume le Conquérant. Il succède à son frère Guillaume II le Roux sur le trône d'Angleterre en 1100, et s'empare du duché de Normandie aux dépens de son frère Robert en 1106.
Il est surnommé « Lion de Justice » pour son amélioration des rouages rudimentaires de l'administration et de l'appareil législatif du pays.














Adrien IV
Adrien IV  (v.1100-1159) Anglais, élu pape en 1154 ! Serait mort étouffé en avalant une mouche avec son verre de vin !
Son corps est d'abord inhumé dans une tombe de granite rose de la basilique Saint-Pierre, en face du maître autel de l'oratoire de la Vierge. Sa tombe est plus tard déplacée dans les grottes vaticanes.














Frédéric Barberousse
Frédéric Barberousse (1122-1190), Empereur d'occident, veut se baigner dans un fleuve mais oublie d'enlever son armure, il coule et meurt noyé.

Né vers 1122 à Waiblingen ou à Weingarten près de Ravensbourg, Frédéric est un prince de la dynastie des Hohenstaufen, duc de Souabe de 1147 à 1152 sous le nom de Frédéric III. Il a été élu roi des Romains en 1152 et couronné empereur germanique en 1155. Il a gagné son surnom du fait de son éblouissante barbe rousse.










Jean XXI
Jean XXI (1220-1277) Ophtalmo avant d'être pape en 1276. Tué par la chute d'un plafond dans ses appartements pontificaux.
Il commence ses études dans l'école cathédrale de Lisbonne, et fréquente ensuite l'université de Paris puis celle de Montpellier, où il étudie la médecine et la théologie, accordant une attention particulière aux conférences de dialectique, de logique, et, surtout, à la physique et à la métaphysique d'Aristote. 












Bertrand du Guesclin
Bertrand du Guesclin (1320-1380) : Connétable de France (autrement dit général en chef des armées du roi)de Charles V. Excès d'eau glacée après une bataille sous une chaleur torride.

















Martin 1er d'Aragon
Martin 1er d'Aragon (1356-1410) Meurt étouffé d'une double crise, de rire incontrôlable, mêlée à une indigestion.
Cette mort déclenche une guerre de succession pour la couronne d'Aragon. L'héritier mâle le plus proche est le comte Jacques II d'Urgell qui n'a que peu de soutien dans les royaumes d'Aragon et de Valence. Le duc d'Anjou Louis II, petit-fils du roi Jean Ier est aussi un candidat possible. Il est probable que Martin espère avec le soutien du pape Benoît XIII légitimer son petit-fils Frédéric, mais il meurt en 1410 sans désigner de successeur.








Paul II
Paul II (1417-1471) élu pape en 1468. Mort en 1471 en se faisant sodomiser par un jeune page (serviteur )(ou vice-versa). La version officielle parle d'indigestion de melons, on a ensuite suggéré qu'ils aient pu être empoisonnés. On parle aussi de mort par apoplexie (aujourd'hui on dit AVC) mais sans toujours préciser s'il était seul et ce qu'il faisait.












Georges Plantagenêt
Georges Plantagenêt (1449-1478) Lord anglais condamné pour complot contre son frère, le roi Édouard IV. Il n'est pas question de lister ici tous les personnages mort de tortures diverses et variées (l'imagination humaine en ce domaine dépassant les bornes) mais faisons une exception pour ce Georges Plantagenêt qui aurait choisit lui-même d'être exécuté par noyade dans une barrique de vin. (et le fait est que quand son corps fut exhumé on constata qu'il n'avait pas été décapité, le moyen d'exécution ordinaire pour les gens de sa condition à l'époque).










CharlesVIII
Charles VIII (1470-1498) roi de France, heurte en courant un linteau de porte et décède peu après.
Seul fils de Louis XI et de sa deuxième épouse Charlotte de Savoie à ne pas être mort en bas âge, il est le septième et dernier roi de la succession directe de la branche des Valoisde la dynastie capétienne. Devenu roi à l'âge de treize ans, il fut placé sous la tutelle de sa sœur Anne de Beaujeu, régente de France. À vingt-et-un ans (en 1491), il se marie à Anne de Bretagne, préparant ainsi l'union du duché de Bretagne au royaume de France. Son règne vit la perte du comté d'Artois, du comté de Bourgogne et du comté de Roussillon annexés par son père Louis XI (1493). Son expédition pour conquérir le royaume de Naples constitue le point de départ des guerres d'Italie (1494). 






Alexandre VI
Alexandre VI (Rodrigo Borgia) : né en 1435, Pape de 1492 à 1503. Ayant préparé du poison pour quelques convives, il se mélangea les crayons entre les verres et but celui qui contenait le poison.
Il est connu pour ses mœurs dissolues. Son pontificat est marqué en 1493 par la bulle Inter caetera, qui partageait le Nouveau Monde entre l'Espagne et le Portugal.















Maximilien 1er
Maximilien 1er de Habsbourg (1459-1519) Meurt d'une indigestion de melons en revenant de la chasse. Fut empereur des Romains de1508 à sa mort , dès les premières années de son règne, il réunit sous sa couronne, outre l'Autriche, le Tyrol et le comté de Gorice (ce dernier acquis en 1500 à la mort du dernier comte de la dynastie homonyme), une partie importante des États bourguignons de Charles le Téméraire dont il a épousé, en avril 1477, la fille et unique héritière Marie de Bourgogne. Son règne est marqué par le rétablissement militaire et politique de la situation des Habsbourg et une modernisation de l’administration du Saint-Empire romain.










Fernando
Fernando de Magellan (1480-1521) Navigateur portugais, n'a jamais terminé son tour du monde, tué aux Philippines (dans une bataille où les espagnols étaient à 60 contre 2000), il fut ensuite très probablement consommé par les autochtones cannibales. 








Vlad VII Inecatul
Vlad VII Inecatul (v1508-1532) Prince de Valachie (1530-1532) Un jour qu'il était particulièrement imbibé d'alcool, il chevaucha sa monture dans la Dambovita et s'y noya ...
Vlad est le fils et homonyme de Vlad V cel Tânăr ou Vladut et de Anca, fille de Rada et sœur du Jupan Stoian de Sărata. Il est prince de Valachie de juin 1530 au 18 septembre 1532, date à laquelle il se noie accidentellement dans le Lac de Snagov proche du monastère homonyme d'où son surnom. En 1531, il avait épousé Ana, morte en 1542/1546 et fille du prince Pierre IV Rareș de Moldavie. 






Pierre l'Aretin
Pierre l'Aretin (1492-1556), auteur italien, auteur d'ouvrages érotiques. Au cours d'un repas entre amis, il entend une histoire grivoise qui lui provoque un tel fou rire qu'il dégringole de sa chaise et se fend le crâne ! L’Arétin était un ami personnel du Titien, qui fit au moins trois portraits de lui. Après sa mort, le pape Paul IV mit ses livres à l’Index. Il fut un proche de Giuseppe Betussi.
 














Humayun
Humayun (1508-1556) Empereur moghol de l'Inde .Un soir, après avoir observé Venus du toit de sa bibliothèque, il redescend et entend l'appel à la prière, il veut mettre un genoux à terre, se prend dans les plis de son vêtement et dévale l'escalier. Meurt de ses blessures trois jours après. Sa bégum Hamidâ lui construira un mausolée à Delhi, le modèle des tombes mogholes avec jardin.












Pie IV
Pie IV (1499-1565) élu pape en 1559. Mort (sans doute d'épectase) dans les bras d'Elvira Cagliari, courtisane romaine. Inhumé d'abord à la basilique Saint-Pierre, il est ensuite transféré à Sainte-Marie-des-Anges, dessinée sous son pontificat par Michel-Ange.















Henri II
Henri II (1519-1559) Le 30 juin 1559, célébrant les noces de sa fille, il s'exhibe en un tournoi pacifique. Son partenaire, Gabriel de Montgomery, le blesse d'un coup de lance dans l'œil. Henri II décédera 10 jours plus tard. Sacré roi de France le 26 juillet 1547 à Reims, il prend comme emblème le croissant de lune, qui est depuis toujours celui de la maison d'Orléans à laquelle il appartient en tant que fils cadet de François Ier (et non pas l'emblème de Diane de Poitiers, comme on a pu souvent le croire).










Antoine de Bourbon
Antoine de Bourbon (1518-1562) : Père d’Henri IV. Pendant le siège de Rouen, il profite d'une tournée d'inspection pour aller pisser contre les remparts de la ville. Un coup d'arquebuse le blesse grièvement. Il décédera quelques jours plus tard. Ce fait inspira à Voltaire cet épitaphe : "Ami François, le prince ici gisant vécut sans gloire, et mourut en pissant."













Nanda Bayin (?-1599) roi de Birmanie. (1581-1599) Mort de rire (littéralement) en apprenant que Venise était une république. 











Tycho Brahe
Tycho Brahe (1546-1601), Astronome danois, mort de septicémie suite à rétention volontaire d'urine. (Brahé en voyage avec l'empereur Rodolphe II, n'osa pas lui demander de s'arrêter pour pisser)..
Tyge Ottesen Brahe (jeune homme, il latinise son prénom en Tycho), est un astronome danois, issu d'une grande famille associée de longue date aux affaires du royaume. Sa région natale, la Scanie, fait maintenant partie de la Suède.
 












Francis Bacon
Francis Bacon (1561-1626) Philosophe et homme d'état anglais, mort d'une pneumonie un jour qu'il avait acheté un poulet qu'il avait farci à la neige (afin de tester les possibilités de conservation par le froid)












Thomas Urquhart
Thomas Urquhart (1611-1660) Auteur écossais et traducteur de l'œuvre de Rabelais en langue anglaise. Saisit d'un fou rire fatal en apprenant l'obtention du trône d'Angleterre par Charles II (après la période de Cromwell)












François Vatel
François Vatel (1631-1671) Chef cuisinier de Louis XIV et inventeur de la crème Chantilly, s'est suicidé à coups d'épée à cause du stress provoqué par la certitude qu'il avait que la "marée" n'arrivait pas dans les temps pour le repas. (en fait elle est arrivée à temps, mais Vatel était déjà mort)















Lully
Jean-Baptiste Lully (1632-1687) au cours d'une répétition, il se met en colère et frappe le sol de sa canne qui à l'époque servait à battre la mesure. Il se laboure le gros orteil, mal soigné, la gangrène l'emporta ...
Par ses dons de musicien et d'organisateur aussi bien que de courtisan, voire d'intrigant, Lully domina l'ensemble de la vie musicale en France à l'époque du Roi-Soleil. Il fut l'un des principaux promoteurs du développement de plusieurs formes de musique qu'il organisa ou conçut : la tragédie en musique, le grand motet, l'ouverture à la française. Son influence sur toute la musique européenne de son époque fut grande, et de nombreux compositeurs parmi les plus doués (Henry Purcell, Georg Friedrich Haendel, Johann Sebastian Bach, Jean-Philippe Rameau) lui sont redevables à un titre ou un autre.







Henry Purcell
Henry Purcell (1659-1695): Compositeur anglais : Version 1 : Il rentre tard du théâtre, constate que sa femme a verrouillé la porte et qu'elle n'entend ni ses cris ni ses coups à la porte, du coup il attrape froid et en meurt. Version 2 : intoxication au chocolat. Version 3 (qui n'a rien d'originale) : Tuberculose !
né et mort à Londres dans le quartier de Westminster. Purcell compte parmi les plus grands compositeurs anglais. Purcell a incorporé à sa musique des éléments des styles baroques français et italien, mais a développé un style anglais particulier.










L'abbé Prévost
L'abbé Prévost (1697-1763) auteur de Manon Lescault, retrouvé inanimé en pleine cambrousse. On pratique une autopsie pour connaître la cause de la mort, et l'abbé se met à hurler... trop tard, il venait de mourir d'un coup de bistouri.
romancier, historien, journaliste, traducteur et homme d'Église français, né le 1er avril 1697 à Hesdin et mort le 25 novembre 1763 à Courteuil. 












Clément XIV
Clément XIV (pape) (1705-1774) Mort empoisonné par la personne chargé de tester les plats (pour éviter les empoisonnements, justement) et qui ce jour là lui avait servi de la pastèque ! Il est particulièrement connu pour avoir supprimé la Compagnie de Jésus le 21 juillet 1773 et pour avoir fondé les Musées du Vatican. 













Adolf Frédéric
Adolf Frédéric de Suède (1710-1771) Indigestion : il avait le jour de sa mort, consommé un repas composé de homard, de caviar, de choucroute, de hareng fumé arrosé au champagne... quant au dessert ce fut 14 portions de semla (brioche) servi dans un bol de lait chaud. Les écoliers suédois se souviennent de lui comme « le roi qui mangea jusqu'à en mourir »
 












James Cook
James Cook (1728-1779) Navigateur et explorateur britannique. Lynché à mort par des indigènes hawaïens lors d'une escale. Ceux-ci emportèrent le corps et le gardèrent plusieurs jours. Quand ils le restituèrent aux anglais, il en manquait des morceaux ! Sans doute ont-ils été consommés ! Accédant au grade de capitaine de la Royal Navy, il fait trois voyages dans l’océan Pacifique à l’occasion desquels il est le premier Européen à débarquer sur la côte Est de l’Australie, en Nouvelle-Calédonie, aux îles Sandwich du Sud et à Hawaï. Il est également le premier navigateur à faire le tour de l'Antarctique et à cartographierTerre-Neuve et la Nouvelle-Zélande.
 





Nicolas Gilbert
Nicolas Gilbert (1750-1780) Poète français mort après avoir avalé une clé dans un moment de démence.
Peu avant sa mort, il écrit une Ode imitée de plusieurs psaumes, plus généralement connue sous le nom d'Adieux à la vie, un poème dont la thématique pré-romantique sera reprise par Alfred de Vigny dans Stello et Chatterton .















Jean-Pierre Blanchard 
Jean-Pierre Blanchard : (1753-1809) Pionnier de la navigation en ballon, frappé d'apoplexie pendant sa 66 ème ascension et ne pouvant maintenir le ballon, il fait une chute de 20 mètres, il mourra de ses blessures un an plus tard. Sa femme mourra des suites d'un incendie de ballon en 1819
















Alix de Lamartine
Alix de Lamartine (1766-1829), écrivain et mère du poète, elle s'ébouillante mortellement en tentant de débloquer le robinet d'eau chaude de sa baignoire. 
Elle ouvrit son premier cahier en 1801 et ferma le dernier en 1829. Son fils reprit cette œuvre et la publia, en supprimant les passages trop intimes et en y effectuant des amendements.
Émue à l'annonce de l'élection de son fils à l’Académie française, elle s'ébouillanta en tentant de prendre un bain pour reprendre son calme et mourut après quelques jours d’agonie .












Richard Parkes Bonington
Richard Parkes Bonington (1802-1828) peintre anglais mort d'une insolation en Normandie (authentique)


Je voudrais tirer au clair les versions sur la mort de Bonnington ; dans l'article de Wikipedia il serait mort de tuberculose à Londres alors que dans d'autres sources il est mort suite à une insolation après avoir peint sur une plage normande? Je me rappelle aussi avoir vu l'exposition qui lui était consacrée au Petit Palais,il y a des années où il était indiqué dans sa biographie < mort d'insolation !








Evariste Galois
Evariste Galois (1811-1832) Mathématicien de génie, il accepte de se battre en duel au pistolet avec un rival en amour, en sachant qu'une seule des deux armes qu'il devra choisir au hasard sera chargée. Il fit la mauvaise pioche.  mathématicien français, qui a donné son nom à une branche des mathématiques dont il a posé les prémisses, la théorie de Galois. Il est un précurseur dans la notion de groupenb  et un des premiers à mettre en évidence la correspondance entre symétries et invariants3. Sa « théorie de l'ambiguïté »4 est toujours féconde au xxie siècle. Elle a ainsi permis, par exemple, à Felix Kleind'élaborer en 1877 la théorie des revêtements puis à Alexandre Grothendieck, en 1960, de fusionner théorie de Galois et théorie des revêtements.






William Harrison
William Harrison (1773-1841), président des États-Unis. Le jour de son investiture il fait un discours d’une heure et demie sous une pluie glaciale. Il choppe une pneumonie et décède un mois après.
Après une carrière militaire et politique dans l'Ohio, il accéda à la présidence en 1840 à l'âge de 68 ans. John Tyler, lui succéda.
 










Allan Pinkerton
Allan Pinkerton (1819-1884) Célèbre détective privé américain qui sauva le président Lincoln d'un premier complot visant à l'assassiner. Glisse sur un trottoir, se mord la langue puis meurt de la gangrène.

En 1861, il fait échouer le complot de Baltimore visant à assassiner Abraham Lincoln, fraîchement élu président. C'est à la demande de ce dernier que Pinkerton travaille pour les services secrets durant la guerre de Sécession (1861-1865). Son agence, connue pour sa devise « We never sleep » (« Nous ne dormons jamais ») assortie d'un logotype représentant un œil grand ouvert, connaîtra un grand succès.








Félix Faure
Félix Faure (1841-1899), président de la république française, meurt d'épectase dans les bras de Marguerite Steinheil. L'histoire raconte que le médecin (à moins que ce soit le curé) alerté demanda : "Le Président a-t-il toujours sa connaissance ?" et que la réponse fut "Non, Monsieur, on l'a fait sortir par une porte dérobée". Commentaire de Georges Clemenceau,"Il voulut vivre comme César et il est mort Pompée".





Ernest Chausson
Ernest Chausson, musicien français (1855-1899) : Fait du vélo chez des invités et se fracture le crâne contre le mur de la propriété (problème de frein ?)

En 1886, il devient pour une dizaine d'années, le secrétaire de la Société Nationale de Musique (fondée par Saint-Saëns en 1870). Il se lie d'amitié avec Duparc, Fauré, Bréville, Debussy qui fréquentent son salon renommé 22 rue de Courcelles à Paris, ainsi que Mallarmé, Régnier, Tourguéniev Albeniz, Isaye, Monet, Puvis de Chavane etc.






Georges Gilles de la Tourette
Georges Gilles de la Tourette (1857-1904). Neurologue qui donna son nom à la maladie de Gilles de la Tourette (tendance à débiter des mots orduriers et/ou tics compulsifs) recevra une balle dans la tête tirée par une de ses anciennes patientes qui prétendit avoir été hypnotisée contre son gré. Il en réchappa, mais en garda de graves séquelles qui s’aggravèrent à ce point qu'il fut démis de son poste en 1902 et qu'il mourut en 1904.







Jack Daniel
Jack Daniel (1850-1911) : Distillateur de whisky. Mort par empoisonnement du sang. En 1905, ne se souvenant plus de la combinaison de son coffre-fort, il lui envoie de coups de pieds et se blesse sévèrement à l'orteil... il mourra de complications six ans plus tard.















Albéric Magnard
Albéric Magnard (1865-1914), musicien français. En 1914, voulant défendre sa maison contre les Allemands, il aurait déclaré le fusil à la main "Moi vivant, les Allemands ne rentreront pas". Ils le refroidirent et brûlèrent ladite maison.













Alexandre 1er
Alexandre 1er de Grèce (1893-1920). Roi des grecs. Mordu par un singe domestique alors qu'il voulait défendre son chien attaqué par un autre singe. La morsure évolua en septicémie.











harry houdini
Houdini (1874-1926) Magicien et prestidigitateur. Avait l'habitude de se se faire taper sur le ventre pour prouver son insensibilité à la douleur. Un jour un visiteur lui demanda s'il pouvait aussi réaliser ce tour hors scène. Houdini répond oui, et le visiteur lui massacre le ventre faisant éclater l'appendicite. Il meurt quelques jours plus tard (le jour d'Halloween) de péritonite.












Isadora Duncan
Isadora Duncan (1878-1927) Danseuse. Morte en torpédo grand sport décapotable, étranglée par son écharpe prise dans la roue arrière de la voiture. 
Fondatrice de plusieurs écoles de danse aux États-Unis et en Europe, en Russie notamment - où la conduisait son idéal révolutionnaire -, elle y épousa en 1922 le poète Sergueï Essenine, dans une union qui ne dura que peu de temps.
 












Friedrich-Wilhelm Murnau
Friedrich-Wilhelm Murnau (1888-1931) maître du cinéma muet. Mort officiellement des suites d'un accident de voiture. Rumeur 1 : Malédiction d'un sorcier mélanésien qui lui aurait prédit une mort tragique et prochaine pour ne pas avoir respecté sa volonté d'éviter certains lieux de tournage pendant la réalisation de Tabou. Rumeur 2 : pratiquait une fellation sur la personne de son jeune chauffeur philippin au moment de l'accident.










Alban Berg
Alban Berg (1885-1935), musicien autrichien. Piqûre de guêpe tournant en septicémie.

Sa dernière œuvre, Lulu, est le premier opéra dodécaphonique de l'histoire de la musique. L'opéra ne sera achevé qu'en 1979 par Friedrich Cerha en raison de la mort du compositeur d'une septicémie en 1935. Comme dans son précédent opéra, le sujet traite des préoccupations psychologiques et sociales. 












Ödön von Horváth
Ödön von Horváth (1901-1938) : Ce dramaturge de langue allemande est mort tué par une branche d'un marronnier des Champs-Elysées à Paris déraciné lors d'une tempête le 1er juin 1938 ("Depuis quand à Paris, les arbres s'abattent-ils sur des poètes en promenade et leur fracassent le crâne ?" se demandera Klaus Mann)













Sherwood Anderson
Sherwood Anderson (1876-1941) : Ecrivain américain, avala un cure-dent en mangeant des olives pendant une fête et mourut d'une péritonite. Cependant, il est aujourd'hui un auteur largement méconnu, peu réédité et sous-estimé, notamment en France (comme Theodore Dreiser).
Pauvre Blanc est son roman le plus réputé.















Carole Lombard
Carole Lombard : (1908-1942) actrice américaine, épouse de Clark Gable, morte dans un accident d'avion ce qui n'a rien d'original sauf si l'on sait qu'elle venait de terminer le tournage de "To Be or Not to Be" (d'Ernst Lubitsch) dans lequel pour les besoins du scénario elle déclare "Que peut-il arriver dans un avion ?" (La séquence en question fut supprimé au montage)













Jean Harlow
Jean Harlow (1911-1937) Vedette de cinéma américaine. Attrapa la grippe, son état se compliqua, sa mère au nom de ses convictions religieuses refusa à sa fille toutes autres soins que des prières. Ça ne marcha malheureusement pas .










Anton Webern
Anton Webern (1883-1945), musicien autrichien. Refroidi par un soldat américain alors qu'il allumait une cigarette en étant sorti malgré le couvre feu (d'après une autre version il aurait été victime d'un règlement de compte pour une affaire de contrebande qui aurait mal tournée).











Joan Vollmer
Joan Vollmer (1923-1951) épouse du romancier américain William S. Burroughs(1914-1997). Un soir, le couple après avoir picolé pas mal de téquila, montent dans sa chambre d'hôtel. Ils décident de jouer à Guillaume Tell. Joan Vollmer se pose un verre d'eau sur la tête, William tire et tue madame











Pie XII
Pie XII  (1876-1958) élu pape en 1939. Mort d'une crise de hoquet.
Ses capacités de diplomate et la confiance de Pie XI qui meurt en 1939, en font le favori du conclave qui l'élit peu avant le début de la guerre. 









Boris Vian
Boris Vian : (1920-1959) Meurt d'une crise cardiaque au cinéma Le Marbœuf en assistant à la première du film"J'irai cracher sur vos tombes", inspiré de son roman. (Il s'était opposé au producteur et souhaitait faire retirer son nom du générique). 

Il publia sous le pseudonyme de Vernon Sullivan
Si les écrits de Vernon Sullivan lui ont attiré beaucoup d'ennuis avec la justice et le fisc, ils l'ont momentanément enrichi à tel point qu'il pouvait dire que Vernon Sullivan faisait vivre Boris Vian. Il a souvent utilisé d'autres pseudonymes, parfois sous la forme d'une anagramme, pour signer une multitude d'écrits.







Jeff Chandler
Jeff Chandler : (1918-1961) Acteur américain, célèbre pour avoir interprété Cochise dans la "Flèche brisée"(Delmer Daves, 1950). Empoisonnement du sang suite à l'oubli d'un bistouri pendant une opération.
















Michael Rockefeller
Michael Rockefeller (1938-1961), fils de Nelson. Vraisemblablement mangé par les Papous en Nouvelle-Guinée. Après de nombreuses expéditions infructueuses engagées par sa famille pour le retrouver, Michael C. Rockfeller a été déclaré mort en 1964. Une partie des pièces d'art ethnique asmat de la collection de Michael Rockfeller est exposée au Metropolitan Museum of Art à New York.







Julien Carette
Julien Carette : (1897-1966) Acteur de cinéma. Mourut brûlé vif, son cigare étant tombé sur sa robe de chambre, et étant paralysé, il ne put rien faire...


Citation
« Je me souviens que Carette est mort parce qu'il portait une chemise en nylon et qu'il s'était endormi avec une cigarette. » Georges Perec, Je me souviens.









Jayne Mansfield
Jayne Mansfield (1933-1967) Morte en voiture guillotinée par une plaque de tôle mal attachée débarquant du camion de devant qui freina trop brutalement.
Elle était passionnée par les roses et les cœurs. Ses voitures étaient toutes roses. En dépit de ce que pourraient laisser supposer ses rôles de blonde idiote, Jayne Mansfield était une femme cultivée, elle parlait cinq langues, était pianiste et violoniste classique et disait avoir un QI de 163 









Peter Valyi
Peter Valyi (1919-1973) Ministre de finances en Hongrie (1967-1971). Meurt en faisant visiter une fonderie (chute dans une cuve de fer en fusion)
De nombreuses théories du complot ont été publiés après l'incident .










Bruce Lee
Bruce Lee : (1940-1973) Réaction allergique à un calmant qui aurait fait gonfler son cerveau de 13 %. Par ses contributions dans le cinéma et la télévision, Bruce Lee incarne pour beaucoup l'homme fort atteignant le sommet de la perfection physique et l'invincibilité au combat à mains nues. Sa notoriété a eu un rôle important dans l'intérêt du grand public occidental pour les arts martiaux chinois. Sa mort prématurée a contribué à le faire entrer dans la légende du cinéma et des arts martiaux. En 2014, il est la 10e célébrité décédée ayant généré le plus de revenus.








Louis Kahn
Louis Kahn, architecte américain (1901-1974) meurt d'une attaque cardiaque dans les toilettes de la gare new-yorkaise de Pennsylvania Station. Louis Isadore Kahn, est un architecte américain, d'origine estonienne. Il est aujourd'hui considéré comme l'un des plus grands architectes du XXᵉ siècle. Ses principales œuvres sont aux États-Unis, en Inde et au Bangladesh.










Jean Daniélou
Jean Daniélou : (1905-1974). Cardinal et académicien, mort d'épectase dans les bras d'une prostituée parisienne rue du Ponceau à Paris en mai 1974.





 






Francis Blanche
Francis Blanche (1921-1974) Mort d'une crise cardiaque au volant de sa voiture, place de la Concorde à Paris. 
Francis-Jean Blanche, dit Francis Blanche, né le 20 juillet 1921 à Paris 11ᵉ et mort le 6 juillet 1974 , est un auteur, acteur, chanteur et humoriste français.
 



Roger Tort
Roger Tort (1918-1975) évêque de Montauban, 8 mois après le cardinal Daniélou, son corps, fut retrouvé inanimé dans un hôtel de passe rue du Ponceau à Paris.
















Keith Relf
Keith Relf (1943-1976) : le chanteur de rhythm and blues du groupe The Yardbirds, mort électrocuté en jouant de la guitare électrique. La prise de terre de celle-ci n'était pas correctement connectée.











Wladimir Spider Sabich
Wladimir Spider Sabich (1945-1976) : Champion de ski alpin américain. Claudine Longet sa maîtresse, voulait se faire expliquer le fonctionnement d'un révolver, le coup est parti et tua Wladimir. Claudine Longet (qui donna la réplique à Peters Sellers dans The Party, film culte de Blake Edwards (1968) passa un mois en prison pour homicide involontaire.







René Goscinny
René Goscinny (1926-1977), sa mort brutale fut digne d'un gag de bande dessinée. Malade du cœur, il mourut sur le vélo d'appartement de son cardiologue en pleine séance de tests cardiaques le 5 novembre 1977. 
Créateur d’Astérix, d’Iznogoud et du Petit Nicolas, scénariste de Lucky Luke durant une longue période, il est l’un des auteurs français les plus lus au monde : l’ensemble de son œuvre représente environ 500 millions d’ouvrages vendus. 











Kurt Gödel
Kurt Gödel (1906-1978) : Mathématicien autrichien célèbre pour son théorème d'incomplétude. A la fin de sa vie il sombre dans la paranoïa, se convainc de l'existence d'un complot visant à l'empoisonner et cesse de s'alimenter. Quand on le retrouva mort, il ne pesait plus que 30 kilos.








Guy Marie Riobé
Guy Marie Riobé (1911-1978) Évêque d'Orléans, jugé moderniste par ses ouailles et souvent associé à Mgr Gaillot. Retrouvé mort noyé et dénudé sur la plage de l'Espiguette (la plage naturiste du Grau-du-Roy dans le Gard).
















Claude françois
Claude François (1939-1978), androgyne à paillettes. Mort officiellement en tripotant une applique électrique (une première version parlait d'un séchoir à cheveux) alors qu'il était dans son bain(faut le faire !) et officieusement suite à une utilisation inappropriée d'un sex-toy alimenté par le secteur .









Nelson Rockefeller
Nelson Rockefeller (1908– 1979). Gouverneur de l'État de New York et vice-président des États-Unis de 1974 à 1977. Crise cardiaque pendant qu'il besognait Megan Marshack, sa secrétaire .
















Bon Scott
Bon Scott (1946-1980) chanteur du groupe AC/DC. Retrouvé mort dans une voiture, étouffé par son vomi, après une soirée trop arrosée. Les membres d'AC/DC envisagent alors la dissolution jusqu'à ce qu'ils recrutent Brian Johnson, chanteur du groupe Geordie. Seulement cinq mois après la mort de Bon Scott, AC/DC sort Back in Black, hommage à Bon enregistré avec son nouveau chanteur.
 











John Bonham
John Bonham : (1948-1980) Batteur du groupe Led Zepplin. Retrouvé mort dans son lit, étouffé par son vomi, après une soirée trop arrosée.












Maurice Biraud
Maurice Biraud, (1922-1982) acteur et animateur de radio. Il s'arrête à un feu rouge sur les Champs-Elysées. Le feu passe au vert. Maurice ne redémarre pas, ça klaxonne derrière, Maurice ne redémarre toujours pas, mort d'un arrêt cardiaque.










Boris Sagal
Boris Sagal (1923-1982) réalisateur américain (The Omega Man 1971) Décapité par le rotor de queue d'un hélicoptère en passant derrière. 

Réalisateur prolifique pour la télévision américaine où il officia notamment sur quelques épisodes de la série Columbo et sur la mini-série historique Masada, il est surtout connu au cinéma pour avoir réalisé Le Survivanten 1971 avec Charlton Heston.











Vic Morrow
Vic Morrow (1929-1982) acteur américain décapité par un hélicoptère lors du tournage de La Quatrième Dimension avec deux enfants comédiens : My-ca Dinh Le et Renee Shin-Yi Chen.














Tennessee Williams
Tennessee Williams (1911-1983) écrivain américain, mort étouffé par le bouchon d'un tube de médicament qu'il tenait entre ses dents (un collyre pour les yeux).



 









Tommy Cooper
Tommy Cooper (1921-1984), magicien et farceur. Au cours d'un de ses spectacles à la télévision, Cooper s'effondre, tombant sur les fesses. Le public, pensant que c'est une blague, applaudit. Il vient en fait de mourir d'une attaque cardiaque.














Bruno Bettelheim
Bruno Bettelheim (1903-1990), psychanalyste américain, se suicide par étouffement au moyen d'un sac plastique.













François Marty
François Marty (1904-1994) Cardinal et archevêque de Paris jusqu'en 1981 où il prend sa retraite. A cette occasion on lui offre une 2CV. "Elle me conduira au Paradis !" déclare-t-il. En 1994, il se plante mortellement avec à un passage à niveau.
















Sani Abacha
Sani Abacha (1943-1998). Ce général nigérian fut dictateur de son pays de 1993 à 1998. Epectase ou empoisonnement ? Toujours est-il que la nuit de sa mort il était en compagnie de six jeunes prostituées indiennes "importées" de Dubaï.









David Carradine
David Carradine (1936-2009) est mort dans les bras de personne (sinon de la veuve poignet). Il n'est pas mort de "masturbation", mais des conséquences des conditions dans lequel il le faisait (utilisation de cordes) 

Filmographie
















Molière
Hors sujet : 

Molière (1622-1673), qui n'est pas mort sur scène comme on le croit souvent... mais quelques heures plus tard... 

Les matières les plus chères au monde

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Notre planète regorge de nombreux matériaux qui sont plus ou moins chers. Si vous pensez que l'or ou le platine sont les matières les plus coûteuses vous n'avez pas tout à fait tord mais d'autres sont bien plus chères.





LA LAINE LA PLUS CHÈRE

Venant du duvet d'animaux vivant dans des contrées plutôt froides (bison d'Amérique ou bœuf musqué), cette laine est très coûteuse puisqu'elle coûte 1,26 euro le gramme.





LE PALLADIUM

Faisant partie du groupe du platine, ce métal de transition fait partie des métaux précieux. Son utilisation majeure est dans les convertisseurs catalytiques, mais également en bijouterie, en odontologie, en horlogerie et en connectique. Le prix du gramme s'élève à ce jour à 20 euros.





LE RHODIUM

Ce métal rare est utilisé à 80% dans les catalyseurs de voitures à essence, mais également dans les contacts électriques et les tubes à rayons X. Le prix au gramme s'élève à 29 euros.





L'OR

Utilisé en grande partie en bijouterie, l'or est un très bon conducteur. Le prix du gramme s'élève à 30 euros.





LE PLATINE

Ce métal de transition dense, malléable, rare et précieux est très utilisé en bijouterie, dans les contacts électriques, dans les creusets et dans les fourneaux électriques à haute-température. Il est souvent utilisé comme catalyseur chimique et notamment dans les pots catalytiques de moteurs à combustion. Prix du gramme : 36 euros.







L'HÉROÏNE

Elle est utilisée à des fins médicales, mais surtout de manière illégale. Si elle se présente sous la forme d’une poudre blanche très fine pour l'usage médical, elle peut être de couleur brune, beige ou blanche et plus ou moins fine. Prix du gramme : 40 euros.






LE SAFRAN

Le safran est une épice extraite de la fleur d'un crocus utilisé en cuisine, en médecine en tant qu'agent antioxydant, comme anticancéreux et pour colorer des textiles et d'autres objets. Actuellement, le prix du gramme est de 50 euros.







LA COCAÏNE

Puissant stimulant du système nerveux central, cette drogue est très addictive. Le prix du gramme de cocaïne varie entre 70 et 80 euros.







LA MÉTHAMPHÉTAMINE

Cette drogue de synthèse psycho-stimulante hautement addictive provoque une euphorie et une forte stimulation mentale. Le prix du gramme s'élève à 71 euros.







LA CORNE DE RHINOCÉROS

Les rhinocéros font partie des animaux les plus braconnés pour leurs cornes. Leurs cornes permettent de guérir du cancer ou de la fièvre. Prix du gramme : 79 euros.







LE LSD

Le LSD est un psychotrope hallucinogène. Son prix au gramme s'élève à 2 177 euros.







LE PLUTONIUM

Ce métal lourd est produit dans le cœur des réacteurs nucléaires. Le prix du gramme s'élève à 2 902 euros.







LA PAINITE

La painite est une espèce minérale du groupe des borates. Ce minéral extrêmement rare aurait des vertues guérisseuses. Prix du gramme : 6 530 euros.







LA TAAFFÉITE

La taafféite est un minéral très rare qui est présent dans les roches carbonées au Sri Lanka et en Tanzanie. Son prix au gramme peut aller de 1 814 à 14 512 euros.







LE TRITIUM

Le tritium est l'un des isotopes de l'hydrogène. Radioactif, le tritium émet un rayonnement bêta (β-) de faible énergie. Il est beaucoup utilisé pour la fusion nucléaire. Son prix au gramme s'élève à 21 768 euros.








LE MÉDICAMENT ILARIS

Cet immuno-suppresseur développé par le laboratoire Novartis est vendu à 11 945,98 euros la boîte de 150 mg, soit 79 640 euros le gramme. Ce qui fait de lui le médicament le plus cher dans le monde.







LE DIAMANT

Le diamant est un minéral composé de carbone qui est considéré comme l'un des matériaux naturels les plus durs. Le gramme de diamant blanc peut aller de 35 000 euros à plus de 355 000 euros selon sa pureté et sa taille.



LE DIAMANT ROUGE

Très rare le diamant rouge peut être vendu à 5 millions d'euros le gramme.







LE CALIFORNIUM 252

Métal radioactif très rare, il trouve néanmoins des applications comme amorce des réactions de fission dans les réacteurs nucléaires. Son prix s'élève à 19 590 millions d'euros par gramme.







L'ANTIMATIÈRE

L'antimatière est l'ensemble des antiparticules, des particules composant la matière classique. Son prix au gramme est de 45 300 milliards d’euros.



Les endroits interdits dans le monde

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À travers le monde, vous trouverez des endroits insolites ou merveilleux que vous pourrez bien évidemment découvrir sur internet ou en y allant tout simplement. Mais certains lieux de notre planète sont difficiles d'accès pour ne pas dire inaccessibles pour des citoyens lambda comme nous.  


En effet, les lieux interdits au public ou à l'accès extrêmement réglementé ne manquent pas. Siège de services secrets, laboratoires de recherche, zones militaires, sièges d'entreprises aux domaines sensibles, zones à haute radioactivité, etc. Beaucoup d'endroits sont totalement fermés au public et viennent souvent nourrir les théories du complot les plus farfelues. Voici une petite liste de ces endroits mystérieux.


Le gentlemen club White's

Si vous n' appartenez pas à la haute société britannique, mieux vaut ne pas tenter d' y pénétrer. Ce club, situé au cœur de la capitale londonienne est en effet un endroit strictement réservé aux nobles anglais tels que le prince Charles ou le duc de Cambridge. Fondé en 1693 pour vendre du chocolat chaud, boisson extrêmement rare à l'époque, on ne sait pas ce qu'il s'y passe aujourd'hui ni à quoi ce lieu secret de réunion peut bien servir.







Les data center de Google

Situé à Douglas en Géorgie, c’est l’un dès lieus les mieux gardés de la planète et pour cause, les données les plus importantes de Google s’y cachent ! 






Le Club 33

Déjà que les clubs de gentleman ont l'air sacrément chiants, alors on ne vous parle pas du Club 33, situé en plein Disney land. Si vous avez assez de thunes pour postuler, il vous faudra quand même attendre sur une liste d'attente de près de 14ans. Tout ça pour quoi ? Personne ne le sait mais ça implique sûrement de vous retrouver dans une pièce avec des mecs (moustachus) déguisés en Mickey et qui se tripotent devant Fantasia. Non merci. 







La Zone 51
Incontournable, la zone militaire préférée des fans d'X-Files, on doit bien vous avouer que la zone 51 commence un peu à perdre de son charme. Il paraîtrait qu'on y teste des appareils volants futuristes, peut-être même avec de la technologie extraterrestre à l'intérieur. Sauf que ça fait des années qu'on en parle qu'on a toujours pas vu une seule soucoupe de l'armée US bombarder l'Irak ou l'Afghanistan. Si vous voulez notre avis, cette zone est un ramassis de vieux moustachus en uniforme. 





Le métro 2 de Moscou

Le métro 2 de Moscou est tellement secret que personne ne sait vraiment s'il existe. Il s'agit selon la rumeur d'un métro parallèle (et secret donc), utilisé par Staline et ses potes du KGB pour se rendre dans divers lieux stratégiques du pouvoir. L'état n'a jamais nié l'existence de ce réseau. Il ne l'a jamais confirmé non plus d'ailleurs, même si on imagine assez bien des grands mecs moustachus en pardessus épais et chapka en train de compter leurs tickets de rationnement en se rendant bosser au siège du KGB. 







Chambre 39 - Corée du Nord 

L'organisation secrète de Corée du Nord peut également être désignée sous le nom Bureau 39 ou Division 39. De nombreuses sources affirment que la chambre 39 est un centre secret à Pyongyang où le gouvernement encourage la contrefaçon, la production, le trafic de stupéfiants et la fraude à l'assurance internationale.






Le Grand Sanctuaire d'Ise

En terme de Shintoïsme, il n'y a pas de lieux plus sacrés. Le truc est tellement sacré que personne ne peut rentrer dedans, sauf un prêtre (pas forcément moustachu) qui appartiendrait à la famille impériale, ce qui limite considérablement le nombre de postulants. Pour célébrer le cycle de la vie et de la mort, le temple est détruit et reconstruit tout les 20 ans. La 62e reconstruction aura lieu cette année. 






L'île de Poveglia

Poveglia est une île située près de Venise, dans la lagune près de Malamocco. Depuis l'époque romaine, puis au Moyen Âge et à la Renaissance, l'île fut utilisée comme lieu de sépulture des victimes de la peste. On parle d'environ 200 000 personnes enterrées là bas. Depuis, on la surnomme < l'île maudite > ou 
<l'île hantée >, car elle regorge d'histoires sordides mêlant apparitions mystérieuses et cris humains. Elle est totalement abandonnée et interdite au public. 






L'Enfer du Vatican

On raconte que le pape Jean-Paul II en est sorti en pleurant. «L'enfer», c'est la bibliothèque de livres interdits au sein de la Bibliothèque apostolique du Vatican. Seuls les papes peuvent y pénétrer librement. Mêmes les plus hautes autorités de la hiérarchie catholique ne peuvent y pénétrer sans une autorisation expresse du Souverain Pontife. Procès de Galilée, excommunication de Martin Luther, «confession» des Templiers... Des archives jusqu'ici secrètes et conservées sous clé ont été ouvertes pour la première en 2012 et devaient figurer dans l'enfer auparavant. On y trouverait aussi les archives de l'Inquisition, des livres de sorcellerie et quelques textes anciens qui représentent sans doute plus un danger pour l'Eglise et le dogme que pour l'humanité.







SunTrust Bank

La formule du Coca Cola est l’un des secrets commerciaux les plus rechercher sur la planète, gardée dans la SunTrust Bank au centre-ville d’Atlanta, c’est l’une des banques les mieux gardées de la planète.


 




L’Îles Heard-et-MacDonald

Située dans l’océan Indien, cette île de l’Antarctique possède un volcan actif haut de 1745 mètres ….


 




Les Grotte de Lascaux

Même si vous pouvez visiter sa copie parfaite, la vraie grotte est fermée au public pour ne pas être dégradée par les visiteurs respirant dans la grotte.






Bohemian Grove

Au nord de San Francisco, chaque année, pendant les dernières semaines de Juillet, Les hommes les plus riches et les plus puissants se rencontrent à Monte Rio pour boire et échanger des conversations secrètes. Vous devez être un membre du Bohemian Club pour pouvoir entrer dans le camp, mais il y a déjà eu quelques infiltrés qui ont réussi à se faufiler à l’intérieur comme le journaliste Alex Jones, qui est entré avec une caméra cachée. 







L'île de North Sentinel

Située dans le golfe du Bengale, l'île de North Sentinel abrite une population de 250 indigènes, appelés les Sentinelles. La tribu vit totalement coupée du monde extérieur et ne veut surtout pas avoir de contact avec le reste du monde. Leurs conditions n'ont pas changé depuis plusieurs milliers d'années selon le experts. L'échec est cuisant à chaque tentative de prise de contact puisque les membres de la tribu menacent tout étranger avec leurs lances et leurs flèches. D'ailleurs, un hélicoptère venu vérifier l'état de la population après le tsunami de 2004 a rapidement fait demi-tour puisqu'il a été attaqué par les Sentinelles. La carcasse a même été percée par les projectiles. Deux pêcheurs dont le bateau a dérivé jusqu'à leur île ont été exécutés par la tribu en 2006. 








Chapelle de l'Arche d'alliance à Aksoum

Située dans la ville d'Aksoum, en Éthiopie, la Chapelle de l'Arche d'alliance est adjacente à l'Église Sainte-Marie-de-Sion. Celle-ci prétend conserver la fameuse Arche d'alliance qui contiennent les tables de la loi, données par Dieu à Moïse dans l'Ancien testament. Selon la tradition du pays, tous les rois éthiopiens seraient des descendants du roi Salomon et de la reine de Saba. Même si l'Église s'en vante un peu, il est formellement interdit de pénétrer dans le sanctuaire et seul le prêtre, nommé à vie par son prédécesseur, est autorisé à entrer (car il serait le seul à pouvoir supporter la splendeur de l'Arche).






Musée de l'espionnage à Nankin

Ce musée chinois est entièrement dédié à l'espionnage. S'il est bel et bien ouvert au public, les étrangers n'ont aucunement le droit d'y pénétrer. Situé dans la province de Jiangsu, à l'Est du pays, le Centre d’Éducation sur la Sécurité Nationale de Nankin est donc dédié aux espions du Parti communiste chinois. On y retrouverait des gadgets tout droit sortis de films d'espionnages comme des pistolets dissimulés dans des stylos, des cigarettes ou encore des lampes de poche. Sans oublier les différents outils d'écoute.







Surtsey

Située au large de l'Islande, Surtsey est une île volcanique qui s'est formée après une éruption volcanique ayant commencé 130 mètres sous l'océan. L'île a fait l'objet de toutes les attentions scientifiques depuis son apparition et, depuis la fin de son éruption en 1965 (deux ans après sa naissance), est interdite au public. Seuls les scientifiques sont autorisés à s'y rendre, pour étudier la faune et la flore qui est apparue spontanément sur l'île après sa formation. C'est pour éviter de "contaminer" l'environnement que l'île est hors limite.






Granite Mountain

L'Église mormone possède plusieurs coffres-forts d'archives creusés dans le canyon de Little Cottonwood, dans l'Utah. Les coffres contiendraient plusieurs millions de microfilms concernant des informations sur la généalogie et l'historique familiale des membres de l'église. D'après certaines sources, le nombre de rouleaux de microfilms augmenterait de 40 000 chaque année. Bien que l'endroit ne soit pas accessible au public, les archives sont mises à disposition sur Internet ainsi que dans ses Family History Centers.







Pine Gap

Pine Gap ou Joint Defense Facility Pine Gap est une "Zone 51 australienne", gérée par les Australiens et les Américains (CIA, NSA et le NRO). Il s'agit d'une station de pistage satellite, le public non-autorisé voit donc son entrée interdite. Le projet ECHELON de surveillance internationale installé entre différents pays anglo-saxons, dont l'Australie et les États-Unis est appliqué sur cette base.







Prypiat

Situé à deux kilomètres seulement de la centrale de Tchernobyl en Ukraine, la ville de Prypiat est une ville fantôme depuis l'explosion du réacteur en avril 1986. En raison du fort taux de radiation, elle est interdite depuis cette date. Cependant, elle peut être visitée ponctuellement par quelques touristes. Comme Fukushima, au Japon, dont le réacteur a fondu en mars 2011.





Jeux Olympiques et signes ostentatoires des "dieux" qui sont encore parmi nous

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Nous avons vu à travers la lecture de textes anciens, que les “Dieux” de l’antiquité, Apollon, Isis…etc. sont encore vivants de nos jours, et attendent patiemment que s’ouvrent les portes de l’abîme où ils ont trouvé refuge.

Nous savons qu’ils influencent encore le destin des hommes, non plus directement comme ils le faisaient du temps de l’Iliade, mais soit en exerçant une influence sur le subconscient de certains individus, soit par l’intermédiaire des sociétés secrètes. C’est ainsi que les “Dieux” parviennent à contrôler et diriger les grandes institutions de ce monde, qu’elles soient religieuses, politiques, économiques ou militaires.


Je sais combien cette thèse est difficile voire impossible à croire, et je suis bien conscient du fait qu’il ne suffit pas d’affirmer les choses en se référant aux textes anciens pour être cru sur parole. Je vais donc m’efforcer de montrer, et démontrer l’omniprésence des Dieux en m’appuyant le plus possible sur des éléments palpables et vérifiables.



Ces preuves, ou du moins ces indices existent, car nous savons, grâce aux textes anciens, que ces êtres, ou devrais-je dire ces “Extraterrestres”, ces “Dieux” belliqueux et jaloux, débordent d’orgueil à l’instar des pires despotes que la terre ait portés, et qu’ils ont toujours pratiqué le marquage ; marquage du bétail que nous sommes à leurs yeux, mais aussi marquage du territoire, un peu comme le feraient des tagueurs qui apposent leur signature sur les murs afin de signifier aux bandes rivales que le quartier leur appartient.

C’est ainsi que les institutions, les organisations et les organes de pouvoir de par le monde ont toujours porté et portent encore la “marque” c’est à dire les symboles de l’influence de ces Dieux. Ici ce sera un lion, ici un aigle, ici un dragon, là un serpent (à noter que les animaux choisis sont toujours des prédateurs)…

Parfois on trouvera un glaive, une francisque, une étoile, ou encore une balance pour signifier que le pouvoir est partagé entre les deux principaux Dieux… Les grands modes de communication n’échappent évidemment pas à cette règle.

La télévision et le cinéma regorgent de ces symboles qui attestent de leur obédience. Nous pouvons citer par exemple “Columbia TriStar Films” (la déesse qui porte la flamme, la lumière) ; Paramount (la montagne entourée d’étoiles)…





Il en est de même des manifestations sportives au retentissement planétaire. Les jeux “Olympiques” qui leur sont dédiés, (ils furent originellement dédiés à Zeus, puis re-consacrés à Apollon en 590 av. J.C) avec le rituel de la flamme -symbole d’Apollon-, tiennent une place prépondérante dans ce grand échiquier.


Les J-O sont en effet l’occasion pour les Dieux de livrer un message à la face du monde, message destiné à susciter non seulement l’admiration des peuples de la terre, mais aussi et surtout à frapper l’âme, car l’enjeu de tout ceci se situe en partie au-delà de la seule dimension matérielle…

Ainsi, si chaque pays organisateur des J.O a sa spécificité, et offre donc son propre spectacle, tous suivent le même objectif : nous montrer qui est l’entité qui gouverne le monde, et nous préparer à le voir un jour réapparaître.


Tout comme les peuples sont émerveillés devant le spectacle de ces J.O, les gens seront émerveillés de voir surgir du monde souterrain le roi du monde, (Apocalypse 17, verset 8), c’est-à-dire l’ange de l’abîme. Nous allons à présent essayer de décrypter la symbolique ésotérique des Jeux Olympiques, leurs similitudes et leurs rapports avec le roi du monde.






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Petit rappel de la situation planétaire


Dans leur ouvrage “Dieu et la science”, les frères Bogdanov reprenant la thèse que Richard Sunder avait développée et exposée depuis 1978, ont écrit : “A l’origine régnait une source d’énergie illimitée, éternellement créatrice, située au delà de l’espace et du temps et, n’ayant ni commencement ni fin. Une force hallucinante de puissance, d’harmonie et de perfection…

Omniconsciente et omniprésente, vivant en chaque particule, chaque atome, donc une conscience, une présence, une intelligence hyper mathématique, calculante, rationnelle qui règle, dirige et anime le cosmos faisant que ce cosmos ne soit pas chaos mais ordre. (…)

Nul besoin d’un support physique pour porter cette entité, cet Être Suprême. Les physiciens le nomment Symétrie Parfaite”. Ainsi pouvons-nous conclure qu’il fut un temps où tout était symétrique, parfait, jusqu’au moment où se produisit une cassure, ce que d’aucun ont appelé le Big Bang… la naissance de l’asymétrie, du désordre, du chaos, l’apparition de tout ce qui est matériel. Ce monde que nous connaissons aujourd’hui est l’expression de cette symétrie brisée. Mais brisée par qui et pourquoi ?

Tout simplement par celui qui se rebella contre son Créateur. Cet être, ce dieu rebelle, ainsi que l’indiquent les textes, fut banni du ciel sur Terre, entraînant avec lui une minorité de déchus. Il en devint leur chef, leur Roi.

Voici ce qu’en dit l’Apocalypse :Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Il n’y eut plus de place pour eux dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui.” (Apocalypse 12 :7-9)

À la lumière de cet extrait, il est assez aisé de comprendre le sens profond de l’expérience que nous relate l’ethnologue Jérémy Narby dans son ouvrage “Le serpent cosmique”. Ce scientifique expérimenta, ainsi que son homologue Harner, un cocktail chamanique à base de plantes, suivi de psalmodies, qui leur permit comme les chamans de pénétrer dans une autre dimension :

Deux créatures reptiliennes géantes…me montrèrent d’abord la planète Terre… des grains noirs tombèrent du ciel et atterrirent en face de moi sur la Terre… les grains étaient en réalité de grandes créatures noires… elles m’expliquèrent dans une sorte de langage mental qu’elles fuyaient quelque chose dans le cosmos, elles étaient venues à la planète Terre pour échapper à leur ennemi… (…) J’appris que les créatures, ressemblant à des dragons, résidaient ainsi à l’intérieur de tous les êtres vivants, y compris l’homme” (expérience de Harner) “…

J’ai rencontré des gens à tête d’oiseau ainsi que des créatures ressemblant à des dragons qui m’ont expliqué qu’ils étaient les vrais dieux de ce monde.” (expérience de J. Narby) Nous pouvons déduire de tout ceci que ces êtres furent les dieux de l’antiquité (sumériens, grecs, hindous, égyptiens, etc…). et qu’ils n’étaient en fait que des anges rebelles précipités sur terre et devenus intra-terrestres ; usant de leurs pouvoirs sur la matière pour se matérialiser et se dématérialiser à volonté, et pour prendre l’apparence qui les arrangeait selon l’époque, le lieu et la motivation du moment, tout en veillant bien à ne pas dévoiler leur véritable identité.

Quelques considérations pour appuyer cette thèse :

Les mythes ancestraux de diverses contrées du monde attestent de manifestations tangibles, à toutes les époques, et encore au Moyen Âge, d’êtres surnaturels se révélant aux hommes sous l’aspect d’êtres humains, de fées, de chevaux, de serpents, de dragons. Ces derniers semaient la terreur dans les populations rurales.

Les dieux grecs avaient le pouvoir, c’est bien connu, de métamorphose qui leur permettait d’apparaître spontanément de l’invisible sous la forme qui leur semblait la mieux appropriée selon leurs motivations, rarement positives, à l’égard des humains.

Par exemple, Zeus se transformait en mendiant ou en taureau. Henri Donteville écrit dans son livre “La France mythologique” : “pour être mieux renseigné sur les dracs (ndr : dragons) et leurs rapports avec les humains, il n’est qu’à s’adresser à Gervais de Tilbury qui, vers 1200, nous renseigne sur les «otia Imperiala» et, au chapitre LXXXV de sa troisième partie : “Les dragons aussi, affirme-t-on communément, prennent forme humaine et arrivent les premiers sur la place publique sans êtres reconnus de personne.””


R Villeneuve cite dans son livre “L’univers diabolique”, les écrits de Jacques d’Autun (“L’incrédulité savante” p.96) : “C’est l’ordinaire des esprits malins de prendre des figures conformes au dessein qu’ils ont de tromper les hommes.”

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Une montagne nommée Olympe ?




Chacun de nous a pu se rendre compte de la présence d’une montagne, en tant que symbole, parmi les nombreux autres symboles qui entourent l’organisation des jeux Olympiques.

On retrouve ainsi la montagne lors de la cérémonie des jeux de 2004 à Athènes, mais aussi dans l’emblème choisi pour la candidature de la Russie pour les jeux de 2012.

Même si cet emblème est censé représenter la tour Spasskaïa, l’entrée principale du Kremlin, réservée aux Officiels de moscou, on peut aussi le regarder comme étant la représentation d’un des sommets du monde. Il est d’ailleurs amusant de noter que le précédent emblème des jeux de Moscou en 1980 tournait lui aussi autour du même symbole.

Voyons à présent à quoi peut bien correspondre cette montagne :

Raymond Bernard cite dans son livre “La terre creuse”, l’histoire que raconta un norvégien à son docteur Nephi Cottom : “J’habitais près du cercle arctique, en Norvège. Je décidais avec un ami de faire un voyage en bateau et d’aller aussi loin que possible dans le Nord….

En voyage, nous découvrîmes quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne.” Puis s’ensuit son entrée dans le monde souterrain avec découverte de vies animale et végétale aux proportions gigantesques ainsi que ses demeures et ses habitants les géants.

Cette fameuse montagne est bien connue des initiés ésotériques sous le nom de Mont Analogue, la montagne des dieux ou, encore la montagne de Kadath.


Peter Kolosimo, dans son livre “Odyssée stellaire” cite les écrits de Flavio Barbiero de l’institut polaire italien :


Les peuples de l’Inde ancienne croyaient que leurs divinités se tenaient au sommet du monde, sur une montagne magique qu’ils nommaient Meru …Ils construisaient un temple qui devait donc fidèlement imiter la montagne sacrée pour que les dieux aient envie de venir s’y établir.”

Platon cite aussi une fameuse montagne, au sommet de laquelle s’élève un temple dédié au plus grand des dieux. “Au pays d’Atlantide, pour honorer Poséidon, on avait bâti au sommet d’une montagne le plus grand des sanctuaires et, le palais du roi, arbitre du destin de millions d’homme”. 

Ainsi, autrefois, partout dans le monde, le sommet d’une montagne a été le site de présence, de manifestation de ces dieux extraterrestres descendus, précipités sur Terre.




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L’interaction des Dieux dans le domaine médical


Tous les chamans de tous les pays du monde racontent qu’ils tirent leur connaissance botanique des hallucinations induites par certaines plantes leur permettant d’entrer en contact avec leurs dieux. Ces dieux se manifestent sous l’apparence de deux serpents…

Ainsi en fonction de ce qui leur est appris, sans microscope électronique, ni formation en biochimie, les chamans choisissent les feuilles d’un arbuste parmi les quelques 250 000 espèces existantes, sans se tromper, comme s’ils connaissaient les propriétés moléculaires de toutes les plantes, et l’art de les combiner, pour créer un remède ou tel autre.

Or, que nous dit Mario Meunier à la page 87 de son livre “Apollonius de Tyane“ : 

Jamais les fils savants d’Asclépios n’auraient connu l’art de guérir, si Asclépios lui-même n’eût, d’après les prédictions, les voyances et les pressentiments de son père Apollon, composé et transmis à ses descendants les médicaments appropriés à chaque maladie, fait connaître les herbes médicinales, indiqué les proportions à garder dans l’apprêt des potions, les remèdes contre les poisons et le moyen de combiner les toxiques pour en tirer un effet salutaire.

Jamais sans l’art de la divination, les hommes ne se seraient hasardés à méler aux substances qui favorisent la vie, celles qui sont certaines d’occasionner la mort
.”

Maintenant nous connaissons la réelle signification du symbole de médecine qui représente le plus souvent un serpent enroulé sur une coupe (contenant le fameux remède, la fameuse potion). Une question se pose. Pourquoi Apollon faisant partie du “côté obscur”, transmet-il des remèdes ?

La réponse est simple. C’est là une manière de nous séduire par une prétendue bonté, tout en nous divisant (pour mieux régner) en deux camps, celui de ceux qui savent et celui de ceux restés dans l’ignorance. C’est encore le meilleur moyen de se voir vénérer par les uns et les autres… 


Le logo de L’OMS.
Organisation mondiale de la santé



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L’OVNI des J.O de Los Angeles



On peut s’interroger à l’infini sur l’impression de “fête païenne” que procure les cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux Olympiques, avec ces ovnis et ces géants qui sont des éléments récurrents de la fête. Est-ce là encore un hasard ?

En 1984, à la cérémonie de clôture des J.O de Los Angeles, un “ovni” est apparu au-dessus du stade et a déposé un être à face et à profil de bouc. Le personnage récita d’une voix d’outre tombe un message, un couplet à la gloire de l’olympisme qui déchaîna l’enthousiasme du public. La bête qui nous fût présentée est sans doute à l’image des intra-terrestres qui sortiront du monde de l’abîme.







J.O de Barcelone






En 1992, à la cérémonie d’ouverture des J.O de Barcelone, un homme tape sur un gong sur lequel est dessiné un serpent, tenant dans sa bouche et par le bout de sa queue, une branche d’olivier, symbole végétal d’Apollon. Commence alors la cérémonie, puis le stade s’éteint.


Soudain un figurant déguisé en diable, ailes dans le dos et cornes sur la tête, apparaît tenant une torche enflammée. Il descend les marches des gradins du stade pour aller rejoindre ses confrères et consoeurs démoniaques au milieu du stade où explose un volcan. Nous voyons à ce moment là un public enthousiaste, fasciné par le spectacle d’une bacchanale.

Au rythme d’un orchestre jouant une musique dissonante stridente et terrible, tous ces démons dansent, plein de joie, allument des figurines géantes représentant et mettant en exergue leur chef : le diable.




Par la suite, un dragon crachant du feu apparaît. Puis survolant le stade, deux immenses dragons lui succèdent.






J.O de Sydney




En 2000, à la cérémonie d’ouverture des J.O de Sydney en Australie, le volcan fut encore représenté par des tonneaux desquels sortaient de la fumée puis des feux d’artifice. Autour de ces tonneaux des êtres effrayants et terribles marchaient montés sur des échasses, symbolisant ainsi les géants.




Puis, une tête immense sortit du sol. Les géants se positionnèrent devant elle, et tous les participants aborigènes firent de même et se mirent à lever et baisser leurs bras en signe de vénération. 

Cette tête est présentée comme la représentation de “Wondjina” dont la légende raconte son arrivée de la voie lactée dans un navire étincelant pour prodiguer sa science et ses conseils avant de regagner le monde des étoiles.




En fait, elle regagna le monde souterrain d’où elle venait réellement sinon pourquoi nous la montrer sortant du sol et non pas descendant du ciel ? C’est ce que me confirme le drapeau, présenté au tout début des J.O, où est inscrit “G-DAY”.

Le même G qui se trouve sur l’étoile franc-maçonne. Le G d’Apollon Génitor. Nous traduirons donc : le jour du G, d’Apollon, de son apparition de sous Terre. C’est bien ce qui vient d’être symbolisé par ce spectacle.




Par la suite apparaîtra le dragon métallique, que l’on voudrait faire passer aux yeux des spectateurs pour un cheval. On nous fait même entendre son hennissement dans le stade ! Mais alors pourquoi crache-t-il du feu ?




Nous trouvons là encore des géants qui le suivent comme des soldats. Enfin, le spectacle terminé, la flamme olympique est allumée par Cathy Freeman. Un ovni nous est alors montré, servant de réceptacle à la flamme olympique. L’ovni sort de terre, du monde souterrain, car rien ne laisse entrevoir qu’il y ait quelque chose posé au sol.




Les éléments de ce spectacle nous ont donc livré le spectacle d’un ovni ainsi que d’un dieu sortant de l’intérieur de la terre. Je n’ai pas eu la chance de voir ni d’enregistrer les J.O de 1988 et de 1996, mais pour ceux qui les auraient conservés, ils pourront désormais les voir sous un nouveau jour.





Les J.O d’Athènes




En 2004, à la cérémonie d’ouverture des J.O à Athènes, en Grèce, les figurants regardent se former une montagne blanche au centre de laquelle par un trou dans le sol, (ndr : le puits de l’abîme), surgit un arbre, un olivier, qui se positionnera au sommet de cette montagne, une fois celle-ci formée.




Les figurants regarderont monter l’olivier puis se mettront, tout comme aux J.O de 2000, à lever leurs bras en signe d’adoration et de bienvenue comme le faisaient aux temps anciens les peuples antiques lors d’immixtion de leur dieu.

Mais, alors, cet arbre ! En fait, bien plus qu’un arbre…un être, un dieu, représenté par son symbole végétal qu’est l’olivier. C’est-à-dire, encore lui : Apollon. Là aussi nous fut représenté symboliquement la sortie d’apollon de son royaume souterrain.



Beaucoup d’autres choses très intéressantes furent montrées pendant ces J.O de 2004. En Voici quelques exemples :



1 – Une tête sortit de terre à Sydney en 2000 et une autre sortit de l’eau, à Athènes en 2004. La seconde tête est conservée au musée d’Athènes. Il s’agit d’une idole cycladique, représentation d’un dieu.

Nous avons exactement là, la représentation du chapitre 13, verset 1 à 11 de l’Apocalypse, c’est-à-dire les deux bêtes, (dieux), l’une sortant de terre et l’autre de l’eau, la mer. Cette symbolique est peut-être à mettre en relation avec celle utilisée par Edgar Allan Poe dans son roman «Aventures d’Arthur Gordon Pym», qui est un récit initiatique inspiré de la Théorie de la terre creuse.




Tout à la fin du livre, le héros dérive au pôle sur une embarcation de fortune, et il est sur le point d’entrer à l’intérieur de la Terre. “Et alors nous nous précipitâmes dans les étreintes de la cataracte, où un gouffre s’entrouvrit, comme pour nous recevoir.

Mais voilà qu’en travers de notre route se dressa une forme humaine voilée, de proportions beaucoup plus vastes que celles d’aucun habitant de la terre. Et la couleur de la peau de la silhouette était de la blancheur parfaite de la neige.” Ces trois phrases du livre de Poe ne sont pas sans rappeler ce qui nous fut montré lors des deux dernières cérémonies des J.O.



2 – Le bateau où se trouve un garçon tout souriant pendant que l’orchestre joue sa musique macabre. Même type de bateau qu’en 1992. Coïncidence ?








3 – Enfin, le drapeau blanc olympique aux cinq anneaux porté par huit personnes fut reçu et accompagné un court instant par un petit groupe de figurants qui, bras levés, agitèrent des branches d’olivier en sa direction. Quelle peut être la raison de cet acte de bienvenue ?




La réponse en fait se trouve dans les cinq anneaux qui représentent les cinq continents de notre monde, c’est bien connu. Quand on sait à qui appartient le monde entier et, qui en est le roi, on comprend donc pour qui furent agitées ces branches d’olivier : le seigneur des anneaux, le roi du monde pour qui le stade des J.O. est le théâtre de ses apparitions symboliques devant des milliards de spectateurs par le biais de la télévision.





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2008 Pékin... 2012, MOSCOU, NEW YORK, PARIS OU LONDRES ?


En 2008, les J.O auront lieu en Chine… pays du dragon. C’est bien connu ! Et en 2012 Paris ou Londres ? Nous n’en avons pas confirmation à l’heure où nous rédigeons cet article.



Informations concernant Apollon et Isis/Vénus : Notre réalité existentielle physique est étroitement en phase, en symbiose spirituelle, métaphysique avec une réalité intériorisée, parallèle à notre monde où réside une autorité surhumaine qui exerce unilatéralement son influence dans les 2 mondes.


Cette autorité, cette entité est double et se fait connaître aux chamans sous l’aspect de 2 serpents. Les deux dieux régnants : la Dyade = Apollon + Isis.

Des expérimentateurs scientifiques du chamanisme ont analysé rationnellement leurs expériences et ont établi que l’ADN (les deux hélices), qui est la matrice de toute existence vivante terrestre, est directement émanée des deux serpents et fatalement en liaison avec eux.



Ces deux serpents, ces deux entités, influent négativement sur le comportement humain par l’intermédiaire du symbiote qui l’habite, c’est-à-dire l’ADN à la double hélice. Cette même hélice qui nous fut montrée au spectacle des J.O de Grèce en 2004.

Apollon fût en Grèce personnifié symboliquement par le serpent. Serpent que nous reconnaissons intrinsèquement comme une représentation symbolique satanique. Notez le symbole de Paris 2012 : le S, ayant la forme d’un serpent collé à coté du 2.

Pour ceux qui n’auraient pas saisi : les deux serpents qui dirigent le monde. Toutefois, rappelons que Paris est la ville d’Isis, fondée PAR - la volonté d’Is- IS, PARIS-IS, et non la ville d’Apollon. C’est aussi le cas de New-York qui présente d’ailleurs la déesse sur son logo NYC2012.




Finalement, Moscou et Londres semblent les deux villes les mieux placées pour organiser les J-O de 2012. Londres, “Londinium”, fut un port, fondé par les romains en 55 avant J-C, et placé sous la protection d’Apollon dont pourrait dériver la racine du nom “LON-dinium”, et comme en atteste le premier temple érigé alors, consacré à Mithra/Apollon.

Du reste, le Logo de Londres est très évocateur, avec ce “serpentin” aux couleurs olympiques qui “serpente” et s’enroule tout autour à la ville. Quant à Moscou, le symbole pour les J.O 2012 présente le dessin d’une montagne blanche avec en son centre un O, comme le cadran de l’horloge de la tour Spasskaïa, mais aussi comme la représentation du trou au pôle...




Petite anecdote : voici ce que nous apprenait une dépêche du 04/06/2005 à 10:26 :

Pour garder l’espoir dans les chances de Moscou, un groupe de jeunes russes âgés de 13 à 20 ans s’est rendu en Antarctique au mois de mars, pour porter aux confins de la terre, la candidature moscovite pour les jeux olympiques. Sur place, ils ont déroulé une immense banderole d’un demi kilomètre sur laquelle on pouvait lire “Paix. Moscou 2012”.


Curieux voyage vers une destination inattendue, et curieuse débauche de moyen pour une candidature Olympique... Les Russes ont-ils essayé d’amadouer les Dieux en se rendant au plus près du “puits de l’abîme” qui comme le raconte la légende est censé se trouver au pôle…


Le marathon à l'honneur durant les J.O de 2004



Le marathon des J.O d’Athènes se déroula dans le vieux stade olympique du Panathinaikon qui servit d'écrin pour les Jeux de 1896. Le parcours correspondait d’ailleurs au parcours historique.

Le marathon fut réellement l’épreuve phare de ces J.O puisque la remise des médailles eut lieu exceptionnellement lors de la cérémonie de clôture, en direct devant plusieurs milliards de téléspectateurs.

Du jamais vu. Cette circonstance exceptionnelle nous incite alors à nous interroger sur le malheureux évènement venu entacher l’épreuve. En effet, est-ce réellement un hasard si le champion brésilien Vanderlei de Lima a été lamentablement stoppé dans sa course par un forcené, alors qu’il était sur le point de gagner l’épreuve ?



Cet acte stupide permit finalement, au champion italien, ou devrais-je dire “Romain”, Stefano Baldini de recevoir la médaille d’or dans le stade grecque... Sans vouloir sombrer à tout prix dans la conspiration, on peut se demander si cet “attentat” fut vraiment l’oeuvre d’un déséquilibré isolé. De fait, cet irlandais portant le kilt a-t-il agit seul et de son propre chef ? ou au contraire, a-t-il obéi aux ordres d’un groupe occulte aux motivations racistes ?

Un groupe déterminé aurait-il pu avoir l’idée odieuse d’utiliser ce stratagème pour favoriser la victoire de “Rome”, ou tout du moins empêcher qu’un homme de couleur soit porté en triomphe, tel un Dieu, dans le stade d’Athènes, devant des milliards de téléspectateurs ?



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Conclusion


Je vais arrêter là pour cette petite initiation et interprétation des signes ostentatoires de la manifestation et de la présence active de ces dieux.

La liste serait trop longue, je n’ai donné que quelques exemples, mais l’essentiel est là, écrit et dévoilé.

Par ce qu’il m’a été donné de constater, je me rends compte qu’au fil du temps, la symbolique des cérémonies des différents J.O se fait de plus en plus explicite et insistante sur le message à faire passer. Je pense que maintenant chacun peut être amené à voir autrement ce qui nous est montré symboliquement et publiquement.

On peut d’ailleurs s’étonner de la cécité quasi générale de notre monde actuel qui ne parvient pas à saisir le sens profond de tels spectacles, et de tels signes symboliques pourtant si révélateurs, qui vont se glisser parfois jusque dans les cachets postaux des courriers officiels que nous recevons.

Alors si vous entendez à l’avenir : “la vérité est ailleurs”, prenez la peine de regarder, et vous constaterez que cet “ailleurs” n’est pas si loin, mais chaque jour sous nos yeux.




Source : Lionel Cros/Top Secret n°20


L’ancien secret du svastika et l’histoire cachée de la race blanche (partie 1)

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( D’après Wikipédia, le mot svastika est masculin si on en parle en tant que symbole. Au féminin, le mot concerne la croix en forme de svastika.)


La race blanche a été délibérément coupée de son ancestrale religion hindouiste, qui a été pratiquée dans l’Europe préhistorique pendant des milliers d’années avant l’arrivée du christianisme. Ce qui fait que les hommes de race blanche du monde ont « perdu leur chemin » et oublié qui ils sont spirituellement, abandonnant toute introspection dans leur poursuite de l’argent et des possessions matérielles.



Nous examinerons la censure actuelle de la foi hindoue en Europe, et la suppression de son symbole-clé, le Svastika. Nous verrons comment il en est résulté pour les blancs la perte de leur passé, de leur futur et de la grandeur de leur ancienne voie spirituelle.




Un antique disque d’or avec des svastikas au musée Otagon de Grèce, daté du 8ème siècle avant JC.



L’hindouisme – avec ses concepts d’une âme éternelle d’un niveau spirituel exceptionnellement élevé, la réincarnation, le karma, le yoga, le troisième œil et le nirvana (concepts auxquels adhèrent mystérieusement de nombreux blancs aujourd’hui) – est une tradition religieuse oubliée en Europe, longtemps avant le christianisme et la bible des hébreux ne viennent au jour il y a 2000 ans. Ce n’est pas un problème de race ou une opinion sans preuve ; c’est un fait académique.


Des svastikas découvertes sur des ruines dans toute l’Europe antique

Toutes les cultures anciennes d’Europe – c’est à dire les étrusques, les grecs, les romains, les gaulois, les celtes, etc – pratiquaient la même religion hautement spirituelle, l’hindouisme. On peut toujours voir ce symbole central de la religion, le svastika, partout sur les ruines d’Europe, visible dans cette étude de l’université de Yale datée de 1898 :



Les svastikas de l’ancienne Europe d’après une étude de l’université de Yale de 1898.




Un ancien svastika sur une poterie minoenne crétoise.





Ancienne mosaïque romaine avec svastika.





Une cruche crétoise en terre avec svastika, musée archéologique national d’Athènes.



La plupart des gens aujourd’hui associent l’hindouisme avec l’Inde. C’est correct. Mais l’hindouisme n’est pas né en Inde. Il a été apporté en Inde, selon les érudits. Avant de s’implanter en Europe, les érudits pensent que les aryens nomades (ou race blanche) ont envahi l’ancienne Inde par le nord, apportant l’hindouisme avec eux et l’introduisant dans le sous-continent, où il a toujours subsisté.

(Note : on nous a enseigné à l’école que le terme « aryen » signifie la croyance d’Hitler en une race maîtresse aux cheveux blonds, aux yeux bleus. Mais c’est un mensonge, purement et simplement. Historiquement, « aryen »a toujours signifié « gens de race blanche », c’est à dire européens. Des centaines d’années avant la seconde guerre mondiale, les érudits des universités mondiaux ont utilisé le terme « aryen » pour dénommer les blancs. Faites une simple recherche et vous le verrez.)

L’hindouisme est toujours pratiqué en Inde aujourd’hui. Mais l’Europe a pâti d’un destin différent. L’introduction de la chrétienté il y a deux mille ans a coupé la race caucasienne de ses racines indigènes hindoues, plongeant l’Europe dans l’Âge Noir duquel les européens ont tenté – mais ont souvent échoué – d’émerger.

Cette origine secrète de l’hindouisme et de la race blanche se révèle être une simple et fascinante chronique connue dans les cercles académiques comme le modèle historique de l’antique « Invasion aryenne de l’Inde ». À nouveau, ce n’est pas une théorie marginale ; elle est acceptée par une grande majorité mondiale de spécialistes, archéologues et professeurs.


L’invasion de l’Inde par les aryens

Les spécialistes d’aujourd’hui ont cru pendant des siècles que l’Inde préhistorique – le pays du svastika, symbole-clé de l’hindouisme – fut autrefois le berceau de deux races : celle des aryens à la peau claire et celle des dravidiens à la peau sombre.
La théorie de l’invasion aryenne postule que les dravidiens étaient des natifs de l’Inde depuis toujours et qu’ils furent à un certain moment envahis venant du nord par une race caucasienne nomade de guerriers, les aryens. La victoire des aryens fut rapide et complète, et ils choisirent de rester, en abandonnant leur vie de nomade et en se fixant parmi les natifs. 

Les aryens enseignèrent aux dravidiens leur culture et religion aryennes évoluées, dont le symbole est le svastika, amenant finalement la domination de leur culture et langue sur la partie septentrionale du sous-continent. Les aryens instituèrent le système des castes et s’établirent eux-mêmes en tant que caste dominante pour protéger leur peau blanche et conserver la pureté de leur sang. Ces aryens, selon les historiens, sont ceux qui ont composé les écrits sophistiqués des Védas ; ces écrits forment le cœur de la religion hindouiste.

À partir de l’Inde, les aryens migrèrent finalement vers l’ouest en Europe, créant des cultures évoluées en Allemagne, Grande-Bretagne, France, Espagne, Italie, Pologne etc. Tout caucasien américain qui peut retrouver ses racines familiales en Europe est un descendant de ces aryens historiques.
Encore une fois, ce n’est pas une opinion, c’est de la pure érudition.

Une conséquence intéressante à laquelle de nombreux occidentaux ne pensent pas au premier abord: longtemps avant la chrétienté, la plupart des caucasiens d’Europe pratiquaient une religion que nous appelons aujourd’hui l’hindouisme. Si les aryens ont apporté l’hindouisme en Inde, et que les européens descendent des aryens, comme le nécessite la chronologie, alors par conséquent tous les ancêtres des européens, à un certain moment, ont pratiqué une forme d’hindouisme.

Bien sûr, presque tous les occidentaux ont conscience aujourd’hui que le svastika est sacré chez les hindous qui vivent en Inde ; il est visible sur les temples, les autels, les écrits religieux utilisés dans les mariages, les festivités et les cérémonies hindous et peint sur les maisons, les vêtements et les bijoux.



Les svastikas en Inde



Temple hindou en Inde montrant des svastikas.





Musicien indien avec une guitare svastika.




Temple hindou avec svastika.

Beaucoup de gens de l’ouest ne savent pourtant pas que le svastika était autrefois le symbole le plus important et le plus prolifique d’Europe.





Svastikas dans l’ancienne Europe



Svastika provenant de l’ancienne Gaule. Musée gallo-romain, Lyon, France.




Ancien sol de mosaïque décoré de fleurs avec des svastikas à La Olmeda, Espagne. 




Artémis avec des svastikas. Grèce, autour de 700 avt JC.




Peu de temps après que l’archéologue allemand Heinrich Schliemann (1822-1890) ait fait la découverte révolutionnaire de la mythique Troie dans les années 1870, il trouva une multitude d’objets marqués du svastika dans les ruines de la cité. Après avoir consulté deux spécialistes en sanskrit, Émile Burnouf et Max Müller, Schliemann fut convaincu qu’il était un symbole religieux aryen central. Burnouf, orientaliste français, sentit que le svastika était la preuve non seulement de la migration vers l’ouest des tribus aryennes venant d’Inde, mais aussi la connexion symbolique à l’ancienne religion aryenne – l’hindouisme.

Au 20ème siècle, des représentations de svastika ont été découvertes sur des objets partout en Europe, incluses dans des mosaïques, des frises, des sculptures et des peintures, utilisés par les étrusques, les romains, les scandinaves, les sabins, les phrygiens et les grecs.

En dehors de l’Europe, le svastika a été trouvé dans des cités-états de Mésopotamie, sur des reliques hittites et iraniennes, et utilisé par des fidèles tibétains. Le svastika est également important dans l’hindouisme et le jaïnisme – descendant moderne de la religion préhistorique de l’hindouisme – en décorant des temples et formant un motif répétitif dans l’art chinois, coréen et japonais.



Le Dalai Lama avec des Svastikas.





Svastika sur un temple bouddhiste Japonais.




Idem.



Renouveau du svastika en Europe – « Dieu est mort »


Peu de temps après que l’archéologue allemand Heinrich Schliemann (1822-1890) ait fait la découverte révolutionnaire de la mythique Troie dans les années 1870, il trouva une multitude d’objets marqués du svastika dans les ruines de la cité. Après avoir consulté deux spécialistes en sanskrit, Émile Burnouf et Max Müller, Schliemann fut convaincu qu’il était un symbole religieux aryen central. Burnouf, orientaliste français, sentit que le svastika était la preuve non seulement de la migration vers l’ouest des tribus aryennes venant d’Inde, mais aussi la connexion symbolique à l’ancienne religion aryenne – l’hindouisme.




Les svastikas d’Edmonton, Canada 1916.




Équipe masculine de basket-ball à la svastika, San Francisco, 1908.





L’auteur franc-maçon anglais Rudyard Kipling (1865-1936) se servit du svastika sur la jaquette de ses livres.




L’actrice Clara Bow portant des svastikas dans les années 20.




Coca Cola fit faire un décapsuleur en forme de svastika.




À cette époque, les écrits de l’influent philosophe allemand du 19ème siècle Friedrich Nietzsche (1844-1900) ont aussi aidé à mettre le svastika en circulation. Nietzsche est célèbre pour sa dénonciation dépassionnée du monothéisme biblique. « Dieu est mort » , proclamation célèbre dans Ainsi parlait Zarathoustra (1883).
Que voulait dire Nietzsche par cette phrase provocante ?

Nietzsche accusait l’ascension de la religion chrétienne à l’ouest depuis le temps des romains d’avoir été un magnifique canular perpétré par les « juifs » (selon ses propres termes), conçu pour les mettre en position de pouvoir, d’influence et d’autorité. Le but des juifs, pensait-il, était de promouvoir un dieu hébreu à la place du dieu mondial en établissant la religion du Nouveau Testament sur les fondations de leur ancienne tradition de l’Ancien Testament.

Les enseignements de Nietzsche s’accordèrent avec l’atmosphère chargée antisémite et raciste de « l’Europe blanche » du 19ème et du début du 20ème siècle. Néanmoins, l’œuvre de Nietzsche n’est pas une diatribe antisémite ; son travail offre une avancée importante sur la manière dont l’Ancien Testament biblique (et son « Dieu » Yahvé) a été artificiellement greffé sur l’histoire européenne, coupant les blancs de leur religion hindou ancestrale et autochtone.

Dès la Renaissance, de nombreux européens ne voulaient déjà plus continuer la tradition biblique, qu’ils percevaient désormais comme étrangère à leur ancêtre. Au 19ème siècle, les érudits et les profanes européens avaient commencé à redécouvrir leur propre héritage religieux. Ce mouvement anti-judéo/chrétien prit des proportions considérables chez des érudits, académies et intellectuels, comme Aldous Huxley, qui se méfia toujours du monothéisme. Dans son article ‘Un et plusieurs’ Huxley dit que : « le monothéisme, tel que nous le connaissons à l’ouest, a été inventé par les juifs »

Les disciples des religions d’Abraham ou sémites du judaïsme, la chrétienté et l’Islam n’utilisaient pas le svastika. Les peuples sémites avaient une histoire religieuse, culturelle et linguistique très différente de celle des indo-européens (appelés indo-européen parce que les aryens s’établirent en Inde avant de migrer en Europe) ; les religions sémites présentes en Europe, via la chrétienté, sont beaucoup plus jeunes que la religion suggérée par le svastika.
(Prochainement, la deuxième partie.)





Source :  Richard Cassaro, traduction par Hélios du Bistro Bar Blog

L’ancien secret du svastika et l’histoire cachée de la race blanche (Partie 2)

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La première partie se trouve ici

Le sanskrit, langue maternelle d’Europe

Le modèle entier « d’invasion aryenne » vint au jour après que le philologue anglais Sir William Jones (1746-1794) reconnaisse des similarités entre l’ancienne langue indienne du sanskrit et les langages européens plus modernes, y compris le latin et le grec, le germanique, le celte et les langues slaves.



Les spécialistes ont découvert que le sanskrit était en fait la « langue-mère » de laquelle toutes les langues européennes avaient découlé. Les langues européennes sont aujourd’hui appelées « indo-européennes » en l’honneur de leur « indo » ou « indienne » (sanskrit) origine. D’autres chercheurs ont continué sur la lancée de Jones, montrant que l’avestan (zend) et l’arménien étaient aussi basés sur le sanskrit.
Le terme « aryen » dérive de l’ancien terme indien ancien (sanskrit védique) et perse (avestan) arya pour « noble ». Les tribus aryennes d’Inde appellent leur pays Aaryaa varta ou étendue aryenne. Les aryens d’Iran ont nommé de manière semblable leur pays Airyanem Vaejah, ou étendue iranienne, aujourd’hui connu comme Iran, qui est une variante de « aryen ».
Les occidentaux ignorants des ancêtres aryens de l’Iran les confondent avec les états arabes environnant qui ont basé leur religion partagée de l’Islam. L’Iran, pourtant, est différent de plusieurs façons, ayant conservé largement pendant des milliers d’années leur identité nationale, raciale et culturelle.
Le roi persan du 6ème siècle avant JC, Darius le Grand, dit dans une inscription :

« Je suis le roi Darius le grand…perse, fils de perse, et aryen, possédant un lignage aryen… »


Les deux tiers environ de l’actuelle population iranienne est décrite comme « caucasienne », descendant d’anciennes tribus aryennes qui se sont infiltrées en Iran et ont continué vers l’Europe depuis l’Inde du nord.

Darius 1er


Le dernier tiers est considéré comme turque et arabe.

Le Shah avait le titre de Arya-Mehr, ce qui veut dire « lumière des aryens ». Une ancienne tradition iranienne comparable au système de caste indien et toujours en pratique aujourd’hui est le règlement contre les mariages interraciaux. Les iraniens aryens ne sont pas autorisés par leur famille – et dans certains cas par une loi communale – à se marier avec des non-aryens.
Le célèbre philosophe allemand Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770-1832) pensait que la découverte linguistique de Jones était la preuve de la migration vers l’ouest des anciens aryens. Le spécialiste du sanskrit norvégien Christian Lassen (1800-1876) était d’accord, soulignant que les anciens aryens, de même que la haute caste indienne actuelle, avait le teint plus clair. Le lexicographe (personne qui écrit un dictionnaire, NdT) allemand Jacob Grimm (1785-1863), qui compila les anciens mythes aryens, qu’on appelle aujourd’hui « les Contes de Grimm » (c’est à dire La Belle au bois dormant, Cendrillon, et Rapunzel), affirmait que ces histoires ont servi pendant des millénaires de véhicules pour faire voyager dans le temps des enseignements spirituels incroyablement avancés.
Ces penseurs renommés possédaient une influence puissante en Europe, et ils exercèrent un fort impact sur le philologue et orientaliste allemand Max Müller (1823-1900), l’un des plus célèbres érudits du 19ème siècle.

Müller écrivait :

« Les nations aryennes…se tiennent devant nous dans l’histoire comme les principales nations de l’Asie du nord-ouest et de l’Europe….Elles ont des sociétés et des morales perfectionnées ; et nous apprenons par leur littérature et œuvres d’art des éléments de science, des lois artistiques, et des principes de philosophie….ces nations aryennes sont devenues les dirigeants de l’histoire et leur mission semble être de relier toutes les parties du monde par les chaînes de la civilisation… »


Au 18ème siècle les britanniques utilisaient déjà ce modèle dans le but politique de justifier leurs règlements d’occupation et de colonisation de l’Inde, qui débuta au début des années 1600 et se termina en 1947.
Plusieurs écrivains et historiens ont fait remonter les origines des aryens à la région montagneuse du Caucase ; ces montagnes font un pont entre l’Europe et l’Asie, et à partir de cette idée le terme « caucasien », inventé par l’anthropologue Johann Friedrich Blumenbach (1752-1840), se répandit largement.

Le déluge qui a englouti l’Atlantide


De nombreux spécialistes ont situé la patrie aryenne juste à l’est du Caucase vers le Tibet, le dénommé « toit du monde », où ils pensent que le déluge qui détruisit l’Atlantide envoya des réfugiés atlantes vers les hauteurs du Tibet, où ils restèrent en sécurité pendant des générations. Les aryens y prospérèrent lentement, selon cette idée, pour devenir les descendants directs et les héritiers de sang des atlantes. Chose intéressante, le philosophe allemand mondialement connu, Emmanuel Kant (1724-1804) a dit, décrivant le Tibet :

« Voici le pays le plus haut. Il a été sans doute inhabité avant et a pu même avoir été le site de toute création et sciences. La culture des indiens, comme on la connaît, est presque certainement venue du Tibet, tout comme notre art de l’agriculture, des nombres, le jeu d’échecs, etc. semble provenir d’Inde. »
De nombreux spécialistes, penseurs et philosophes acceptèrent cette chronologie comme une réalité. Rudolf Steiner (1861-1925), le fameux philosophe autrichien, écrivit dans Mémoires Cosmiques :
« La plus grande partie de la population atlantéenne déclina et une petite partie des descendants constitue les aryens qui composent l’humanité civilisée actuelle. »

L’opinion de Steiner dans l’ère pré-nazi reflète la croyance européenne répandue de son époque. Ceci peut surprendre les américains familiers de la réputation de Steiner en tant qu’éducateur innovant. Il y a aujourd’hui une centaine d’écoles Steiner à travers l’Amérique du nord plus des douzaines dans d’autres pays, au service de centaines de milliers d’élèves.



Au 4ème siècle avt JC, le philosophe grec Platon cita l’Atlantide dans ses dialogues Timée et Critias. Il en parle comme un empire antédiluvien sophistiqué qui fut florissant pendant des éons sur un continent aujourd’hui submergé au milieu de l’océan Atlantique, dont le nom est tiré. Platon maintenait que les atlantes possédaient une religion de sagesse hautement spirituelle, qui leur permit de « voir » leur « âme » divine et éternelle à l’intérieur du corps physique. Selon lui, voir l’âme intérieure autorisa les atlantes à maîtriser ses pouvoirs élevés.
Platon affirmait que la mémoire de ces pouvoirs a été préservée dans les fantastiques capacités attribuées aux « dieux » de la mythologie grecque et romaine ; au lieu d’être des dieux réels, ils étaient des mortels dotés de perceptions amplifiées grâce à leur connexion avec leur âme éternelle (je pense ici au Christ et au Bouddha). À une époque le royaume atlante s’affaiblit cependant en raison de sa tendance matérialiste, s’affaiblit suffisamment qu’ils commencèrent à perdre contact avec leur divinité intérieure qui leur accordait un tel pouvoir. Platon a écrit :
« Pendant plusieurs générations…ils obéirent aux lois et adorèrent le divin auquel ils s’identifiaient,…ils estimaient que les qualités de l’être étaient de loin beaucoup plus importantes que leur prospérité actuelle. Ils portaient donc le fardeau de leur richesse et possessions avec légèreté et ne laissèrent pas leur normes élevés de vie les intoxiquer ou leur faire perdre leur sang-froid… Mais quand l’élément divin en eux s’affaiblit…et que leur traits humains devinrent prédominants, ils ne furent plus capables de porter leur prospérité avec modération. »

Platon continue en expliquant que la fin de l’Atlantide survint il y a des milliers d’années, quand une série de catastrophes naturelles coula leur continent. Une poignée de survivants échappa à la dévastation, se dissémina dans différentes parties du monde en apportant avec eux leur religion bâtie sur les pyramides. Jusqu’à assez récemment la plupart des spécialistes pensaient que d’anciennes civilisations, séparées à la fois par le temps et l’espace, construisirent des pyramides et des monuments en forme de pyramides en l’honneur de leur culture-mère, l’Atlantide :




Même de nos jours cette théorie est encore largement soutenue et débattue. On peut trouver des pyramides en Inde, en Chine, au Pérou, en Bolivie, au Mexique, en Irlande et à de nombreux autres endroits (en Bosnie, NdT). Des structures si diverses avec des buts similaires semblent indiquer une connexion, s’il n’y a pas eu de communication entre les cultures pendant leur développement, il a dû exister une source commune.

Les sceptiques soulignent la disparité dans l’âge des pyramides autour du monde (certains spécialistes pensent que les pyramides de l’Ancien Monde furent construites des milliers d’années avant celles du Nouveau Monde). Pourtant, les spécialistes du Nouveau Monde repoussent continuellement la date des pyramides pré-colombiennes et il semble qu’il n’y ait qu’une histoire de temps avant que les dates soient en parallèle ; même si elles ne l’étaient pas, la similarité de construction, l’intention et le but des structures pyramidales des Ancien et Nouveau Mondes donnent au mieux l’idée qu’une coïncidence aussi exacte est improbable.

La plupart des spécialistes antérieurs à la seconde guerre mondiale sont d’accord que les pyramides étaient connectées à l’Atlantide. Ils ont découvert que le mythe du Déluge était commun à diverses cultures en tant que preuve de la fin de l’Atlantide, légendes parallèles d’une catastrophe mondiale à la suite de laquelle l’homme et la civilisation furent forcés de démarrer à la base ; ils ont vu les légendes comme découlant d’une vague mémoire culturelle de ce déluge atlante. Cette catastrophe a occasionné une digression générale – pas seulement une confusion culturelle de langues ; une digression dans la race physique atlante même. La capacité atlante de « garder la vision » de l’âme intérieure s’était perdue. Seule l’idée de l’âme éternelle subsista – et elle existe toujours de nos jours.

Selon ces penseurs une lente mais inévitable disparition de l’intégralité de la race atlante même se produisit aussi. Au cours des milliers d’années la race s’éteignit et la race « aryenne » ou « blanche » évolua à sa place.

En conclusion

La connexion du svastika à la race aryenne (ou, pour utiliser un terme plus récent, la race « caucasienne ») est claire, mais les événements modernes, des contradictions, et de fausses idées ont perverti la signification d’origine du svastika, surtout son association sémantique. Les spécialistes, anthropologues, linguistes et scientifiques ont compris que le svastika est la preuve des peuples aryens unifiés et hautement spirituels de l’Europe préhistorique.

La question est : pourquoi cette histoire a-t-elle été cachée à dessein ? Pourquoi n’est-ce pas enseigné dans les écoles ? Est-ce en raison de la connexion directe avec l’Atlantide ? L’Atlantide est-elle cachée par l’élite qui ne veut pas que le monde connaisse son existence passée, pour qu’ensuite les masses veuillent finalement découvrir l’antique religion de l’âme …et réaliser la vérité sur la divinité intérieure de l’homme et ses pouvoirs spirituels innés ?

Les idées d’Adolphe Hitler sur toutes les choses aryennes n’étaient apparemment pas différentes de celles des spécialistes dominants européens et des profanes aux 18ème, 19ème et début du 20ème siècle ; malheureusement les atrocités que lui et les nazis commirent sous le symbole du svastika ont laissé le public moderne avec une association sémantique très négative. Il y a eu en résultat une « censure » de ce magnifique symbole spirituel qui a plongé et plonge toujours les gens de la fin du 20ème siècle et du début du 21ème (c’est à dire nous) dans l’obscurité quant à ses magnifiques origines et signification spirituelles.

À gauche : la 45ème division américaine de la première guerre mondiale. À droite : Adolphe Hitler avec le svastika.

Que signifie réellement le symbole du svastika ? Qu’a-t-il symbolisé dans l’esprit des anciens qui l’utilisaient ? Comment ce symbole peut-il nous faire retrouver notre pouvoir aujourd’hui ?

Dans la troisième partie nous verrons:

–  les recherches des 19ème et 20ème siècles sur la connexion Atlante/aryenne
– la sagesse hautement spirituelle des anciens termes hindous Atman, Brahmane, 3ème œil, yoga, Samsara, Nirvana
– la réelle signification ancienne du svastika que nous sommes des dieux, vivant temporairement dans un corps humain
– comment les blancs ont été coupés de l’hindouisme par la bible, le judaïsme et la chrétienté


Source: Richard Cassaro, traduction par Hélios du Bistro Bar Blog

Le lac maudit de Normandie

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Aussi nommé le lac des maudits, 

le lac Flers est au coeur d'une ancienne légende normande. 


Près de la ville de Flers se trouve un bois dans lequel est renfermé un étang, ou plutôt un petit lac. Ce lieu est silencieux et isolé, et le mirage des grands arbres estompe la surface du lac de teintes si sombres qu’on se prend à rêver de quelque effrayant mystère qui se cache, comme un limon impur, au fond de ces eaux dormantes.





Il y a beaucoup, beaucoup d’années, dit la tradition, existait, sur cet emplacement, un couvent, fondé par un pécheur repentant, en expiation de ses péchés. Durant les premiers temps de la fondation, les moines menèrent si sainte vie que les habitants de la contrée environnante accouraient en foule, pour être édifiés de leurs pieux exemples et de leurs touchantes prédications.

Mais le couvent devint riche et somptueux, et, peu à peu, les moines se départirent de la stricte observance de leur règle. Bientôt, l’église du monastère demeura fermée, les chants religieux cessèrent de retentir sous ses voutes, une clarté triomphante ne vint plus illuminer ses sombres vitraux, et la cloche de la prière ne fit plus entendre son tintement matinal pour réveiller tous les coeurs à l’amour de Dieu. Mais, en revanche, le réfectoire, réjoui de mille feux, ne désemplissait ni le jour ni la nuit;

des choeurs bachiques, où perçaient des voix de femmes, frappaient tous les échos de leur sacrilège harmonie, et les éclats d’une folle ivresse annonçaient au voyageur et au pèlerin qui passaient devant l’enceinte du monastère que le sanctuaire de la dévotion et de l’austérité s’était transformé en une Babel d’impiétés et de dissolutions.



C’est ainsi, il arriva que, la veille d’une fête de Noël, les moines, au lieu d’aller célébrer l’office, se réunirent pour un profane réveillon. Cependant, quand vint l’heure de minuit, le frère sonneur étant à table avec les autres, la cloche qui, d’ordinaire, se faisait entendre à cette heure pour appeler les fidèles à la messe, commença a sonner d’elle-même ses plus majestueuses volées. Il y eut alors, dans le réfectoire, un moment de silence et de profonde stupeur. Mais un des moines les plus dissolus, essayant de secouer cette terreur glaçante, entoura d’un bras lascif une femme assise à ses côtés, prit un verre de l’autre main, et s’écria avec insolence: « Entendez-vous la cloche, frères et soeurs ?



Christ est né, buvons rasade à sa santé! » Tous les moines firent raison à son toast, et répétèrent, avec acclamation: « Christ est né, buvons à sa santé! » Mais aucun d’eux n’eut le temps de boire: un flamboyant éclair, comme l’épée de l’archange, entrouvrit la nue; et la foudre, lancée par la main du Très-Haut, frappa le couvent, qui oscilla sous le choc, et tout à coup s’abîma à une grande profondeur dans la terre. Les paysans, qui s’étaient empressés d’ accourir à la messe, ne trouvèrent plus, à la place du monastère, qu’un petit lac, d’où l’on entendit le son des cloches jusqu’à ce que le coup de la première heure du jour eut retenti.



Chaque année, disent les habitants du pays, on entend encore, le jour de Noël, les cloches s’agiter au fond du lac; et c’est seulement pendant cette heure, où les moines sont occupés à faire retentir le pieux carillon, que ces malheureux damnés obtiennent quelque rémission aux tourments infernaux qui les consument de leurs plus dévorantes atteintes.



Auteure : Amélie Bosquet, 1844 ( Le Lac de Flers )

La mine des hollandais : une mine en or massif ...

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En Arizona, quelque part dans les monts de la Superstition, se trouverait une mine d’or si riche qu’il suffirait de frapper ses parois à coups de marteau pour en détacher des pépites.






Mais ce filon légendaire a su garder son secret : la mort et le désastre furent bien souvent le lot de ceux qui tentèrent constamment de s’en emparer. Enfin, depuis un demi-siècle, on en a totalement perdu la trace.


Dans la région, on l’appelle « la mine des Hollandais ». On avait en effet prit pour des Hollandais deux des nombreux prospecteurs qui, au cour du XIXe siècle, en revendiquèrent la possession. C’était en réalité, des Allemands.


L’histoire de sa découverte se perd dans la légende. On pense que des Apaches en indiquèrent l’emplacement aux Européens, lorsque les premiers moines venus des colonies du Mexique s’installèrent en Arizona.





On trouve pour la première fois mention de cette mine dans des documents espagnols datés de 1748 : elle faisait partie d’une donation du roi Ferdinand VI à don Miguel Peralta, en même temps que 9700 kilomètres carrés de ce qui constitue aujourd’hui l’Arizona. Au cours du siècle suivant, les héritiers de Peralta, qui habitaient au Mexique, se seraient rendus plusieurs fois à la mine. Enfin, en 1864, si l’on en croit des prétendants plus tardifs, un certain Enrico Peralta aurait monté une expédition vers l’Arizona.




Les Apaches sur le sentier de la guerre


À cette époque, les Apaches étaient redevenus hostiles. La colonne d’Enrico tomba dans une embuscade. La bataille dura trois jours, après quoi tous les colons furent massacrés, à l’exception d’un seul qui parvint à regagner le Mexique avec une carte indiquant l’emplacement du filon.





Mais un autre Européen allait le découvrir à son tour. Cet homme, le docteur Abraham Thorne, était établi en Arizona, où vivait il vivait en bon terme avec les indiens. En 1870, ceux-ci lui proposèrent de lui montrer un endroit où il pourrait ramasser de l’or… à condition d’accepter d’avoir les yeux bandés tout au long d’un trajet de 32 kilomètres.


Lorsqu’on ôta le bandeau, Thorne vit qu’il se trouvait dans un canyon. À 1 ou 2 kilomètres au sud se dressait une aiguille rocheuse. Aucun indice ne signalait l’existence d’une mine, mais, au pied de l’une des parois du ravin, se trouvait un morceau d’or, pratiquement pur.


Les « Hollandais » entrèrent en scène l’année suivante. Il s’agissait de deux aventuriers allemands, Jacob Waltz et Jacob Weiser. Ceux-ci prétendirent avoir sauvé un homme appelé don Miguel Peralta, lors d’une rixe survenue dans la ville d’Arizpe, au Mexique. Ce don Miguel se trouvait être le fils d’Enrico. Aux hommes qui l’avaient sauvé, il parla de la mine qui appartenait à sa famille.


Les deux Jacob acceptèrent de l’accompagner en Arizona : là-bas, on se partagerait le trésor. Si l’on en croit le témoignage que firent, chacun de leur coté, les deux Allemands, le trio aurait découvert la mine grâce à une carte de la famille Peralta, et rammassé pour 60 000 dollars de métal précieux. En échange de la moitié des profits, don Miguel aurait alors donné aux Allemands la carte et le titre de propriété. Sur ces entrefaites, le docteur Thorne retourna dans la région avec un groupe d’amis, mais cette fois, les Apaches les massacrèrent.




En 1879, les Allemands revinrent seuls dans le canyon, en s’orientant grâce à la carte que leur avait donné don Miguel. Ils surprirent alors deux Mexicains occupé à fouiller la mine et les tuèrent. Avant sa mort, qui survint douze mois plus tard, Waltz décrivit ainsi l’endroit : « C’était un pays accidenté au point que l’on pouvait être exactement à l’emplacement de la mine sans pour autant la voir. » La mine consistait en un large puits, évasé en entonnoir.


Les Allemands avaient continué d’exploiter la mine, puis le drame s’était produit : un soir qu’il rentrait au campement, Waltz constata la disparition de Weiser. Sur le sol se trouvait une chemise trempée de sang et des flèches apaches.

Des soldats sont tués


Au cours des années 1880 et 1881, la mine fut retrouvée hasardeusement par deux jeunes soldats qui se montrèrent un beau jour dans la ville de Pinal avec des sacoches remplies d’or. Ils racontèrent que ce minerai provenait d’une mine en forme d’entonnoir situé dans un canyon non loin d’une aiguille rocheuse. Puis, ils retournèrent sur les lieux. On ne les vit pas revenir.





Enfin, en 1882, les Apaches prirent une grande décision : puisque l’avidité des hommes blancs ne faisait que semer la violence et la mort, ils allaient dissimuler la mine. C’est un indien surnommé Jack l’Apache qui rapporta plus tard cette décision de sa tribu : les squaws furent chargées de combler le puits. On déplaça les roches alentour en guise de camouflage. Puis les esprits vinrent prêter main-forte : un tremblement de terre bouleversa totalement le paysage.

Des documents falsifiés


Les prospecteurs poursuivirent obstinément leurs recherches. Hélas ! en 1895, un événement survint qui allait leur compliquer la tâche : un homme appelé James Addison Reavis fut condamné par un tribunal de Santa Fe, Arizona, pour avoir lui-même fabriqué des documents anciens attestant la donation de cette région à don Miguel Peralta. L’enquête révéla que Reavis s’était rendu au Mexique et en Espagne pour glisser ses faux dans les archives. Il avait couronné ses efforts en épousant une Mexicaine qu’on disait l’héritière de la famille Peralta.


Mais Reavis, pour monter son escroquerie, s’était certainement fondé sur des faits réels. Une famille du Mexique, semblerait-il, possédait bien une mine en Arizona. Des membres de cette famille s’y seraient rendus à plusieurs reprises pour y collecter du minerai. Il parait également vraisemblable que Weiser et Waltz aient reçu – ou volé – une carte de la région.




Enfin, deux nouveaux événements, survenus au XXe siècle, vinrent confirmer toute l’histoire.
En 1912, des prospecteurs découvrirent des lingots d’or dans les hautes herbes, à l’endroit même où Enrico Peralta avait, dit-on, combattu les Indiens en 1864. Tout près de là se trouvaient les vestiges d’un campement. Enfin, trois arbres avaient été abattus, sans doute pour fabriquer les poteaux de la mine. Dans cette contrée se dressait également une aiguille rocheuse; elle est aujourd’hui connue sous le nom de l’aiguille de Tisserand.


En 1931, un homme appelé Adolph Ruth raconta à ses amis qu’il avait fait l’acquisition d’une carte auprès d’un certain Peralta. Puis, il partir dans les montagnes. Quelques semaines plus tard, on retrouva son corps décapité. Dans la poche de sa veste se trouvait un papier portant ces mots : « Environ 60 mètres à partir de la caverne. » Au-dessous se trouvait la formule latine : Veni, vidi, vici (« Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu »).


Depuis lors, on a bien des fois prospectée la région, avec toute la minutie nécessaire. Jamais, pourtant, ne fut retrouvée la moindre trace de la mine, la fabuleuse mine des Hollandais.



Extrait de: Stranges stories, amazing facts, Reader's Digest, 1979 p. 336-337

L’ancien secret du svastika et l’histoire cachée de la race blanche (Partie 3)

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On a trouvé abondamment de svastikas, ancien symbole hindou, dans les ruines européennes du néolithique depuis ces deux derniers siècles de fouilles archéologiques. Ceci a convaincu les spécialistes, passés et présents, que les européens de la préhistoire pratiquaient une forme primitive d’hindouisme (avec ses concepts élevés d’âme éternelle, de transmigration, de karma, de yoga, de troisième œil et de Nirvana). L’apparition du christianisme a mis fin à l’hindouisme européen et a plongé l’Europe dans les âges sombres.

La première partie se trouve ici
La deuxième partie se trouve ici



Mosaïque géométrique représentant d’anciennes svastikas romaines. Musée de Cologne, Allemagne.

Cela fut-il le coup fatal délibéré d’une guerre occulte plus vaste pour supprimer le soutien spirituel de la race blanche ? De nos jours les blancs fuient la spiritualité, faisant une chasse à l’argent et aux gains matériels ; sans savoir que leurs ancêtres avaient compris les secrets de la conscience et de la vie après la mort.

Nous avons vu dans la partie 1 comment les svastikas trouvées sur d’anciens artéfacts européens avaient convaincu les spécialistes que les européens de la préhistoire pratiquaient l’hindouisme – longtemps avant que la chrétienté ne balaie et dévaste le continent.

L’invasion aryenne de l’Inde


Des spécialistes pensent qu’au début de l’Inde préhistorique, des groupes importants d’aryens d’Asie centrale, peut-être du Tibet – dont les spécialistes parlent en tant que caucasiens ou « blancs » – ont envahi le sous-continent indien. Marchant par vagues successives vers l’est ces tribus aryennes atteignirent la fertile plaine du Gange, où ils établirent une nouvelle société qui deviendrait le fondement de l’hindouisme tel qu’on le connaît.

Les indiens natifs, appelés les « dravidiens », ont été doucement repoussés vers le sud par les incursions aryennes. On peut voir encore aujourd’hui le résultat de ce conflit de cultures, avec l’Inde du sud apparaissant très différente de sa contrepartie du nord, aussi bien en termes de langue que de traditions. Comme déjà dit, les aryens parlaient l’indo-européen, langue que les spécialistes affirment former la base de tous les langages européens ; d’où une autre affirmation que ces mêmes aryens étaient aussi les premiers européens.

Les Védas, le plus vieux recueil existant de littérature hindoue, écrit entre 2000 et 1000 avt JC, ont enregistré l’invasion aryenne. En sanskrit, Véda veut dire « recueil de connaissances ». Les spécialistes pensent que les Védas dérivent d’une tradition orale apportée par les aryens.

C’est dans les Védas que nous apprenons en premier l’existence d’un système hiérarchique de caste qui divise la culture hindou en quatre groupe distincts plus les Intouchables. De l’Inde, les aryens migrèrent vers l’ouest en Europe, créant des cultures évoluées en Allemagne, Grande-Bretagne, France, Espagne, Italie, Pologne etc. Chaque caucasien américain qui peut retrouver les traces de ses racines familiales est descendant de ces aryens historiques.

Donc, avant le christianisme, la plupart des caucasiens d’Europe pratiquaient l’hindouisme.

Si les aryens ont apporté l’hindouisme en Inde, et que les européens descendent des aryens, comme le nécessite la chronologie, alors par conséquent tous les ancêtres européens, à un moment quelconque de l’histoire, ont pratiqué une forme d’hindouisme, avec ses concepts spirituels élevés.

Hindouisme – la religion des anciens aryens


Nous en avons des preuves grâce au svastika, symbole central de l’hindouisme, visible sur d’antiques ruines et artefacts européens :


Ancienne mosaïque à Athènes, Grèce.

Nous pouvons lire dans Marées barbares,a une publication de 1982 de la respectée bibliothèque Time-Life, que les aryens (terme utilisé par les spécialistes de l’ère pré-nazie pour décrire les habitants « blancs » d’Europe) ont introduit l’hindouisme sur le sous-continent indien avant de l’installer en Europe :

« Ces gens, les aryens, ont dispensé leurs institutions sociales au sous-continent indien et engendré une culture spirituelle unique, l’hindouisme. »
Bibliothèque Time-Life, 1982



Un siècle avant que le livre de Time-Life ne soit publié, William Henry Goodyear (1846-1923), un archéologue américain de renom, historien d’art et conservateur de musée (et fils de Charles Goodyear des pneus Goodyear) écrivit dans son livre Grammaire du lotus :

« …Le svastika était un « emblème aryen »…Supposer que les aryens hindous aient emporté le svastika avec eux en Inde est…parfaitement cohérent, il appartient depuis à l’art préhistorique d’Europe… »

William Henry Goodyear, Grammaire du Lotus, 1891


William Henry Goodyear fut le premier conservateur du Metropolitan Museum d’art à New York.
Autour de cette période, en 1876, nous lisions dans Un manuel scolaire de géographie moderne, écrit par John Richardson, vicaire de l’hôpital Ste Marie à Londres :

« Les hindous aryens…dans des temps très anciens…se séparant de la grande famille des hautes terres d’Asie Centrale, traversèrent l’Himalaya, descendirent dans les plaines de l’Indus et du Gange, envahirent une grande partie de la péninsule, et introduisirent une civilisation et une religion qui sont aujourd’hui dominantes en Inde. »

– John Richardson, Manuel scolaire de géographie moderne, 1876

John Richardson (1810 – 1888).


Dans son livre de 1881, un petit livre d’histoire de l’Inde, Sir Roper Lethbridge, académicien britannique et membre de la Chambre des Communes, a écrit un chapitre intitulé « La conquête de l’Inde par les hindous aryens » dans lequel il explique :

« Les compte-rendus…des premiers envahisseurs aryens…proviennent principalement de l’étude des hymnes védas, les plus anciens livres religieux des aryens…
Les envahisseurs de l’Inde…appartiennent à une race (appelée aryenne ou indo-européenne) qui incluait les anciens grecs, romains et perses, et la plupart des nations modernes d’Europe, comme les nations anglaise, allemande, française et de nombreuses autres. »

Sir Roper Lethbridge, Un petit manuel sur l’histoire de l’Inde, 1881

Ces citations montrent la croyance au long cours et professée actuellement par l’académie que les aryens ont apporté l’hindouisme en Inde et ensuite en Europe. Alors que le christianisme remplaça l’hindouisme en Europe, l’hindouisme resta actif en Inde.
Donc la question est : pourquoi cette fascinante histoire de la race blanche et de la religion hindouiste est-elle censurée aujourd’hui par virtuellement tout ce qui est officiel dans la société occidentale ?


L’histoire interdite de la race blanche


L’hindouisme aryen est gardé secret exprès, semble-t-il. Il n’est pas enseigné dans les écoles ou universités. Pas expliqué dans les films, littérature dominante, à la TV, à la radio, dans les journaux ou magazines ou par les médias dominants. Le fait que vous n’en sachiez rien est la preuve en soi d’une opération de camouflage.

Symbole censuré dans une étude de 1898 de l’université de Yale montrant « Les svastikas de l’ancienne Europe. »

Encore plus étrange est la manière dont les blancs s’identifient à la religion juive, au lieu de la religion hindouiste de leurs ancêtres aryens. On nous a tous enseigné les histoires bibliques de Moïse et les Dix Commandements, l’Exode d’Égypte, l’arrivée dans la Terre Promise, la royauté de David et Salomon, et ainsi de suite. L’histoire juive a été artificiellement greffée sur le psychisme européen de manière que les européens s’identifient aux ancêtres juifs comme si c’était les leurs ; en d’autres mots, les blancs sont assimilés aux juifs. Pourquoi ?

La raison en est qu’il semble y avoir quelque chose de caché mais puissant dans l’histoire aryenne que les élites qui dirigent le monde pensent menaçant. Si nous cherchons la trace des racines aryennes dans les profondeurs du passé nous découvrons exactement ce qu’est cette « zone interdite ». C’est un trésor d’élévation spirituelle et de sagesse puissante et il est basé sur ce qu’on peut appeler la « connexion aryenne-atlante ».


La connexion aryenne-atlante


Cette connexion aryenne-atlante a été introduite dans l’ère moderne par la célèbre mystique russe Héléna Pétrovna Blavatsky (1831-1891), fondatrice de la « Société Théosophique » en 1875 à New York. Son ouvrage majeur, la doctrine secrète, a été publié en 1888 et a eu un impact mondial important. Son influence sur Adolphe Hitler et les nazis, qui est virtuellement négligé par les historiens, a complètement changé le cours du 20ème siècle. Notez le svastika sur le logo de son organisation :



Héléna Blavatsky – Logo de la Société Théosophique, New York, 1875. Remarquez le svastika.


Ignorant le concept biblique de « Dieu-a-fabriqué-l’homme-en-six-jours », Blavatsky affirma l’ancienneté, la primauté et l’universalité de la soi-disante Doctrine de la chute de l’homme et de sa descente dans la matière, qui forme la doctrine racine d’une majorité de courant de pensée (hindouisme, bouddhisme), de la philosophie grecque et des cercles ésotériques occultes occidentaux modernes.

La doctrine enseigne que derrière les hommes et femmes de chair il y a des « dieux » ou des âmes éternelles » qui ont chuté dans le « monde matériel » depuis notre foyer spirituel des cieux vers lequel l’âme doit finalement retourner. Durant sa chute, l’âme a revêtu un épais vêtement en forme de corps physique, ce qui fait qu’il ne reconnaît pas sa nature innée, éternelle et divine.


« Vous n’avez pas d’âme. Vous êtes une âme. Vous avez un corps»
– C.S. Lewis


« L’homme est un dieu dans le corps d’un animal selon le verdict de l’antique philosophie… »
– Dr. Alvin Boyd Kuhn


« L’homme est un dieu en ruine. »
– Ralph Waldo Emerson


Selon Blavatsky, la chute de l’âme est un « reste de sagesse » provenant de la civilisation antédiluvienne hautement sophistiquée de l’Atlantide. Comme nous l’avons vu dans la partie 1, le philosophe grec Platon fut le premier à parler de l’Atlantide au 4ème siècle avt JC, la rapportant comme un royaume d’îles aujourd’hui submergé qui fut autrefois florissant dans l’océan atlantique.

Platon assurait que les atlantes possédaient une religion-sagesse hautement spirituelle, qui les rendit capable de « voir » leur propre « âme » à l’intérieur du corps physique. Voir l’âme intérieure a permis aux atlantes de maîtriser ses hauts pouvoirs, jusqu’à ce que lentement leur part « humaine » commence à prendre le dessus sur leur part « divine » :



« …l’élément divin en eux s’affaiblit…et leurs traits humains devinrent prédominants, et ils cessèrent de pouvoir vivre leur prospérité avec modération. »

– Platon, Timée et Critias


Source: Richard Cassaro, traduction par le Bistro Bar Blog

Le meurtre de Sharon Tate en 1969 a t-il été simulé ? Une approche révolutionnaire des événements entourant cette affaire

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Le meurtre de Sharon Tate, alors épouse de Roman Polanski en 1969 par la « Famille » dirigée par Charles Manson ne serait-il qu’un simulacre ? Une fraude impliquant de nombreux acteurs allant jusqu’aux services de renseignements étasuniens ?
C’est en effet ce que je vous propose de découvrir à partir de la traduction de The Tate Murders Were Faked, publié par Miles W. Mathis sur son site, mileswmathis.com.
Traduction réalisée par le blog Triangle qu’on peut remercier pour ce travail conséquent.

Ayant moi même parcouru en très grande partie l’article, j’ai pu constaté la solidité du contenu et des preuves avancées par Miles W. Mathis.
Pour résumer très brièvement, il y’a en effet de très nombreuses incohérences et étrangetés dans cette histoire concernant le meurtre de Sharon Tate :
– les photographies « suspectes » de la victime prises après le « meurtre »,
– les liens de Charles Manson et de la « Famille » avec des personnalités liées au gouvernement,
– le père de Sharon Tate, ancien colonel de renseignement miliaire à la retraite mais qui infiltra des membres de la communauté hippie sur plusieurs mois,
-le procès qui sembla être une grande pièce de théâtre avec des acteurs et actrices à la belle plastique, souriant et semblant sortir d’Hollywood pour jouer le rôle des « meurtriers »,
-également des incohérences à savoir si Charles Manson et ses complices sont réellement en prison depuis plus de 40 ans (port de barbe non réglementaire, de perruques, interviews à répétition, parfois dans des lieux qui n’ont rien à faire dans des prisons comme une salle de classe),
-les fausses pistes du satanisme pour rendre plus crédible la véracité des meurtres qu’auraient causé Manson et sa troupe,
-Sharon Tate qui vers de 1990 à 2000 se serait fait passée pour sa troisième soeur (qui n’aurait visiblement jamais existé),
-liens avec l’ancienne base militaire « Lookout Montain » qui a produit plus de 19 000 films,
-de nombreuses anomalies concernant des photos prises quelques semaines avant le supposé meurtre de Sharon Tate ainsi que sur des photos prises après l’arrestation de certains membres de la « Famille » lors de leur séjour en prison,
-des membres de la polices qui sont habillés différemment et de façon non réglementaire lors de l’arrestation de Manson avec une équipe technique de caméramans aussitôt sur place,
-la maison en elle-même qu’occupait le couple Polanski et Sharon Tate avant le meurtre présentait des anomalies pour un soit disant couple de célébrité,
-les jeunes membres de la « Famille » qui avaient eu pour la plupart une vie tout à fait normal et sociable durant leur adolescence : capitaine de l’équipe de water-polo, petites filles à papa… En bref des actrices et acteurs qu’on a recruté pour un rôle plutôt que de rebelles et futurs meurtriers psychopathes soit disant sous LSD.
Ainsi que d’innombrables autres indices et « alertes rouges » sur le caractère complètement fabriqué et scénarisé de cette affaire.


Il faut se remettre dans le contexte de l’époque avec Nixon au pouvoir et la crainte du mouvement hippie qui prenait de l’ampleur. Cette affaire aurait en autre servie à décrédibiliser aux yeux du pays, cette communauté ainsi que le mouvement d’opposition à la guerre au Viet Nâm.
Une sorte de false flag sans victimes un peu comme avec le cas très suspicieux de Sandy Hoox en 2012 (et tant d’autres me diriez-vous…)
L’article étant très long avec de nombreuses images, je ne mettrais ici que le début et la conclusion finale, je vous conseille vivement de le parcourir, rien que pour son côté passionnant. Il est divisé en plusieurs parties qui peuvent se lire indépendamment des autres.

Partie 1: la toile de fond
    Je suis tombé sur de nombreuses « théories du complot » ces dernières années, et aussi incroyable que cela puisse paraître, celle-ci n’en fait pas partie. J’ai fouillé chaque recoin de l’internet à la recherche d’informations sur cette théorie et je n’ai rien trouvé, même sur Above Top Secret ou des sites de ce genre.
Mais à présent que nous savons que de nombreuses tragédies récentes ont été montées de toutes pièces à la sauce hollywoodienne, pourquoi ne pas faire un retour en arrière de quelques décennies, pour vérifier depuis combien de temps cette pratique a été mise en œuvre?
    Avant de commencer, je dois vous dire deux choses. Tout d’abord, nous allons devoir étudier les photographies de la scène du meurtre de Sharon Tate, mais n’ayez crainte: elles ne sont pas aussi terribles que vous pouvez le penser. J’appréhendais quelque peu le moment où j’allais devoir cliquer dessus pour la première fois, mais j’ai finalement été très surpris.
Elles ne sont pas du tout telles qu’on a voulu nous le faire croire. Quoi qu’il en soit, nous allons y aller pas à pas, et je vais vous démontrer sans l’ombre d’un doute qu’il s’agit de faux avant même de vous les montrer. D’ici là, vous serez déjà quasiment certains qu’elles ne sont pas ce qu’elles sont censées être, et vous ne serez plus terrifiés à l’idée de les regarder.
Ensuite, je vais vous préparer en vous expliquant pourquoi les meurtres devaient être simulés. Il sera beaucoup plus aisé pour le lecteur de comprendre comment ils ont été simulés une fois qu’il aura compris pourquoi ils ont été simulés.
    Il s’avère que la désinformation a été omniprésente à l’occasion de cette tragédie fabriquée de toutes pièces – ainsi qu’avec toutes les autres. Ce n’est qu’après avoir soigneusement étudié cette série de meurtres que j’ai pu me rendre compte que toutes les « théories alternatives » étaient fausses, et probablement mises en avant pour tromper le public délibérément.
En d’autres termes, ces théories alternatives semblent elles aussi avoir été écrites par des services de renseignement. Ces théories peuvent être des manœuvres de diversion qui nous emmènent, par exemple, sur le terrain du satanisme, de Crowley et de Lavey; ou alors elles nous appâtent avec quelques bribes d’informations véridiques et des spéculations légitimes, avant de nous amener sur une voie de garage. Mae Brussell est une bonne illustration de cette dernière tactique.
Elle a certes admis que les intentions du gouvernement étaient néfastes, mais n’a pas réellement expliqué quelles étaient ces intentions. Brussell avait l’apparence d’une chercheuse alternative, mais elle ne s’est jamais approchée de la vérité. Elle pointait certes la CIA du doigt, ce qui s’avère relativement exact, mais elle n’est jamais allée plus loin. Elle était soit une chercheuse de piètre qualité, soit un agent de la CIA elle aussi. J’ai tendance à pencher pour la deuxième possibilité.
Si elle avait réellement des révélations importantes à faire, elle n’aurait pas été autorisée à passer à la radio. Le simple fait qu’elle ait pu s’exprimer sous son véritable nom signifie qu’elle était sur une fausse piste. Elle a été autorisée à parler parce que ce qu’elle disait ajoutait à la confusion générale, tout en faisant la promotion des principaux points de l’histoire officielle. Bien entendu, la CIA apprécie beaucoup la confusion.
    Par exemple, Brussell a donné une interview d’une heure à KLRB en 1971. Elle a pu y parler de la Grèce, du procès Ohta/Frazier, de Tex Watson, de James Earl Ray et de Lee Harvey Oswald, mais elle ne dit pas un mot sur Paul Tate, le père de Sharon Tate. Elle ne dit pas un mot sur Lookout Mountain. Elle ne dit pas un mot sur les photos trafiquées. Elle ne dit pas un mot sur les opérations Gladio et CHAOS.
Le lien se trouve en Italie, pas en Grèce, comme nous allons le voir, et son interview a donc toutes les apparences d’une diversion. J’admets que ce qu’elle dit est en grande partie véridique, voire même quasi-révolutionnaire; mais la plupart de ses déclarations sont hors-sujet. En 1976, elle continuait à dire exactement la même chose: elle n’avait pas ajouté le moindre élément à sa recherche en cinq ans.
    Étrangement, l’interview de Brussell de 1971 débute par un indice, qu’elle nous donne consciemment ou inconsciemment:
    Pour y parvenir [à contrôler les gens] vous mettez un masque à certaines personnes que vous placez à des postes d’influence; elles deviennent alors des acteurs sur une scène, et elles influencent nos esprits d’une façon qui n’est pas réelle mais qui modifie une réalité qui nous affectera par la suite. [C’est moi qui souligne]
    Comme je vais bientôt le démontrer, c’est exactement ce qu’il s’est passé: certaines personnes portaient un masque, d’autres étaient des acteurs, et toutes ont fabriqué un événement qui n’était pas réel mais qui a été utilisé pour contrôler notre vision du monde pendant des décennies. Mais au lieu de le reconnaître et de le dire haut et fort, Brussell a poursuivi son discours et a au contraire suggéré que ce que nous avons vu était bien réel. Peu après, elle qualifie les meurtres de Tate et des autres de massacre politique.
    Pour ma part, je trouve réellement choquant que les gens aient pu croire pendant si longtemps à la réalité de ce simulacre de tragédie. La trame était tellement cousue de fil blanc, si incohérente et si absurde, que j’ai du mal à comprendre comment qui que ce soit a pu s’y laisser prendre. Comme vous allez le voir, les signaux d’alerte étaient omniprésents.
La seule façon d’expliquer comment tout ceci a pu être présenté comme étant la réalité des événements réside dans le contrôle total des médias, ainsi que dans la crédulité du public. Je pense que le gouvernement et Hollywood ne pourraient pas se permettre de présenter un canular de ce type de nos jours, étant donné que les gens sont désormais plus attentifs aux effets visuels.
On reconnaît désormais plus facilement un élément falsifié, et les falsificateurs actuels doivent être beaucoup plus prudents que leurs prédécesseurs s’ils veulent parvenir à nous tromper. Il semble malheureusement que personne ne se soit penché sur les éléments de ce dossier pour démonter ce canular autour de Sharon Tate, qui a été considéré comme bien réel pendant quarante-trois ans, alors que le canular de Sandy Hook s’est effondré en quelques semaines.
   Avant de nous intéresser aux photographies qui sont toujours disponibles sur internet, et qui sont aisément accessibles pour n’importe quel chercheur, examinons l’environnement historique et politique. Les prétendus meurtres commis par Manson et sa « Famille » ont eu lieu le 9 août 1969. Ceux qui ont vécu ces événements manquaient du recul nécessaire, mais ce n’est pas notre cas en 2012. Nous ne voyons pas seulement les effets, mais aussi les causes.
Nous pouvons envisager des liens entre les événements de cette période que les contemporains ne pouvaient soupçonner. Pour commencer, nous étions alors au zénith du mouvement hippie. Le Monterey Pop Festival avait eu lieu à l’été 1967, et Woodstock allait se tenir tout juste une semaine après les prétendus meurtres de Manson. Notez bien ceci: les meurtres supposés ont eu lieu le 9 août, et Woodstock a débuté le 15 août. Coïncidence? Pour l’instant, vous seriez tentés de répondre positivement à cette question, mais d’ici la fin de cet article vous répondrez probablement par la négative.
    Il faut aussi se souvenir que le People’s Park [ndt: parc du peuple] de l’université de Berkeley en Californie ouvrit en avril 1969. Bien que ce parc ait avant tout été un jardin public de fortune, il servait aussi de tribune pour des discours opposés à la guerre, ainsi qu’à des rassemblements. Confronté au succès grandissant de ces discours et rassemblements, le gouverneur Ronald Reagan ordonna la fermeture du parc en mai, et y envoya la Garde Nationale.
Plus de 800 policiers et gardes nationaux – auxquels le directeur de cabinet de Reagan Ed Meese avait donné l’autorisation de faire usage de toute la force nécessaire – attaquèrent 6000 manifestants désarmés en tirant à balles réelles. Une personne fut tuée, une autre rendue aveugle par de la chevrotine, et des centaines furent blessées.
Malgré le soutien apporté par l’université et la ville de Berkeley aux manifestants, Reagan déclara l’état d’urgence et envoya 2700 gardes nationaux supplémentaires. De nombreux manifestants anti-guerre furent arrêtés alors que la ville était assiégée par son propre gouvernement.
    Reagan ne fit preuve d’aucun remords au moment de justifier ses actions, et il présenta même la mort de l’étudiant en ce Bloody Thursday [ndt: jeudi sanglant] comme une nécessité. Le jour anniversaire de cet événement, en mai 1970, il déclara: « S’il faut en passer par un bain de sang, alors ainsi soit-il. Plus d’apaisement. »
Il faisait aussi référence aux événements qui s’étaient déroulés la semaine précédente, le Bloody Thursday étant le précurseur du massacre de l’université de Kent State, où quatre étudiants non armés furent tués et neuf autres blessés par la Garde Nationale de l’Ohio.
Quatre jours plus tard, onze personnes de l’université du Nouveau-Mexique reçurent des coups de baïonnette donnés par la Garde Nationale. Et deux jours plus tard, deux étudiants furent tués et douze autres blessés par la police à la faculté de Jackson au Mississippi. Ces morts et ces blessés provoquèrent une grève nationale de près de quatre millions d’étudiants, et la fermeture de plus de 900 facultés.
    Reagan n’était pas le seul à vociférer « pas d’apaisement ». Lors d’une allocution télévisée donnée ce même mois, Nixon fit porter aux étudiants la responsabilité des morts et des blessés. Il disait en privé que les étudiants étaient les pions du communisme international, et il ordonna l’infiltration accélérée des campus universitaires avec le plan Huston.
Wikipedia a beau raconter que Hoover a mis son veto au plan Huston, personne n’y croit. Des documents déclassifiés démontrent que le FBI et la CIA étaient très investis dans leur action contre les groupes opposés à la guerre, sur et en dehors des campus, et ils le sont encore de nos jours.
Même Wikipedia l’admet sur la page concernant le plan Huston, où il est écrit que bien que le plan ait été « révoqué », nombre de ses dispositions ont malgré tout été mises en œuvre. Avec le recul, on se rend compte que la seule disposition qui n’a pas été mise en œuvre a été la création de camps de rétention pour les protestataires.
    Tout en étudiant le bain de sang supposé qu’ont été les meurtres de Manson, gardez bien en mémoire la déclaration de Reagan ci-dessus. Gardez aussi en tête que les meurtres supposés ont eu lieu à Los Angeles, en Californie, qui n’était pas seulement le berceau d’Hollywood et de Reagan, mais aussi la capitale hippie du pays et l’épicentre de l’opposition à la guerre. Souvenez-vous également que Reagan était un acteur.
Voir la suite à cette adresse :
La conclusion de l’auteur :
En conclusion, nous pouvons dire que ces événements impliquant Tate et Manson sont la plus longue série télévisée produite par les studios de propagande de Lookout Mountain – un peu comme la série de documentaires Seven up! de Michael Apted, mais avec la Famille Manson en lieu et place d’enfants britanniques.
Tout comme l’opération Gladio, ils ont été dirigés et financés par le renseignement militaire, avec Paul Tate agissant en tant que capitaine et Jay Sebring comme lieutenant. Tate a profité de son expérience en Italie pour reproduire les mêmes techniques dans les rues de Los Angeles, y compris sa troublante capacité à se faire passer pour un gauchiste barbu.
Il s’est ensuite servi de sa propre fille comme couverture, comptant sur le fait que personne ne pourrait croire qu’il avait donné son accord pour son assassinat, ainsi que sur le fait que personne ne se rendrait compte que tout avait été simulé. Ça a fonctionné pendant quarante-trois ans, et cela aurait continué ainsi s’ils n’avaient pas laissé les photographies originales de la scène du crime à disposition du public.
Durant quarante-trois ans, ces photos ont été par elles-mêmes un moyen de défense et de manipulation: personne ne voulait les étudier de trop près, et les seuls qui les regardaient étaient des gens fascinés par la mort qui voulaient qu’elles soient vraies.
Les preuves ont ainsi pu être cachées tout en étant bien en évidence. Mais comme vous avez pu le constater, il est cependant possible de retrouver son chemin dans le labyrinthe des fausses preuves et des éléments contradictoires, si l’on est capable de recueillir et d’assembler les faits les plus importants.
Dans ce type d’enquête, il faut avant tout être capable de repérer les signaux d’alerte. Je n’ai effectué quasiment aucune recherche personnelle; je me suis contenté de repérer et de souligner des faits que d’autres avaient relevés sans pour autant s’y attarder.
J’ai ensuite assemblé tous ces signaux d’alerte pour en faire une histoire. Ce n’était pas bien difficile: une fois qu’on a trouvé ces signaux d’alerte, l’histoire se raconte d’elle-même. Les quatre principaux signaux d’alerte suffisent quasiment à prouver la véracité de cette thèse, sans que j’aie besoin d’en rajouter plus que cela.
Dès que nous nous apercevons que Sharon Tate est vivante sur cette photo, que Paul Tate est un colonel du renseignement militaire qui se déguise en hippie, que le Laboratoire de Lookout Mountain se trouve à l’arrière-plan des photographies prises à Cielo Drive, et que Sharon s’est depuis fait passer pour sa sœur, les autres pièces du puzzle s’assemblent d’elles-mêmes.
Et une fois qu’on a compris la méthode utilisée pour ce false flag, on peut appliquer ce que nous savons à d’autres affaires. C’est ce que je vais faire dans le cadre d’essais à venir concernant d’autres événements – dont certains sont encore plus saisissants et sujets à la controverse que celui-ci.

L’ancien secret du svastika et l’histoire cachée de la race blanche (Partie 4)

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Alors que les spécialistes de l’époque de Blavatsky faisaient remonter les origines des aryens dans la région des montagnes du Caucase – d’où le terme « caucasien », inventé par l’anthropologue allemand Johann Friedrich Blumenbach (1752-1840), est entré en usage – Blavatsky faisait remonter la patrie aryenne à l’est du Caucase vers le Tibet, le dénommé « toit du monde », où elle passa des années de recherche.

La première partie se trouve    ici
La deuxième partie se trouve  ici
La troisième partie se trouve  ici



Le déluge qui engloutit l’Atlantide, déclarait-elle, envoya des réfugiés atlantes vers le Tibet de haute altitude, où ils restèrent en sécurité pendant des générations. Les aryens se perpétuèrent lentement ici pour devenir les descendants directs et les héritiers de sang des atlantes. 

                        Carte de l’invasion des aryens en Inde à partir de leur patrie théorique.


Il est intéressant que le philosophe allemand Emmanuel Kant (1724-1804), décrivant le Tibet un siècle avant Blavatsky, nous dise que :

« C’est le pays le plus en altitude. Aucun doute qu’il ait été habité avant tout autre et qu’il pouvait même avoir été le site de toute création et de toute science.
La culture indienne, comme on le sait, est venue presque certainement du Tibet, juste comme nos arts, l’agriculture, les nombres, le jeu d’échecs, etc… semblent être venus de l’Inde»

Emmanuel Kant

Blavatsky considérait les mythes du Déluge – légendes parallèles de catastrophe mondiale après quoi l’homme et la civilisation furent forcés de démarrer à zéro – comme provenant de la vague mémoire culturelle du naufrage de l’Atlantide. Après cette catastrophe une division générale survint. Pas seulement une confusion culturelle de langues ; une division dans la race atlantéenne physique même. La capacité atlantéenne à « garder la vision » de l’âme intérieure se perdit.

Seule « l’idée » de l’âme éternelle subsista – et elle est toujours présente de nos jours. Au cours des millénaires, la race atlante s’éteignit ; Blavatsky maintenait que la race « aryenne » ou « blanche » se perpétua à sa place.
Cette histoire aryenne-atlante fut soutenue au 19ème et au début du 20ème siècle par les érudits et les intellectuels. Le célèbre philosophe autrichien, éducateur et penseur social, Rudolf Steiner (1861-1925) écrivait :

« La plus grande partie de la population atlante déclina et à partir d’un petit groupe descendent les dénommés aryens qui comprennent l’humanité civilisée actuelle. »
Rudolf Steiner, Mémoire Cosmique


Rudolph Steiner


Le congressiste américain Ignatius Loyola Donnelly (!) (1831-1901) écrivit un chapitre intitulé « Les colonies aryennes de l’Atlantide » dans son livre Atlantide : le monde antédiluvien, où il disait :

« La race aryenne…venait-elle de l’Atlantide ? »
« Le centre des migrations aryennes (selon l’opinion populaire)…était l’Arménie. Le mont Ararat également, où l’on dit que l’arche s’était échouée – une autre identification aux régions du Déluge, car il représente le passage habituel de la légende de l’Atlantide par le peuple atlante vers une haute montagne de leur nouveau foyer. »

« Les grecs, qui sont aryens, se savaient descendre des peuples qui furent détruits par le Déluge, comme c’est le cas pour d’autres races clairement aryennes…nous trouvons ci-inclus une autre preuve d’une relation entre les aryens et le peuple atlante…les grecs, race aryenne, dans leurs traditions mythologiques, montrent la relation la plus proche avec l’Atlantide…Nous avons vu que Zeus (Jupiter), le roi de l’Atlantide, dont la tombe a été vue en Crète, devint le dieu grec Zeus. »
« Il y a une autre raison qui fait supposer que les nations aryennes venaient de l’Atlantide. Nous trouvons toute l’Europe…occupée par des nations reconnues comme aryennes. »


Ignatius Donnelly, Atlantide: Le monde antédiluvien, 1882


                           Ignatius Loyola Donnelly.

Lors de la lente disparition des atlantes et la montée des aryens, qui survint sur une période de mille ans, deux changes ou mutations physiologiques se produisirent, selon Blavatsky, dont l’un est très important.


Le Troisième Oeil aryen-atlante


Les atlantes étaient de plusieurs dizaines de centimètres plus grands que nous, mais perdirent de leur taille avec l’affaiblissement de leur spiritualité. La deuxième mutation plus significative empêcha la nouvelle race aryenne de « voir » avec lucidité l’âme intérieure.

Ceci laissa leurs descendants – les humains modernes – incapables de voir ou reconnaître notre propre divinité innée. Blavatsky pensait que les atlantes avaient possédé autrefois cette mystérieuse capacité grâce à l’existence d’un organe énigmatique et lumineux à l’intérieur du cerveau qu’elle appela « L’oeil cyclopéen » ou « Troisième Oeil ».

Étrange et bel appendice, associé au-dessus du front et entre les deux yeux. Alors que nos deux yeux voient l’extérieur des choses matérielles, cet œil unique voit à l’intérieur les questions spirituelles – comme l’âme. Quand les atlantes devinrent aryens, le Troisième Oeil s’atrophia. Blavatsky écrivit :

« le « troisième œil » fut autrefois un organe physiologique, et… plus tard, en raison d’une disparition graduelle de la spiritualité et l’augmentation du matérialisme (la nature spirituelle éteinte par la physique), il devint un organe atrophié. »

Héléna Blavatsky, La Doctrine Secrète, 1888


Bien qu’atrophié, Blavatsky insistait pour dire que les humains modernes, comme nos ancêtres atlantes, peuvent toujours avoir accès à cet organe perdu ; certains scientifiques du 19ème et du début du 20ème siècle ont identifié cet organe comme l’obscure glande pinéale.

Le philosophe français René Descartes (1596-1650) nomma la glande pinéale le « siège de l’âme. » Des portraits avec un seul œil et le troisième œil remontent de plusieurs milliers d’années en arrière, apparaissant dans d’anciens mythes, sculptures, gravures et peintures à travers le monde.



Mosaïque avec un cyclope et son troisième œil dans une villa romaine, Sicile.



Les lecteurs familiers de l’hindouisme se rappelleront que le troisième œil a une longue histoire en Inde, où il est connu comme « urne » ou « trinetra », marqué par un point au milieu du front au-dessus et entre les yeux. Bien que les mystiques et les adeptes parlent souvent de ses mystérieux pouvoirs occultes, à un niveau plus simple il indique une intuition spirituelle, permettant la vision de son âme intérieure – être vraiment éternel :


Statue d’un Bodhisattva du 3ème siècle trouvée de nos jours en Afghanistan. Notez le troisième œil symbolisé par le point sur le front.


L’hindouisme aryen est-il caché à nos yeux pour nous empêcher d’apprendre du lien aryen-atlante à redécouvrir nos pouvoirs inhérents au troisième œil ? 

Les élites nous empêchent-elles d’éveiller notre troisième œil, moyen naturel pour nous permettre de voir notre âme intérieure, reconnaître notre divinité et réaliser notre plein potentiel ?

Le Troisième Oeil est très utilisé en Asie, apparaissant dans des disciplines variées ; il sert dans des pratiques de méditation comme le Yoga et le bouddhisme Ch’an ainsi que les arts martiaux comme le karaté, le qigong et l’aïkido.

Il forme le pinacle de l’enseignement yoga de la Kundalini, avec ses fameux chakras ; le Troisième Oeil ou « ajna » chakra est le 6ème des 7 chakras et est éveillé quand nous équilibrons notre canal solaire « pingala » sur le côté droit de notre corps avec le canal lunaire « ida » sur le côté gauche :

Kundalini Yoga, le yoga du 3ème Oeil. Notez le soleil sur le côté droit et la lune à gauche.




Bien que les orientaux soient bien familiers avec le Troisième Oeil, sa sagesse est totalement étrangère en occident. Y-a-t-il eu un effort conscient pour le dissimuler ?


Les francs-maçons et le secret du Troisième Oeil


Le dessin d’un soleil à droite et d’une lune à gauche et un œil solitaire au milieu est représenté sur les insignes, les croquis et artéfacts des francs-maçons, la plus ancienne société secrète de l’hisoire occidentale. L’oeil unique – c’est à dire le Troisième Oeil – est habituellement dessiné au centre entre le soleil (pingala) et la lune (ida) :

                      Reproduction maçonnique, 1820.

La fraternité maçonnique est-elle le réceptacle de l’ancienne sagesse atlante du Troisième Oeil ? A-t-elle été créée en réponse à l’émergence de la chrétienté comme moyen de protéger la sagesse atlante ?

Une rumeur a longtemps circulé depuis l’antiquité sur les Maçons en tant que gardiens d’un secret blasphématoire et hérétique. Considérons la soudaine persécution des Maçons par l’église catholique, commencée dès le début des années 1700 :

« …avec l’exemple de nos prédécesseurs, nous allons tourner notre attention vers la société maçonnique, à son entière doctrine, à ses intentions, actes et sentiments pour illustrer toujours plus cette force pernicieuse et arrêter l’extension de cette maladie contagieuse… »

Pape Léon XIII, Humanum Genus

Cette condamnation semblerait indiquer que les Maçons sont des hérétiques, propriétaires d’une certaine doctrine religieuse qui contrarie le canon officiel de l’église. Pour de nombreux penseurs et académiciens des 19ème et 20ème siècle, le Troisième Oeil est précisément cette doctrine :

« l’oeil-qui-voit-tout…c’est l’oeil de la franc-maçonnerie, le troisième œil. Alors que je trouve crédible que peu de franc-maçons comprennent leurs propres symboles, le fait demeure qu’ils les utilisent… »

Dr. George Washington Carey, Les merveilles du corps humain,1918

« L’ordre de la franc-maçonnerie reconnaît l’oeil-qui-voit-tout coemme un oeil de grande sagesse, on dit que cette grande sagesse offre aux chercheurs des mystères sacrés la compréhension de l’illumination, la vision intérieure et la connaissance intuitive. Le contact avec cette sagesse se fait par le Troisième Oeil (glande pinéale) situé à l’intérieur du front. »

Dr. Joye Jeffries Pugh, Eden, 2006

« L’oeil commun ne voit que l’extérieur des choses et juge par cela, mais l’oeil qui voit tout transperce et lit le cœur et l’âme, y trouvant des capacités que l’extérieur n’indique ni ne promet, et que l’autre façon ne pouvait détecter. »

Mark Twain, auteur américain célèbre et franc-maçon, 1899

« La grande pyramide est un symbole occulte central qui est souvent représenté avec l’oeil qui voit tout ou le troisième œil à l’intérieur. Sous cette forme il est le symbole de la franc-maçonnerie mystique. »

John Bowlt, Wendy Salmond, et Marie Turbow, La vision peu banale de Sergei Konenkov, 1874-1971

« L’oeil qui voit tout…également emblématique du…troisième œil de l’être humain…a été trouvé parmi les ruines de chaque civilisation… »

Grace Morey, américanisme mystique, 1924


Source: Richard Cassaro, traduction par le Bistro Bar Blog

L’ancien secret du svastika et l’histoire cachée de la race blanche, suite (Partie 5)

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Ce qui suit est la dernière partie ! Grand bravo à Hélios pour tous ses efforts dans la confection d’une traduction propre et inteligente.
La quatrième partie se trouve ici

Hitler et le Troisième Oeil

Il est intéressant qu’ayant accepté nombre d’idées de Blavatsky, les leaders occultes d’Allemagne reconnaissent aussi le Troisième Oeil, et même croient aux explications de Blavatsky de ses anciennes origines atlantes.


On peut trouver des descriptions de l’oeil dans les écrits de plusieurs chefs nazis. Hitler y a fait une référence indirecte dans Mein Kampf (« Mon combat ») :

« Toutes les cultures humaines, tous les résultats de l’art, de la science et de la technologie que nous voyons aujourd’hui, sont presque exclusivement le produit créatif de l’aryen…lui seul fut le fondateur de toutes l’humanité supérieure…il est le Prométhée de l’humanité du front duquel une étincelle divine de génie a jailli de tout temps… »

– Adolf Hitler, Mein Kampf, 1925

La croyance d’Hitler en le Troisième Oeil a été affirmée par Hermann Rauschning, ancien président national socialiste du sénat de Danzig. Dans Hitler parle (Londres 1939), Rauschning écrivait :

« Posséder « la vision magique » était apparemment l’idée d’Hitler sur le but du progrès humain…Il y avait l’oeil des cyclopes, ou œil médian, l’organe de la perception magique de l’infini, maintenant réduit à une glande pinéale rudimentaire. Des spéculations de ce genre fascinaient Hitler et il sera parfois entièrement plongé dedans. »


– Hermann Rauschning, Hitler parle



D’autres preuves de sa croyance en le Troisième Oeil se trouvent dans le livre Conversation secrètes avec Hitler, transcription de dialogues et discussions confidentiels qui se sont passés à son quartier général entre juillet 1941 et novembre 1944, enregistés pour la postérité. Hitler disait :

« Dans toutes les traditions humaines…on trouve mention d’un immense désastre cosmique…de mon point de vue la chose n’est explicable que par l’hypothèse d’une catastrophe qui a complètement détruit une humanité qui possédait déjà un haut degré de civilisation. Les fragments de notre préhistoire sont peut-être juste des reproductions d’objets appartenant à un passé plus distant, et c’est au moyen de ceux-ci, sans doute, que la route vers la civilisation a été redécouverte…. »

– Trevor-Roper, Hitler’s Secret Conversations

La croyance d’Hitler en le Troisième Oeil prouve juste l’importance de l’influence des écrits de Blavatsky en Allemagne avant la montée au pouvoir d’Hitler. Nombre de ses idées sont exactement parallèles à celles de Blavatsky, y compris le logo svastika, l’idée de la primauté et de l’ancienneté de la race aryenne et une civilisation antédiluvienne oubliée hautement sophistiquée.

Des équipes d’anthropologues, d’archéologues et de spécialistes de l’occultisme nazis furent dispersés en extrême-orient, et au Tibet pour découvrir une preuve de l’histoire aryenne. Leurs découvertes ont formé la base des films Indiana Jones, où des officiers nazis sont vus chercher dans des pays oubliés des artéfacts et trésors perdus.(cf aussi le film « Sept ans au Tibet », NdT)

Bien qu’elles soient maintenant oubliées, les théories de Blavatsky – elle décrivait les aryens hindous comme le peuple le plus métaphysique et spirituel de la terre – étaient devenus valables aux yeux de nombreux européens du 19ème et 20ème siècle. Pour eux, c’étaient les aryens qui introduisirent la religion védique hautement spirituelle et l’hindouisme en Inde ; et ce furent les aryens qui conservèrent scrupuleusement leur ancienne pratique ancestrale du Troisième Oeil, organe naturel humain par lequel on est mis en contact avec son âme éternelle.

Décodage du svastika

Les idées de Blavatsky atteignirent indirectement Hitler et les nazis par l’intermédiaire d’un poète viennois, icône occulte de l’Allemagne pré-nazie nommé Guido Von List (1848-1919), selon le Pr Nicholas Goodrick-Clarke, spécialiste de l’ésotérisme occidental à l’université d’Exeter.


Guido Von List (1848 – 1919)

Comme Blavatsky, List était convaincu que les anciens aryens avaient créé un capitale spirituel hautement sophistiqué à travers l’Europe. Il les créditait de la construction d’architectures inhabituelles en Europe, mégalithique et cyclopéenne, basée sur une mystérieuse « technique » dont ils avaient hérité de leurs ancêtres atlantes, qui impliquait l’exploitation d’une force intérieure divine par l’éveil du Cyclope ou Troisième Oeil.


Stonehenge, monument mégalithique anglais.


Suivant l’opinion du philosophe et franc-maçon italien Giordano Bruno (1548-1600), qui fut brûlé vif par l’Inquisition pour avoir refusé de récuser ses visions hérétiques gnostiques, List pensait que l’Ancien Testament, sur lequel sont basées les valeurs éthiques, morales, religieuses et sociales du monde occidental, était un faux enseignement qui avait dissimulé l’authentique et bien plus riche hindouisme, passé spirituel aujourd’hui presque oublié.


Giordano Bruno (1548-1600) grand esprit condamné à mort.


Pour List, l’influence de l’Ancien Testament en Europe éclipsa l’hindouisme d’origine apporté par les aryens. La montée de la toute puissante église catholique donna ensuite à l’hindouisme européen le coup de grâce. Selon Goodrick-Clarke :

« List était attiré par les idées de Giordano Bruno…Bruno avait proclamé que le judaïsme et le christianisme avaient corrompus l’ancienne et véritable religion…qui avait acquis une grande popularité parmi les néo-platoniciens de la Renaissance. Bruno souhaitait aussi une nouvelle dérogation basée sur une redécouverte de l’ancienne gnose. »

– Nicholas Goodrick-Clarke, Les racines occultes du Nazisme, 1992

Pour List, comme pour Bruno, l’Ancien Testament n’est pas un récit juste de l’histoire humaine ; au contraire, l’Ancien Testament a été surimposé sur l’histoire humaine. Comme l’Europe et l’occident ont de tout cœur accepté la Bible, comme si elle était l’héritage de toute l’humanité (et pas seulement l’histoire d’un petit groupe, les Hébreux), les occidentaux ont échoué à reconnaître une histoire bien plus grande, et une sagesse bien plus spirituelle – dont le symbole-clé est le svastika.

Le mot « svastika » vient du sanskrit « su » (bon) et de « asti » (être), signifie « être bon ». L’emblème est formé en croisant deux runes « S » mais en opposition – les runes étant un mystérieux ancien alphabet utilisé autrefois dans le nord de l’Europe – mettant leurs deux formes congruentes en parfait équilibre.


List déclara que les anciens aryens voyaient dans la paire opposée de « S » du svastika la doctrine de la « dualité équilibrée » (c’est à dire soleil vs lune, jour vs nuit, chaud vs froid, etc.). Blavatsky pensait également que les deux « S » symbolisaient toutes les paires d’opposés du monde matériel, très proche du yin yang chinois ou du soleil et de la lune des francs-maçons :

« Un signe double est, comme le sait tout étudiant de l’occultisme, le symbole des principes masculin et féminin dans la nature, du positif et du négatif… »

– Helena Blavatsky, La Doctrine secrète

Elle expliquait que le croisement des deux S signifie unifier les opposés ou les équilibrer en leur donnant un centre commun – en d’autres mots, une auto-réalisation par la découverte de son centre (le point au milieu) entre les deux S opposés (dualité).

C’est précisément la formule sacrée pour éveiller le Troisième Oeil – l’équilibre des opposés (c’est à dire équilibrer le soleil et la lune, ida et pingala, Boaz et Jakin, etc.). L’écrivain et journaliste anglais Perceval Landon (1868-1927), décrivant à son tour ses voyages dans le Tibet du 20ème siècle, expliquait :

« …le svastika…surmonté d’un symbole grossièrement dessiné du soleil et de la lune…marque chaque entrée principale du pays. »

– Perceval Landon, Lhassa: Un récit du pays et du peuple du Tibet central, 1905

Svastika au Tibet, flanqué du soleil et de la lune, Âge de Fer (1300 – 600 avt JC). www.tibetarchaeology.com
Après son arrivée en Inde avec les aryens, le svastika partit plus tard en Chine et au Japon avec l’extension du bouddhisme (un rejeton de l’hindouisme) dans les siècles ultérieurs. 

C’est pourquoi le Bouddha – dont l’apparence au 6ème siècle avt JC vint longtemps après le mouvement des aryens et de l’extension de l’hindouisme – est représenté avec le svastika, méditant les jambes croisées en position de lotus avec un Troisième Oeil éveillé (le point bindi) sur le front. 

En d’autres mots, en utilisant le svastika Bouddha équilibrait ses moitiés solaire et lunaire, éveillant son Troisième Oeil (« Bouddha signifie celui qui est éveillé) : 


Un Bouddha avec le svastika sur son cœur et le point éveillé du Troisième Oeil sur son front – communiant avec son âme intérieure – enseignement majeur de l’hindouisme aryen. 


Il y a, bien sûr, beaucoup plus derrière le symbolisme du svastika, mais sa signification basique est de nous enseigner comment découvrir notre centre intérieur ou le dieu intérieur et d’éveiller notre Troisième Oeil, acte révélant la plénitude de notre être intérieur où toute contradiction et conflit – tous opposés – disparaissent, et où le voile du monde matériel est temporairement soulevé, révélant le Soi ou âme intérieure et nous autorisant à dégager son pouvoir pour parfaire la libération spirituelle.

En conclusion

L’origine de la race blanche est davantage qu’un simple « tabou » pour les académiciens d’aujourd’hui ; elle est interdite et hors-la-loi. Le fait d’en savoir si peu sur ce sujet, et si peu sur l’ancienne religion préhistorique hindoue d’Europe, en est une preuve. De nombreux érudits et archéologues des 18ème, 19ème et du début du 20ème siècles pensaient que la race blanche ou aryenne descendait de la civilisation perdue de l’Atlantide. Cette croyance formait autrefois l’opinion majoritaire académique.

L’élite ne voulait pas que les masses comprennent la croyance historique en un lien possible aryen-atlante parce que la doctrine du Troisième Oeil que nous y aurions trouvé enlèverait complètement le « Dieu » de l’Ancien Testament de l’équation spirituelle en dotant l’homme de la force de sa propre divinité.

Comme vous pourrez le lire dans mon livre « Écrit dans la pierre », les idées de cet essai ne sont pas racistes, mais dans l’intention d’allumer votre curiosité pour les blancs concernant le système spirituel ancestral avec lequel « ils » avaient triché, l’ignorance des blancs pour leur origine spirituelle est vraiment un grand problème et une crise dans le monde d’aujourd’hui. Tous les hommes et toutes les femmes ont spirituellement et physiquement la même origine, et l’humanité est essentiellement une et de la même essence.

La première partie se trouve  ici
La deuxième partie se trouve ici
La troisième partie se trouve ici
La quatrième partie se trouve ici

Source: Richard Cassaro, traduction par le Bistro Bar Blog

Les origines d'Halloween

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L'halloween est probablement une des fêtes les plus populaires chez les enfants. Ces derniers vont de porte en porte, déguisés, afin de collecter des bonbons. Cette coutume ce nomme le "trick-or-treat" et est vieille d'environ 400 ans et cache, derrière les sourires et les rires des enfants, une bien sombre histoire.





À l'origine, il y a plus de 2500 ans, l'Halloween était une fête celtique et se nommait "la nuit du Samhain". Pour les Celtes, le 31 octobre était le dernier jour de l'année, date à laquelle les âmes des morts reviennent sur terre. C'était donc la nuit durant laquelle les Celtes festoyaient, profitaient des festins que leurs procuraient la récoltes et faisaient de nombreux rituels afin de s'assurer que l'année suivante sera bonne.


Durant la nuit, les celtes étouffaient les feux de leurs cheminées et sortaient rejoindre les druides. Ils formaient alors un grand cercle autour des druides qui, symboliquement, étouffaient un feu sur l'autel avant d'en enflammer un nouveau.


Ce rituel symbolisait la fin d'une année, et le début d'une autre. Les druides donnaient finalement des braises du nouveau feu à chacun des chefs de familles, qui s'en servaient pour rallumer le feu dans leurs propres foyers. Ce feu devait protéger la maison toute l'année. Pour protégé les vivants des mauvais esprits, les druides allumaient aussi de grands feux sur les collines et les Celtes qui devaient sortir le soir emportaient avec eux un navet, qu'ils avaient vidé de son contenu, dans lequel se trouvait une chandelle, préalablement allumée avec le feu sacré de la nouvelle année. Pendant les jours suivants, les Celtes festoyaient et portaient des costumes effrayants pour faire peur aux esprits.



Alentour de l'an 900, l'Église catholique décide que le 1er novembre sera la Toussaint, soit, la fête de tous les Saints. En Anglais, cela se dit: All Hallow Day. La Samhain étant la veille de la Toussaint, le nom de cette fête deviendra tranquillement Halloween.

Tranquillement, la culture celte disparaît mais ses traditions survivent. Les coutumes populaires de la Samhain continuèrent à se développer en Écosse, Pays de Galles, dans certaines régions d'Angleterre et tout particulièrement en Irlande.
Nous retrouvons des traces de l'halloween en Irlande aux environs de l'an 1600. Les Irlandais sont les descendants des Celtes et sont très superstitieux. Ils croient toujours que, le soir du 31 octobre, les âmes des morts reviennent sur terre.

Pour se protéger, ils installent devant chaque maison un navet vide avec une chandelle à l'intérieur. Et pour décourager les esprits d'approcher, ils taillent dans le navet un visage qui fera peur aux mauvais esprits. Les enfants sont chargés de récupérés les offrandes pour les morts, et doivent aller de porte en porte pour demander leur dû. Si quelqu'un refuse, les enfants ont le droit de lui jouer des tours, même si cela implique d'être méchant.

Entre 1846 et 1848, une importante vague de famine frappe l'Irlande. Nombreux sont ceux qui quittent le pays vers la terre promise, l'Amérique. Ces derniers s'installent donc au Canada et aux États-Unis, faisant connaître leurs traditions aux américains. Ils découvrent aussi que les citrouilles font de bien meilleures lanternes que les navets!

Citrouille Lanterne, Fée Clochette 


Les enfants à cette époque se déguisaient et revendiquaient des cadeaux aux gens qu'ils croisaient dans la rue. Encore une fois, ils se permettaient de jouer de vilains tours à ceux qui les ignoraient ou qui refusaient de payer leurs dettes envers les morts. Au fil du temps, la coutume s'est américanisée et vers 1930, les enfants allaient de porte en porte pour demander des friandises... 



L'histoire de Jack-O'-lantern


Jack-O'-Lantern est probablement le personnage le plus populaire associé à l'Halloween. Il nous provient d'un vieux conte Irlandais. Jack était un maréchal ferrant ivrogne et malhonnête. Un soir, dans une taverne, il a eu le malheur de bousculer le Diable… Celui-ci a voulu lui acheter son âme, et Jack a accepté en échange d’une dernière pinte de bière.

Le Diable accepta et se changea en pièce de six pence pour payer la boisson. Mais Jack s’empara de la pièce et la glissa dans sa poche, laquelle contenait une petite croix en argent. Le Diable était piégé…

En échange de sa libération, le Malin accepte de laisser à Jack un délai d’un an avant de revenir réclamer son dû. Un an plus tard, Jack croise le Diable sur une route de campagne. Il est l’heure de payer…



Mais encore une fois, Jack se montre plus malin que le Malin! Il lui demande un dernier service : de lui cueillir une pomme. Et tandis que le Diable se tient sur ses épaules, le malicieux maréchal ferrant trace une croix sur le tronc du pommier, piégeant à nouveau le Démon!

Après de rudes négociations, Jack obtint du Diable qu’il ne lui prenne finalement jamais son âme. Bon plan?

Pas vraiment…

A sa mort, Jack se vit refuser l’entrée eu Paradis en raison de sa vie de débauche.

Et le Diable, très revanchard, lui refusa également l’entrée en Enfer!

Le seul cadeau qu’il lui fit fut un bout de charbon ardent qui brûlerait éternellement afin que Jack puisse s’éclairer dans les limbes. Condamné à errer sans but jusqu’au jugement dernier, Jack creusa un navet dans lequel il plaça son morceau de charbon afin de ne pas le perdre, et se mit à parcourir la terre…


Si un jour vous sculptez une citrouille, dites-vous bien qu’en réalité vous tentez d’éloigner un maréchal ferrant Irlandais maudit!

La station spatiale internationale (ISS) serait-elle une gigantesque fraude ?

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Les incohérences et anomalies des vidéos proposées par la NASA concernant l'ISS sont si incroyablement nombreuses que de plus en plus de chercheurs se posent des questions sur la toile.

On ne peut balayer tout ceci d'un simple revers de la main accompagné de belles insultes sans argumenter derrière car même si on admet que la station serait bien réelle, il semble évident que certaines vidéos sont clairement truquées lors de supposées interviews depuis l'ISS, lors de sorties hors de la station etc


Le chercheur Evrard Lancrey a ainsi compilé tout ce qui pouvait ou presque prouver selon lui cette gigantesque fraude de la NASA dans un film d'une heure et trente minutes dont le contenu est également disponible en texte sous plusieurs chapitres pouvant se lire indépendamment des uns des autres.

Le dossier en question à cette adresse : http://www.mensonges.fr/ISSS/ISS.html

Du même auteur, je vous invite également à lire ce dossier concernant les missions Apollo et les voyages sur la Lune : 

http://www.mensonges.fr/lune/lune.html



Le mensonge de la Station spatiale (1h28min)




1 - Qu'est ce que la Station spatiale




2 - Anomalies dans la Station spatiale




3 - La Station spatiale est sale





4 - Les météorites et la Station spatiale




5 - Les radiations et la Station spatiale




6 - On ne peut pas REVENIR sur TERRE depuis la Station spatiale




7 - La NAVETTE Spatiale, ne peut pas revenir sur Terre




8 - Comment font ils ces trucages ?






9 - Pourtant la Station spatiale se voit depuis la Terre





10 - Cette Station spatiale ne SERT à RIEN




11 - Comment tromper autant de monde ?





A lire également :




Le Château de Corail d’Edward Leedskalnin

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Si vous avez été sensible comme moi à l’univers étrange et merveilleux du cinéaste Tim BURTON, qui réalisa entre autres « Edward aux mains d’argent », alors l’histoire du Château de Corail risque fort de vous intéresser, non seulement pour son côté artistique mais également pour le mystère lié à son élaboration.





A propos du film «Edward aux mains d’argent», j’ai longtemps cru que son réalisateur s’était inspiré d’une nouvelle d’Alphonse DAUDET "L’Homme à la Cervelle d’Or " extraite de son ouvrage le plus célèbre « Les Lettres de mon Moulin » . En effet, aussi bien dans le récit de DAUDET que dans le film de BURTON, les deux protagonistes étaient victimes de leur générosité et de la cupidité de leur entourage.

Je me demande maintenant si une histoire vraie n’est pas venue en fait titiller l’imagination du réalisateur : celle d’un autre Edward - Edward LEEDSKALNIN – qui allait consacrer une bonne partie de sa vie à construire de ses seules mains un château de corail, dans le but, paraît-il, d’accueillir une famille, qui n’allait finalement exister que dans ses rêves. D’autant plus que l’esthétique du Château de Corail, de par ses formes insolites et poétiques, n’est pas sans rappeler la vision artistique de Tim Burton.



« J’ai découvert les secrets des pyramides ; j’ai découvert comment les Egyptiens et les constructeurs antiques au Pérou, au yucatan et en Asie, avec seulement des outils primitifs, ont soulevé et placé des blocs de pierre pesant un nombre considérable de tonnes. » 

Voici ce que déclara Edward Leedskalnin pour expliquer la construction de son incroyable parc de roche. Avait-il en effet redécouvert le secret de la lévitation pour déplacer les blocs de corail ? Telle est la question intrigante qu’ont pu se poser tous ceux qui avaient visité le Château de Corail.

Même si je n’ai pas eu l’occasion de visiter physiquement ce site et de ressentir par moi-même la magie qui imprégne ces lieux, l’outil Internet m’a permis de combler en partie ce manque grâce aux nombreux articles que lui ont déjà consacré de nombreux sites WEB américains. A ma connaissance, l’histoire du Château de Corail n’a fait l’objet jusqu’à maintenant d’aucun récit en langue française. Une lacune qui sera comblée avec l’article que vous allez maintenant découvrir.




La genèse.


Edward LEEDSKALNIN ( 1886 – 1951 ) , originaire de Lettonie, était un célibataire venu aux Etats-Unis en 1920 après avoir été rejeté par sa fiancée la veille de son mariage. « Trop vieux, trop pauvre « aurait-elle prétexté. La Rock Star Billy IDOL a d’ailleurs écrit une chanson « The Bonbon Seize « pour évoquer cet amour perdu.

Cet échec sentimental allait devenir la hantise de sa vie et afin, sans doute, de ne pas l’oublier, Leedskalnin entreprit ces constructions dans la roche de corail, qui allaient lui prendre environ 20 ans, de 1920 à 1940. C’est du moins ce que les guides du Château racontent actuellement aux nombreux visiteurs.

Mais avant de commencer son œuvre fantastique, Leedskalnin travailla d’abord, semble-t-il en tant que charpentier au Canada puis comme rassembleur de bétail en Californie et au Texas. Touché par la tuberculose, il rechercha un climat plus chaud et s’installa en Floride juste après la première guerre mondiale dans la ville de Florida City où il acheta un terrain. Il se mit alors en tête de tailler un château de corail qu’il voulut dédicacer à Agnès SKUVST, son ex-fiancée affectueusement surnommée « Bonbon Seize « ( ? en français ).

Après avoir extrait de gros blocs dans la roche de corail qui se trouvait dans la propriété d’un voisin sous une mince couche de terre végétale, il commença par sculpter une chaise puis une table et enfin un château entier. Son plan consistait, pour certains, à devenir si célèbre par l’intermédiaire de son château , qu’Agnès Skuvst, entendrait parler de lui et reviendrait à lui. Ce qui ne fut pas le cas , au moins pour le retour de son ex-fiancée.





Beaucoup d’hommes ont construit de leurs mains leur propre maison mais, chez Leedskalnin, le choix des matériaux de construction est justement ce qui rendit son entreprise si incroyable. A l’aide d’outils fabriqués généralement à partir de pièces automobiles, il a découpé et déplacé des blocs énormes de roche de corail, pesant parfois jusqu’à 30 tonnes et pouvait les mettre en place avec une exactitude étonnante sans l’aide de la moindre machine conventionnelle. 


Et c’est là où réside le mystère comparable à celui des statues de l’île de Pâques ou d’autres constructions cyclopéennes réparties dans les quatre coins du monde. Comment un homme seul travaillant le plus souvent la nuit , à l’abri des regards, mesurant 1m 60 et pesant à peine 50 kg a-t-il pu s’y prendre ?

On estime que 1000 tonnes de roche de corail ont été utilisées dans la construction des murs et des tours. Ajoutez à cela 100 tonnes supplémentaires qui ont été découpées pour des meubles et divers objets absolument remarquables :






Un obélisque de 28 tonnes. 

 
L’obélisque 



Une porte oscillante de 9 tonnes tellement bien équilibrée qu’il suffit d’un très léger contact du doigt pour la faire pivoter. Cette porte n’est maintenue que par une simple tige de fer reposant sur un mécanisme automobile de récupération. 




Autour du parc, des murs de corail hauts d’environ 3 mètres construits en 1940 pour assurer un peu plus d’intimité.

Un cadran solaire remarquable de précision indiquant le déroulement idéal pour toute personne d’une journée de travail. Elle commençait au matin à 9 heures et se terminait à 16 heures.







Une tour, qui était la seule structure fermée du parc, contenant son logement, un atelier, dont Leedskalnin ne permettait pas l’accès. Le logement était constitué d’une chambre à coucher avec deux lits jumeaux pour des enfants qu’il avait espéré avoir, un berceau basculant, un culbuteur, une cuisine extérieure et la salle de bains., le tout en roche de corail. 

Il n’y avait aucune tuyauterie et encore moins de branchements électriques. Bref, Leedskalnin menait une vie des plus austères, se nourrissant de sardines, de biscuits, d’œufs, de lait et de fruits et légumes qu’il produisait lui-même dans un petit jardin. 



Un escalier en pierre en forme de spirale permettait d’accéder à une structure souterraine qui, on le suppose, devait faire office de réfrigérateur.

Un coin de repentance avec une ouverture pour poser la tête de l’enfant puni. Une telle conception pourra peut-être surprendre les jeunes lecteurs mais il faut signaler que l’éducation des enfants au début du 20ème siècle ne rimait pas vraiment avec laxisme. Par ailleurs, cela ne veut pas dire automatiquement que Leedskalnin avait une âme de tortionnaire et voulait réellement en faire usage. Ceux qui ont connu comme moi il y a 30 ans l’épouvantail du martinet ( sans qu’il ne soit utilisé, heureusement ! ) me comprendront certainement.

Plusieurs chaises : la première pour Leedskalnin lui-même, la deuxième pour Agnès ( The Bonbon Seize ), la troisième pour l’enfant qu’ils auraient eu et enfin la dernière ( jugée paraît-il par les visiteurs comme très inconfortable ) pour la belle-mère. Fait curieux : pas une marque simple d’outil n’a été trouvée sur aucune de ces chaises, qui sont maintenant souvent utilisées pour des mariages. Rappelons au passage que le fameux crâne de cristal de Mitchell-Hedges comportait également cette même absence de marques. Des ingénieurs de Hewlett-Packard, malgré une analyse très fine, n’avaient en effet pu relever la moindre marque d’outils pour tailler le cristal.





Une cour de jeu basée sur le thème de Boucle d’Or et les trois ours, à moins qu’il ne s’agisse des chaises précédentes. Cette information reste à vérifier.

Un télescope de 30 tonnes de plus de 8 mètres de haut et parfaitement aligné sur l’étoile du Nord.



                                 Le télescope




Une suite de cercles concentriques toujours en roche de corail censée représenter le système solaire illustrent parfaitement les préoccupations astronomiques et mystiques de Leedskalnin. 





De grands croissants en pierre perchés à plus de 6 mètres de hauteur et symbolisant sans doute la lune. D’autres sculptures ont été construites en référence, paraît-il, à certaines planètes telles Mars et Saturne. Certaines d’entre elles ( je ne sais exactement lesquelles ) se trouveraient ainsi alignées avec la lune, le soleil et l’étoile Polaire. 




En 1936, prétextant des constructions jouxtant sa propriété qui allaient menacer son intimité, Keedskalnin décide de s’installer 16 km plus loin à Homestead. Toutefois, pour certains chercheurs, la raison serait toute autre. Leedskalnin aurait en effet réalisé qu’il avait commis une erreur mathématique dans le positionnement initial de son château qui ne lui permettait pas de tirer profit de la force tellurique de cette zone.

Mais nous reviendrons ultérieurement dans la partie Théories sur ce point. Il va alors réussir le tour de force inouï de transporter en moins d’un mois son château morceau par morceau, ne laissant qu’une tour derrière. Beaucoup de témoins ont assuré avoir vu les blocs de corail transporté sur un camion emprunté mais personne ne semble avoir vu Leedskalnin charger ou décharger le véhicule.

Le propriétaire du camion se contentait de lui apporter le véhicule au soir et de revenir au petit matin pour le conduire, chargé des blocs , à sa nouvelle destination pour le laisser à nouveau jusqu’au lendemain. A chaque fois, Leedskalnin effectuait seul ce travail, au milieu de la nuit, dans une totale discrétion.

En décembre 1951, Leedskalnin, qui assurait la visite de son parc depuis 1923, tomba malade, souffrant vraisemblablement des reins. Il mit sur la porte un panneau indiquant qu’il partait à l’hôpital. Il prit un autobus qui le mena à l’hôpital de Miami. Trois jours plus tard, il mourut dans son sommeil, emportant avec lui ses secrets dans la tombe. Il avait 64 ans. 3500 $ qu’il avait économisés au cours de sa vie furent trouvés dans la Tour.

Après sa mort, un neveu vivant au Michigan hérita du château. En 1953, ce dernier fut vendu à une famille de Chicago qui continua l’exploitation touristique du site. En 1983, un homme d’affaires, toujours de Chicago, Irving Barr, l’acheta en guise de cadeau de noces pour sa jeune épouse, Irène Nemec, de Miami.

En 1984, le Château de Corail fut placé sur le registre national des endroits historiques. Encore ouvert actuellement aux touristes, il continue d’attirer chaque année aux alentours de 65 000 visiteurs. Ultime anecdote : en 1991, l’ouragan Andrews, qui avait ravagé une bonne partie des USA, avait été particulièrement destructeur en Floride mais bizarrement laissa le Château de Corail absolument intact alors que tout autour du site avait été dévasté. 



Par : Joël Baran
Source :  Artivision

Gisors et l’Énigme des Templiers

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En 1962, la publication par Gérard de Sède aux éditions René Julliard du livre « les Templiers sont parmi nous » (réédité chez Plon en 1976 et chez J’ai Lu en 1978) attira l’attention du grand public sur cette petite ville du Vexin à la porte de la Normandie : Gisors. 40 ans se sont écoulés depuis « les révélations » de Gérars de Sède et Gisors garde tout son mystère…



La forteresse de Gisors





Le château de Gisors est l’une des forteresses les plus connues de l’architecture militaire du XIIe siècle. Déjà avant cette date, Gisors (Gisus-Ritum, qui signifierait homme du gué-sur-l’Epte) était un camp retranché dépendant du château de Neaufles-Saint-Martin dans la vallée de l’Epte (ne pas confondre avec Neauphe-le-Château, près de Thoiry). Gisors est l’ancienne capitale du Vexin normand et sa possession donna lieu à des luttes fréquentes entre les Ducs de Normandie et les Rois de France. Trois traités y furent signés entre la France et l’Angleterre en 1113, 1158 et 1180. Blanche de Castille possédait Gisors au XIIIe siècle, puis Blanche d’Evreux au XIVe et Renée de France, fille de Louis XII, au XVIe siècle. Le Comté de Gisors fut érigé en Duché en 1742.




En 1097, Guillaume-le-Roux (fils de Guillaume le Conquérant) et Robert de Bellème entreprirent la construction du « château fort » de Gisors pour défendre la Porte de la Normandie. La forteresse était déjà importante puisqu’une enceinte fortifiée entourait une « Place » de 3 hectares. Capétiens et Plantagenêts se la disputèrent. Louis VII la posséda en 1144, les Normands la reprirent en 1160. Puis, Philippe Auguste profitant de la captivité de Richard Cœur de Lion s’en empara à nouveau en 1193, puis entrepris de gros travaux dont la Tour dite du Prisonnier de 28 mètres de hauteur, avec 3 étages de salles, et 14 mètres de diamètre, les murs ayant 4 mètres d’épaisseur.

Philippe Auguste renforça la « Tour Ferrée » maintenant appelée « Tour du Gouverneur », doubla sa porte et ajouta une tour dite « la Tour Blanche ». L’enceinte générale appelée « chemise » qui entoure le donjon octogonal haut d’une vingtaine de mètres et construit sur une motte artificielle truffée de caves et souterrains. Le donjon – qu’on ne visite plus… – comporte quatre étages que l’on devine par les planchers qui les séparaient et qui ont disparu. La « cheminse » polygonale est renforcée à chaque angle par des contreforts assez plats. Le donjon était relié au dernier étage de la Tour du Prisonnier par des courtines adjacentes.




A noter, à l’étage supérieur de la Tour du Prisonnier, la « Grande Salle » haute de 11 mètres qui est dotée d’une cheminée monumentale à four et d’un puits.

L’étage inférieur, haut de 6 mètres et éclairé de 4 meurtrières, servait de prison, d’où le nom de cette tour. Les graffitis qui ornent les murs intérieurs datent du XVIe siècle, donc bien après le passage des prisonniers Templiers au début du XIVe siècle…La salle médiane de mêmes dimensions que la salle inférieur était ornée de trois archères.

Avant d’être logée dans cette tour ronde, la prison était installée dans la tour rectangulaire, dite du Gouverneur. C’est de là que s’évada en 1375 un prisonnier, Pierre Forget, dont nous aurons à reparler.
Certains attribuent la construction du principal du château de Gisors aux Templiers.




Le rez-de-chaussée et le premier étage du donjon  « octogonal », donc typiquement de construction templière, ont été érigés par Henri 1er, duc de Normandie, les deux autres étages étant l’œuvre de Henri II Plantagenêt qui devint maître des lieux en 1161, après que Louis VII, roi de France, l’ai occupé de 1145 à 1161 sans y faire de travaux. La trace des constructeurs Templiers est attestée sous Louis VII et sous Henri II de 1158 à 1161, mais rien ne prouve qu’ils n’étaient plus présents au moment des grands travaux de Henri II de 1161 à 1184 … bien au contraire, lorsqu’on examine à la fois les travaux faits à cette époque, dans le château et dans l’église Saint Gervais/Saint Protais.




Ajoutons que certains historiens estiment que Philippe le Bel fit enfermer à Gisors en 1314 le Templier Simon de Macy et que le dernier Grand’ Maître de l’Ordre du Temple, Jacques de Molay, y aurait été enfermé également en 1314 avant son transfert à Paris pour son exécution.




De 1375 à 1379, Charles V améliore et entretient le château qui sera repris par les Anglais en 1419 après un siège de trois semaines. Ils resteront à Gisors pendant 30 ans – jusqu’à la prise de possession par Charles VII, qui remettra la forteresse en état. Charles VII construira la Tour du Guet, les Casemates couvertes qui poursuivaient la défense jusqu’à « la Porte des champs » et le rempart de terre.




Au XVIIe siècle, Henri IV utilise Gisors comme base militaire au seuil de la Normandie nourricière… Sully déclassera la Forteresse en tant que place forte et celle-ci se délabrera lentement, n’étant plus entretenue. Au XVIIIe siècle, Gisors est donné au petit-fils du Surintendant Fouquet, en échange de Belle-Isle-en-Mer. En 1809, la Ville acquiert ce qui reste de la propriété et aménage des terrasses, jardins et des promenades dans les ruines du château. En 1840, une glacière est établie dans la partie nord de la motte du Donjon. En 1819, la porte du Bourg avait été démolie et son horloge placée sur la Tour Romane de l’Eglise St Gervais/St Protains, tour détruite en 1940 par un bombardement.

 La ville de Gisors a été en partie démolie en 1944 durant les combats de la Libération. La restauration de ce qui pouvait être réparé est pratiquement achevée. Cependant, le Donjon, dont la Tour Saint Thomas s’est fendue en décembre 1966 (au nord-est et au nord-ouest sous l’effet de pluies intenses, et à la suite de fouilles clandestines…) a du être étayé pour éviter l’écroulement Il repose actuellement sur 15 piles de béton d’un mètre dix de diamètre et de 27 mètres de hauteur. Il est sauvé, mais on ne le visite plus… pour d’autres raisons.


 L’énigme de Gisors


 « Partant de l’aventure pittoresque d’un solitaire illuminé, Roger Lhomoy, gardien du château de Gisors, qui prétend que le fabuleux trésor des Templiers dort dans une crypte secrète du château, Gérard de Sède, en écrivant « les Templiers sont parmi nous », débouche, à travers les Templiers eux-mêmes, sur l’histoire de quarante siècles de tradition ésotérique… » C’est ainsi qu’était présentée la réédition de « l’énigme de Gisors » chez Plon en 1976.


Roger Lhomoy

Mais reprenons l’histoire ésotérique de la construction du château de Gisors qui, par sa situation, constituait les clefs de la Normandie.

En 1101, la garde du château de Gisors était confiée à Thibaut de Payen, qui n’était autre que le fils du Comte Hugues de Chaumont et d’Adélaïde Payen, sœur d’Hughes de Payen, Grand Maître du prieuré Notre-Dame de Sion et premier Grand Maître de l’Ordre du Temple et dont une chronique nous rapporte qu’il rendit visite à son neveu, Thibaut de Payen, à Gisors en 1128.






En 1096 ou 1097, d’après l’Historia Ecclesiastica d’Ordéric Vital, Guillaume-le-Roux confie à Robert de Bellème, Vicomte d’Exmes, Comte de Ponthieu, l’édification du château de Gisors. Or, ce Robert de Bellème était le fils de Roger Montgomery, Grand Maître de la Corporation des maçons britanniques comme l’attesteront plus tard Anderson et Desaguliers lors de l’organisation de la Maçonnerie spéculative anglaise. Robert de Bellème avait pour nièce Marguerite, fille de l’architecte de Gisors, Charles Leufroy. Elle épousera Jean V Plantard, sucesseur des Comtes de Rhedae dont dépendait Rennes-le-Château et dont le « trésor » est aussi, sinon plus, célèbre que celui de Gisors. Leur fils Jean VI se maria en 1156 à Idoine de Gisors. C’est à ce moment-là que les Templiers régnaient sur le Vexin et se voyaient confier le séquestre de Gisors.

A cette même époque, Bertrand de Blanchefort était à la fois Grand Maître de l’Ordre du Temple et Grand Maître du prieuré de Notre-Dame de Sion, détenteur du Secret de Rennes-le-Château. A noter que, depuis 1981, M. Pierre Plantard de Saint-Clair, descendant des Plantard, est Grand Maître du Prieuré de Sion (Note : depuis ce Pierre Plantard de Saint-Clair s’est révélé être un escroc, et « son » Prieuré de Sion n’existait que dans son imagination, tel qu’il le présenta au public par ses écrits).

 En 1177, Henri II d’Angleterre qui avait repris Gisors y rencontra le roi de France, Louis VIII, et son fils, le futur Philippe Auguste. Ce fut la rencontre de l’Ormeteau ferré, du nom d’un très gros orme planté dans un terrain, connu aussi sous le nom du Champ Sacré et situé à l’endroit où se trouve maintenant la gare.

 En 1188 (date gravée sur les armoiries de Gisors), l’archevêque Guillaume de Tyr choisit le Champ de l’Ormeteau pour y prêcher la 3ecroisade. Cette cérémonie est perpétuée dans les armes de la ville par la présence d’une croix, et, de là, date aussi l’érection d’une croix pattée toujours présente.




C’est dans ce même champ de l’Ormeteau « ferré » (on avait dû cercler le tronc pour le consolider) que se déroula un événement dont les conséquences allaient bouleverser l’histoire de l’Occident : le Prieuré de Notre-Dame de Sion, que l’on appelait aussi « les Frères de l’Ormus », renvoya son Grand Maître, Gérard de Ridefort, qui était aussi Grand Maître de l’Ordre du Temple et qui venait de perdre Jérusalem sous les coups de Saladin.

L’attitude de Gérard de Ridefort paraissait suspecte et il fut remplacé à la tête du Prieuré par Jean de Gisors. Le Prieuré décide alors de se séparer de l’Ordre du Temple. La rupture fut consommée en août 1188 par la coupe de l’Ormeteau. « La rupture de l’Orme » est attestée dans un manuscrit de l’époque qui relate : « Hors de la ville, il y avait un orme rond, verdoyant et beau, qui donnait en été un ombrage agréable ; les hommes du Roi, par stupidité, le découpèrent pièce à pièce.

A la Couronne de France, jamais si grande honte n’était advenue ».
Cet Orme nous ramène curieusement à Falaise au lieu-dit « l’Ormeau », à Onzain où un Orme Sacré existait à côté de la Fontaine, près du château, et à Paris où l’Orme des Maçons est perpétué place Saint Gervais. Le point commun entre ces quatre lieux : la présence d’une église dédiée aux frères jumeaux Saint Gervais/Saint Protais.

Comme le fait remarquer Gérard de Sède, l’Eglise de Paris St Gervais/St Protais avait reçu sa charte au XIIe siècle dans le Vexin. Elle était de fait « jumelée » avec celle de Gisors.

Curieux aussi, l’érection du Comté de Gisors en Duché-pairie en 1748 pour le petit-fils de Nicolas Fouquet, ancien surintendant des Finances de Louis XIV et qui appartenait au Prieuré Notre-Dame de Sion.
Enfin, il faut souligner que les Allemands s’intéressèrent de très près à Gisors où, dès 1940, ils avaient installé un atelier de réparation automobile et un dépôt d’essence. En creusant une citerne dans la cour du château, les Allemands découvrirent deux étages de souterrains. Au début de 1944, un plan de fouilles commandé depuis Munich fut décidé.

Il devait investir le sous-sol du donjon et celui de l’Eglise avec la participation d’un ingénieur nommé Meier. Curieusement, selon un témoignage rapporté dans la « France secrète » par Daniel Réju, des fouilles minutieuses furent entreprises dans la Tour de l’Echiquier au château de Falaise à la même époque par deux autres Allemands, le Général SS Kurt Meyer et le Colonel SS Hubert Meyer. Les trois chercheurs étaient homonymes ! Dont le nom (Meyer) signifie « Métayer », « tenancier de la Terre », en Alsacien et en Allemand, mais aussi « Docteur du Talmud » en Hébreu. Or, dans l’Allemagne d’autrefois, les Juifs n’avaient pas le droit d’être cultivateurs…

A Falaise comme à Gisors, les fouilles furent interrompues par la Libération et on ne sait pas ce que les descendants des « Chevaliers Teutoniques » y trouvèrent. A Falaise cependant,  on trouva plus tard dans la Tour de l’Echiquier, au moment de sa restauration, des documents se rapportant au Graal ! … A noter qu’à Rennes-le-Château et à Rennes-les-Bains, les Allemands aussi cherchèrent un secret ou un trésor ? Dans le pays cathare également !… Rennes-le-Château et Rennes-les-Bains ne sont pas très loin de Montségur. Les Allemands cherchèrent aussi quelque chose dans la baie du Mont Saint Michel à un lieu-dit « le port de Gisort ».
L’énigme de Gisors commença dès 1940 ; un autre chercheur clandestin devait l’obscurcir davantage à défaut de vouloir et de pouvoir la percer.




Roger Lhomoy, inventeur du trésor ?

Des écrits anciens attestent la présence sous terre d’une chapelle Sainte Catherine entre le donjon du château et l’Eglise Saint Gervais/Saint Protais. Cette chapelle serait l’œuvre des Templiers. Dans le rapport de l’évasion, le 27 avril 1375, de Pierre Forget (détenu dans la Tour du Gouverneur et non pas dans la Tour du Prisonnier comme indiqué par plusieurs auteurs), il écrit que « Forget rompit une pièce de merrien et fit par force un trou où il passa, puis un autre trou qui entrait dans une chambre près de la chapelle Sainte Catherine en laquelle était l’artillerie du château ».
Un autre manuscrit écrit par un prêtre mort à Gisors, Alexandre Bourdet, comporterait le dessin d’une crypte désignée comme étant celle de la « Chapelle souterraine Sainte Catherine »…
De plus, une lettre du chanoine Vaillant, curé –doyen de Gisors atteste en 1938 sa présence… On sait aussi que, dès 1938, le Cardinal Verdier avait fait des recherches sur les documents relatifs à la Chapelle Sainte Catherine et sur les monuments de Gisors.


 Mais reprenons l’ordre des faits établis :

  • Les troupes allemandes découvrent deux étages de souterrains en 1940
  • Le Sénateur-Maire de Versailles, M. Henry Hayes, après avoir lu un manuscrit intitulé « Histoire d’un pays et d’un jardin » décrivant la crypte de la Chapelle Sainte Catherine, entreprend des fouilles en 1942… sans succès.
  • En 1942, selon une habitante de Gisors, Madame Dufour, un bombardement des alliés aurait mis à jour l’entrée de la crypte, près du  portail nord de l’Eglise St Gervais/St Protais. On y aurait découvert, selon cette dame, un portail orné de deux colonnes magnifiquement sculptées. Cette entrée est immédiatement rebouchée sur ordre des Allemands.
  • Toujours en 1942, selon des témoignages dignes de foi – et pour cause – 27 résistants disparaissent. Ils aurait été fusillés par les Allemands dans une salle secrète, sous le donjon du château.
  • En 1944, dès  le départ des Allemands, Roger Lhommoy, gardien du château, entreprend des fouilles clandestines qui déclencheront « l’Enigme de Gisors ».

Qui est ce Roger Lhomoy ?


Il est né le 17 avril 1904 à Gisors. Il reçut une éducation religieuse au Petit, puis au Grand Séminaire… qu’il quitta après avoir prononcé ses premiers vœux et reçu les ordres mineurs. Il devient jardinier puis fonde une famille, marié, il aura deux enfants. Ce n’est pas un défroqué ; à aucun moment, il ne s’est attiré les foudres du clergé local. Chrétien, il le restera

En 1929, à 25 ans, il est engagé comme jardinier, gardien et guide du château de Gisors qu’il habite, dans une tour restaurée. Durant 15 ans, il en visitera tous les recoins, toutes les entrées, toutes les sorties. Nul mieux que lui en connaît le plan. Il est, bien évidemment, au courant de la légende de la chapelle Sainte Catherine et il a gardé des relations avec les prêtres qui connaissent l’existence de cette chapelle, et tout au moins celle de la crypte. Il est aussi au courant des fouilles entreprises par les Allemands. Aussi, dès le départ de ceux-ci, il se met à creuser à partir d’un endroit précis, sous le donjon. Bien entendu, de ses travaux, il ne parle à personne. C’est la nuit qu’il creuse une galerie verticale de 16 mètres donnant sur une galerie horizontale de 9 mètres et une nouvelle galerie verticale de 4 mètres.  Le tout avec des moyens de fortune. Il s’y cassera même une jambe, remontera, donnera le change, puis, une fois guéri, recommencera à creuser… durant deux ans.

C’est en mars 1946 qu’il fera mention de sa découverte au Conseil Municipal de Gisors réuni au grand complet. Les faits sont rapportés par Gérard de Sède dans « Les Templiers sont parmi nous » dans les termes suivants :

 « Ce que j’ai vu à ce moment-là, je ne l’oublierai jamais car c’était un spectacle fantastique – raconte Roger Lhomoy. Je suis dans une chapelle romane en pierre de Louveciennes, longue de 30 m, large de 9 m, haute d’environ 4,50 m à la clef de voûte. Tout de suite à ma gauche, près du trou par lequel je suis passé, il y a l’autel, en pierre lui aussi, ainsi que son tabernacle. A ma droite, tout le reste du bâtiment. Sur les murs, à mi-hauteur, soutenues par des corbeaux de pierre, les statues du Christ et des douze apôtres, grandeur nature. Le long des murs, posés sur le sol, des sarcophages de pierre de 2 mètres de long et de 60 centimètres de large : il y en a 19… et, dans la nef, ce qu’éclaire ma lumière est incroyable : 30 coffres en métal précieux, rangés par colonne de 10. Ce sont des espèces d’armoires couchées de 2,50 m de long, 1,90 m de haut, 1,60 m de large… »


Croquis de la crypte « inventée » par Roger Lhomoy


Roger Lhomoy n’est pas pris au sérieux. On le croit fou. Emile Beyne, le Commandant de Sapeurs-Pompiers de Gisors, à la demande du maire, accepte cependant de s’introduire dans les galeries creusées par Lhomoy. Il ne parviendra pas à franchir les quatre derniers mètres du second puits… Aucune autre tentative ne sera faite officiellement. Les galeries seront rebouchées par des prisonniers allemands sur ordre de la municipalité qui révoque Lhomoy sans préavis.




GISORS TRESOR DES TEMPLIERSpar Koloborder



Plan de la chapelle souterraine Sainte Catherine



Mais celui-ci obtint le 25 juillet 1946 une autorisation de fouilles du ministère compétent. Avec violence, le maire-adjoint de l’époque refuse à Lhomoy ce que le ministère autorise… Lhomoy attend six ans avant d’obtenir une autre autorisation. En compagnie d’un entrepreneur de travaux publics de Versailles et d’un mécène, il va bientôt recommencer ses fouilles, mais la ville de Gisors pose de telles conditions que Lhomoy et ses amis renoncent, du moins officiellement, car Lhomoy fera encore quelques fouilles clandestines.

En 1959, Lhomoy devenu valet de ferme, fait la connaissance de Gérard de Sède et c’est en 1962 la publication des « Templiers sont parmi nous », livre qui fit grand bruit à l’époque.




Gisors Les Templiers Gérard de Sèdepar Arcadya


On apprend alors l’existence de souterrains reliant l’Eglise St Gervais/St Protais au château de Gisors, souterrains en partie démasqués lors du bombardement de 1942 et promptement rebouchés…

On apprend aussi qu’en 1947, peu de temps après la déclaration de Lhomoy à la municipalité de Gisors, une équipe de terrassiers chargée d’élargir la ruelle reliant le portail nord de l’Eglise à la rue de Vienne «  a découvert un carrefour de souterrains voûtés en plein cintre ». Les bombardements de 1940 et 1942 avaient obturé les galeries. On y trouva cependant quatre sarcophages dont les mesures correspondaient à celles relevées par Lhomoy dans la chapelle souterraine un an plus tôt.

Roger Lhomoy et Gérard de Sède vinrent à « Lectures pour tous » raconter leurs trouvailles. Les autorités archéologiques de la région crièrent au scandale, affirmant que tout ceci n’était qu’affabulations ! Le ministre André Malraux s’en mêla, ordonnant des fouilles officielles avec le concours du génie… Elles dureront trois ans mettant un matériel considérable en place… On coulera beaucoup de béton officiellement pour consolider le donjon… On rebouchera aussi les galeries de Lhomoy.




Gisors 1964par Arcadya


De chapelle souterraine…, de crypte… aucune trace officielle… Lhomoy est un mythomane dira-t-on.

Cependant, quelques années plus tard, le 10 mai 1970, une excavatrice qui creusait une tranchée à Gisors mettra à jour un grand bassin de bronze contenant un trésor : 11 359 pièces de monnaie datant du XIIe siècle et frappées à l’époque où les Templiers étaient les séquestres du château…

Acheté plusieurs millions par l’Etat, ce « trésor » est l’un des plus importants découverts pour des pièces de ce genre. Il se trouve actuellement à la bibliothèque nationale après avoir été exposé en 1973 au Cabinet des Médailles.

Roger Lhomoy est mort en 1976, emportant les autres secrets dont il était dépositaire. Il y a lieu (ce que n’ont pas fait ses chroniqueurs) de rapprocher son nom, Lhomoy, de l’Homme et de l’Orme, encore une coïncidence, dira-t-on.
Encore en 1976, on découvrit à Gisors une crypte de 6 m sur 5 m et 25 m de souterrains orientés vers le donjon du château…

Quant à la mystérieuse chapelle Sainte Catherine de Gisors découverte par « l’illuminé », on a appris récemment qu’elle figurait sur une gravure anglaise conservée… à Paris,  la Bibliothèque des Arts Décoratifs.


 D’autres voies…, d’autres recherches


Si le « trésor » des Templiers paraît avoir été trouvé le 10 mai 1970, il semble bien qu’un autre trésor, que d’autres secrets, philosophiques ceux-là, aient existé à Gisors.

Si les fouilles officielles d’André Malraux, couvertes par le secret militaire, ont abouti officiellement à un échec, elles peuvent très bien avoir occulté d’autres recherches, celles d’archives par exemple, appartenant à la fois à l’Ordre du Temple et au Prieuré de Notre-Dame de Sion toujours actif…

Mais ceci est une autre histoire, aussi intéressante (sinon plus) que celle du château de Gisors. Nous vous la conterons « entre la poire et le fromage » après avoir visité les souterrains, les tours et les jardins du château, ainsi que l’Eglise-Cathédrale Saint Gervais/Saint Protais à Gisors.



Eglise Saint Gervais de Gisors « gisant dela chapelle Saint-Clair ou le Maître Parfait »

Une énigme de plus sous les yeux des visiteurs…



Eglise Saint-Gervais de Gisors, le delta de la Sainte Famille (fuite en Egypte)




Église Saint-Gervais de Gisors, les deux cerfs…réminiscence de Cernunos ou rebus ésotérique?


Sur la piste des chevaliers au blanc manteau…


LE SECRET DE GISORS


UNE ENIGME RESOLUE (?)


 L’Hypothèse de Gorges Ageon


Roger Lhomoy, « inventeur » du Trésor de Gisors, après avoir été «remercié » en 1946 par la municipalité de Gisors qui l’employait, fit une tentative en 1947 pour intéresser à son entreprise le secrétaire du Général de Gaulle qui venait de créer le mouvement R.P.F. ; André Astoux raconte cette démarche dans son livre « l’oubli » paru en 1974 chez Lattès. Roger Lhomoy lui raconta ses fouilles et ses trouvailles…

et demanda une aide pour poursuivre ses recherches avec l’aide d’un entrepreneur de travaux publics de Versailles. Astoux en parle à André Malraux et tous deux se déplacement à Gisors… croyant à la véracité des propos de Lhomoy. Quelques mois plus tard, Astoux et Malraux ne donneront pas suite, considérant alors que Lhomoy est un détraqué !

En 1954, M.Hyest, maire d’une localité voisine de Gisors, et qui avait connu Lhomoy pendant la guerre, l’employait alors dans sa ferme. Lhomoy, selon M. Hyest –dont les propos sont rapportés dans un numéro spécial du Charivari, consacré aux trésors des Templiers et parue en Mars 1974 – avait un sixième sens pour trouver des objets perdus et enfouis dans la campagne, qui dans le Vexin, est riche d’objets archéologiques. Les deux hommes discutaient souvent de Gisors… et M. Hyest ne prenait pas Lhomoy pour un fou… bien au contraire.

Donc, en 1954, M. Hyest et les deux autres archéologues amateurs explorèrent un souterrain partant de la maison de M. Rouët, rue de Vienne à Gisors. Le souterrain se dirigeait vers le château, et venait de l’Eglise St Gervais/St Protais, ayant été bouché à la suite des bombardements de 1940 et de 1944.


                         Partie aménagée pour les visiteurs des souterrains du château de Gisors   



S’aventurant assez loin, les « chercheurs » tombèrent nez à nez avec d’autres « chercheurs » qui déménageaient tranquillement le contenu des sarcophages… Il s’agissait de joyaux mérovingiens et carolingiens dont certains auraient ensuite été fondus en lingots…

Hyest avoue ensuite que, à la suite de pressions, lui et ses amis ne remirent plus le nez dans les souterrains !…
Mais d’où venaient les sarcophanges ? De la chapelle souterraine Sainte Catherine « vue » par Lhomoy ?

Il m’a aussi été dit que, de 1945 à 1970, nombreux ont été les chercheurs solitaires, autant que clandestins, et que certains ont ramassé de petits magots, pas forcément de l’or ou des trésors, mais des objets ayant une valeur archéologique et historique et qui, ainsi, se sont trouvés dispersés.


                                                      Dans les souterrains du château de Gisors…


En 1962, après la parution du livre de Gérard de Sède et le passage de Roger Lhomoy à la télévision, l’opinion publique et les radios s’emparèrent de l’affaire de Gisors. André Malraux était alors ministre des Affaires Culturelles, lui qui, en… 1947, était déjà venu à Gisors avec André Astoux à la demande de Lhomoy… André Malraux fait poser les scellés sur le donjon de Gisors en mai 1962 et, dans une déclaration à la presse, le ministre indique : « il s’agit de fouilles de routine qui n’ont aucun rapport avec les polémiques ouvertes à la suite de la publication du livre « Les Templiers sont parmi nous, ou l’énigme de Gisors… ».

Pourtant, les fouilles principales ont pour but de reprendre les galeries creusées par Roger Lhomoy de 1944 à 1946 et que la municipalité avait fait combler.


                            Eglise Saint-Gervais de Gisors – Des clefs de l’énigme dans la pierre? 


Pendant le même temps, une partie de l’Eglise Saint Gervais/Saint Protais est interdite au public car « des travaux de rénovation, de consolidation et de restauration y sont officiellement entrepris ».

Si les fouilles officielles au pied du château polarisent l’attention des curieux, d’autres fouilles menées par le curé Adeline et un certain Pierre Plantard de Saint-Clair, ami du maire de Gisors, M. Pélisson, et intime d’André Malraux, peuvent se dérouler en toute quiétude avec le bienveillant soutien de quelques habitants de Gisors dont les caves débouchent dans les fameux souterrains.




Mais qui est ce Pierre Plantard de Saint-Clair dont le nom rappelle quelque chose ? C’est un descendant authentique des rois mérovingiens (Note : il fut démontré par la suite que ce monsieur était un usurpateur, il n’était pas descendant des rois mérovingiens ! Mais nous avons laissé ici tel quel l’article, par respect pour l’auteur. A l’époque Pierre Plantard avait réussi à faire croire cela à de nombreuses personnes, dont des gens influents) par Dagobert II.

Il est aussi Comte de Rhedae (voir l’énigme de Rennes-le-Château). Il est aussi l’un des dignitaires de l’Ordre du Prieuré de Notre-Dame de Sion, celui-là même qui se sépara de l’Ordre du Temple en 1188 à Gisors précidément (Rupture de l’Orme). N’oublions pas que pendant plusieurs siècles la Maison Plantard fut liée par mariages successifs au Comté, puis au Duché de Gisors, le dernier en date étant celui de Jean XIV Plantard, qui épousa Marie, Comtesse de Saint-Clair, descendante de Rollon, premier Duc de Normandie.

Mais revenons aux fouilles de Malraux en septembre 1962 qui s’achevèrent le 12 octobre 1962. Ce jour-là, la presse est convoquée et plusieurs personnalités sont présentes, dont Pierre Plantard de Saint-Clair qui agit en tant que conseiller de Roger Lhomoy ! Celui-ci est aussi présent. Lhomoy descend dans ses galleries réouvertes. Le puits s’achève en cul-de-sac. On n’a rien trouvé ; c’est l’échec et la confusion de Lhomoy qui dira plus tard :  « il restait 1,50 mètre à creuser pour touver la Chapelle Sainte Catherine et ses trésors ». Pour tous… ou presque, Roger Lhomoy est fou.

Mais alors, se demandent certains journalistes, pourquoi Malraux, qui savait Lhomoy fou depuis 1947, a-t-il fait creuser 15 ans plus tard à un endroit où l’on savait qu’il n’y avait rien à trouver ?

Philippe Blanc, directeur adjoint du Cabinet du ministre, écrira en réponse le communiqué suivant, publié dans l’Aurore notamment, le 13 octobre, lendemain de la confusion de Lhomoy : « C’est la direction de l’architecture qui a soumis au ministre un projet de fouilles dans le but de faire réapparaître des vestiges de la civilisation. On ne cherchait pas seulement un trésor, mais des fresques ou des fragments d’architecture. M. Malraux a simplement accepté. »


Admirons la teneur de ce communiqué et son écran de fumée… Nous en reparlerons.

Quelques mois plus tard, on peut lire dans le Nouveau Candide daté  du 24 janvier 1963, la question d’un journaliste qui voit une dissimulation dans l’arrête brutal de la campagne de fouilles.

« … Pourquoi a—on refusé à la télévision belge de suivre les fouilles ?… Pourquoi une sérieuse société de production de films qui a déposé au Centre National du Cinéma Français (justement dirigé par André Astoux) une demande officielle d’autorisation de tournage à Gisors ne peut-elle depuis plusieurs mois obtenir du ministère une autorisation ferme ou un refus motivé ?…
Pourquoi la Franc-Maçonnerie semble-t-elle s’intéresser de si près à l’affaire ? Cette Société ne s’alarme pas en général pour de vagues et discutables histoires de sorcellerie ou de trésor. Or, un des plus grands chefs de la Franc-Maçonnerie française a demandé à rencontrer une personne qui s’intéressait de près à l’énigme de Gisors et a tenté de la dissuader de s’intéresser à cette affaire qui «  ne regarde pas la grand public… »

Un sénateur socialiste de l’Allier, M. Georges Boucheron, ainsi qu’en témoigne le Journal Officiel de la République française du 25 janvier 1963, demanda le 13 décembre 1962, à M. le Ministre d’Etat, chargé des Affaires culturelles : « s’il est exact qu’aient été interrompues à 1,50 mètre de l’objectif, les fouilles entreprises au château de Gisors en vue d’identifier l’existence d’une salle souterraine présumée enfermer des biens ayant appartenu aux Templiers. Si, dans le cas où cette information serait exacte, il n’estimerait pas souhaitable de pousser, dans l’intérêt de la recherche historique, les travaux jusqu’à leur terme ». 




La réponse d’André Malraux est ainsi formulée : « Les travaux auxquels se réfère l’honorable parlementaire ne constituent nullement une fouille au sens strict du terme. Il s’est agi essentiellement de vérifier les affirmations d’un ancien gardien du château qui s’est livré, pendant l’occupation, à des explorations clandestines. Les recherches entreprises ont consisté à retrouver les lieux dans l’état même où il les avait laissés, ce qui a été fait sans qu’apparaisse pour autant la moindre trace de salle souterraine. Revenant alors sur de précédentes déclarations, l’auteur des premières fouilles assure avoir rebouché l’orifice d’accès sur une profondeur de 1,50 mètre. Bien que les arguments d’ordre historique laissent très peu de place à la confirmation des hypothèses émises, j’envisage de faire effectuer, avant qu’on ne comble le trou, le déblaiement des dernières couches de terre, afin de lever toute incertitude au sujet de cette affaire. »

Gérard de Sède dans la dernière réédition de son livre chez Jean de Bonnot (1980) fait remarquer, page 348, la contradiction entre la version de Philippe Blanc et celle d’André Malraux. Selon le premier, on a fait des fouilles…, selon le second, il ne s’agissait pas de fouilles… Selon le premier, on cherchait des fresques, selon le second, on cherchait à vérifier les dires de Lhomoy !….

Ce travail final promis par Malraux ne sera entrepris qu’un an plus tard et pour enlever ce mètre cinquante de terre restant, soit au plus quelques mètres cubes, M. Pierre Messmer, alors ministre des Armées, classera le donjon et ses alentours « terrain militaire » et y enverra des éléments importants et les moyens mécanisés du 12e régiment du Génie basé à Rouen.

Les travaux de fouilles commencèrent  le 10 février 1964, furent officiellement terminés le 12 mars 1964. Pourquoi, après les Allemands en 1940, les SS en 1944, l’armée française se déplaçait-elle à Gisors ? Est-ce parce que Templiers et Chevaliers Teutoniques étaient des ordres militaires dont les secrets intéressaient encore la Défense Nationale de deux pays d’Europe ?

Le 12 mars 1962, un communiqué de l’Agence France-Presse annonçait que les fouilles étaient achevées à Gisors et qu’elles avaient donné un résultat négatif.
Quelques mois plus tard, miné par ces fouilles successives et les trous mal rebouchés, le donjon s’affaissait d’un mètre. Il fallut plusieurs années pour le consolider. Bien entendu, si chapelle Sainte Catherine il y a eu, elle est enfouie sous les tonnes de béton qui ont été coulées pour restaurer la motte et le donjon.

Comme expliqué auparavant, on trouvera un trésor de pièces d’argent en 1970, mais dans un autre lieu et, en 1976, on découvrira une petite crypte en aménageant un carrefour routier entre l’Eglise et le château.


Comme l’écrit Gérard de Sède en 1976 :

« – des dépôts précieux se trouvent à Gisors,
– un réseau de constructions souterraines existe sous le château. »

« Ceci dit , ceux qui cherchaient n’ont pas trouvé et ceux qui ont trouvé ne cherchaient pas. Quel jeu étrange, en vérité, que le jeu des souterrains. »

Lhomoy est mort et le temps a commencé à effacer les traces laissées par l’affaire de Gisors qui est maintenant classée.  Mais…

au début de 1981, un article paru dans un journal local annonçait que, le 17 janvier 1981, se réunissait à Blois une société secrète, le prieuré de Sion, pour y élire son Grand-Maître. Le journal expliquait que celui-ci serait élu au sein des 121 grands Dignitaires.

Faut-il rappeler qu’Onzain (et son église St Gervais/St Protais) est situé à 16 km de Blois dont le château recèle bien des mystères aussi… ?

Lors de cette assemblée de Blois, c’est M. Pierre Plantard de Saint Clair, comte de Rhedae qui fut élu Grand-Maître du Prieuré de Sion, et vingt-septième Nautonier de l’Arche Royale par 83 voix sur 92 votants au 3etour de scrutin.

La presse locale ajoutait :


« le choix de ce Grand-Maître marque une étape décisive de l’évolution des conceptions et des esprits dans le monde, car les cent vingt et un dignitaires du prieuré de Sion sont tous des éminences grises de la haute finance et des sociétés internationales politiques ou philosophiques. »


Bien évidemment, le nom de Pierre Plantard de Saint-Clair nous ramène à Gisors, dont Jean de Gisors fut 14e Grand-Maître du prieuré de Sion fondé par Godefroy de Bouillon. Jean de Gisors succédait à Gérard de Ridefort destitué en 1188 lors de la séparation avec l’Ordre des Templiers.

Guillaume de Gisors, Marie et Jean de Saint-Clair furent aussi Grands-Maîtres du Prieuré de Sion qui avait encore, au XVe siècle, une commanderie à Gisors.

Aujourd’hui, le Prieuré de Sion dont les cent vingt et un dignitaires sont répartis en cinq grades et neuf commanderies reste une société initiatique qui laisse à ses membres (il y en aurait en tout et pour tout 243), qu’on appelle des frères libres, dits « preux », toute liberté de pensée.  Selon la revue « inexpliquée », on ignore tout d’eux sauf qu’ils sont des membres très actifs de partis politiques, d’ordres religieux ou maçonniques. Le Prieuré de Sion perpétue la légitimité et le rayonnement mérovingiens. Il n’y a pas si longtemps on pouvait lire dans un bulletin catholique romain au sujet des membres de l’Ordre du Prieuré de Sion : « … les descendants mérovingiens furent toujours à la base des hérésies, depuis l’arianisme, en passant par les Cathares et les Templiers jusqu’à la Franc-Maçonnerie. A l’origine du protestantisme, Mazarin, en juillet 1659, fit détruire leur château de Barbarie datant du XIIe siècle. Cette maison ne donne à travers les siècles que des agitateurs secrets contre l’Eglise… » 


« Inexpliqué » nous apprend aussi que la manifestation publique du Prieuré de Sion, entamée ces dernières années, correspond à l’entrée de l’Univers terrestre dans l’ère du Verseau et que son action ira en grandissant, sa première manifestation étant celle de sortir du secret en annonçant publiquement, et pour la première fois, l’élection de son nouveau Grand-Maître, Pierre Plantard de Saint-Clair.

Charles Nodier, Victor Hugo, Jean Cocteau, auraient été des Grands Maîtres cachés de l’Ordre. Gérard de Nerval, Théophile Gautier, Honoré de Balzac, Claude Debussy, compteraient parmi les Preux…

Nul doute qu’André Malraux n’avait rien à refuser à son ami Pierre Plantard de Saint-Clair et que toutes les fouilles centrées autour de la vraie découverte de Roger Lhomoy n’avaient qu’un but : occulter le trésor philosophique de Gisors représenté par les archives datant de la fondation du Prieuré de Sion, par d’autres objets, d’autres trouvailles, d’autres « trésors ». Ces archives auraient aussi contenu des documents qui révéleraient le vrai rôle de Philippe-le-Bel et de Clément V dans la liquidation des Templiers et de leurs biens.

C’est l’intervention militaire qui aurait permis entre le 24 et le 26 février 1964 à Pierre Plantard de Saint-Clair de déménager, avec l’assentiment du Maire de Gisors et celui de Malraux, ces fameuses archives trouvées dans la Chapelle souterraine de Lhomoy. Elles furent transitées par le souterrain qui reliait le château à l’église, via cette chapelle et qui fut définitivement bétonnée. Juste récompense, M. Pierre Plantard de Saint-Clair devint Grand Maître de l’Ordre dont il avait sauvé et récupéré les précieuses archives. Roger Lhomoy fut dédommagé.

Mais cette énigme résolue de Gisors amène à une autre histoire, passionnante, celle de Rennes-le-Château. Si vous le voulez, je vous la conterai une prochaine fois.



Hommage à Georges Ageon

Par :Bastet

Trois étranges sommets où l’homme n’a jamais posé le pied…

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Commençons par le plus haut des trois, il est de forme pyramidale, il n’a jamais été gravi et ne le sera peut-être jamais, il se situe à la frontière de deux pays, le Bhoutan et la Chine, il est situé à une altitude de 7 570 mètres, mais pourquoi n’a-t-il jamais été gravi ?




C’est le Gangkhar Puensum, littéralement « trois frères de la montagne ».



Gangkhar Puensum


Le Gangkhar Puensum est situé dans le nord du Bhoutan et le sud-ouest de la Chine, à la frontière entre ces deux pays, dans l'est de l'Himalaya. Administrativement, il fait partie du District de Gasa de la zone de développement économique bhoutanaise du Centre et de la préfecture et de la région autonome chinoise du Tibet.

Le sommet principal du Gangkhar Puensum culmine à 7 570 mètres d'altitude, ce qui en fait le point culminant du Bhoutan. Il est couvert de neiges éternelles et de glaciers. En 1922, l'altitude du Gangkhar Puensum est mesurée pour la première fois. Son altitude et sa position sur les cartes restent cependant approximatives, à tel point que la première expédition à tenter son ascension ne parvient pas à trouver la montagne.

Ainsi, d'après un livre publié en 1986 par une expédition britannique, l'altitude serait de 24 770 pieds, soit 7 750 mètres, et la montagne se trouverait entièrement au Bhoutan.

Avec l'ouverture du Bhoutan à l'alpinisme en 1983, quatre expéditions sont menées entre 1985 et 1986, sans succès, bien qu'un de ses sommets secondaires soit gravi depuis la Chine. Depuis 1994 avec l'interdiction de gravir les montagnes du Bhoutan de plus de 6 000 mètres d'altitude pour des raisons religieuses, et depuis 2003 avec l'interdiction de tout alpinisme dans le pays, l'ascension du Gangkhar Puensum est bloquée.

Ainsi, en raison des échecs systématiques de son ascension et de son altitude, le Gangkhar Puensum constitue le plus haut sommet à n'avoir pas été gravi.
Pourquoi en interdire son ascension ? Plusieurs raisons à cela : religieuses en priorité, les locaux considèrent que des élus sacrés y ont élu domicile, et personne ne se risque à déranger les divinités locales qui y vivent. Et le respect du caractère sacré des montagnes dans la culture locale.

Mais aussi écologiques et financières, le pays ne dispose pas de l’équipement nécessaire pour le sauvetage des personnes qui pourraient se blesser ou se retrouver piégées en altitude. D’ailleurs, loin de s’en cacher, les autorités ont fait de cette interdiction, cas unique au monde, un argument touristique.

Coordonnées : 28° 02′ 55″ Nord 90° 27′ 16″ Est.


Le 2e sommet et le Mont Siple, Île de Siple, en Antarctique il culmine à une altitude de ‘’seulement’’ : 3 110 mètres.




Pourquoi il n'a pas été gravi ?Il se trouve au milieu de nulle part, en Antarctique.

A vrai dire, au moins une référence sur le Web dit que le Mont Siple "a probablement été grimpé" -mais il n'y a aucune preuve où quelqu'un pour affirmer avoir réussi. Et pour cause : c'est sur une île sur la côte de l'Antarctique. Donc même malgré le froid, c'est un mont extrêmement dur à atteindre. Ce serait peut-être même un volcan.

Le 3e sommet, est connu des lecteurs du blog, puisque j’en ai fait un sujet il y a peu, il s’agit du mont Kailash, également appelé Gang Rinpoché, c’est une montagne de la chaîne des Himalayas culminant à 6 714 mètres d'altitude.



Cette montagne est le centre de l'univers bouddhiste (chaque bouddhiste aspire à y réaliser la kora, c'est-à-dire en faire le tour) ; c'est aussi un endroit sacré pour les hindous, les jaïns et les bönpos depuis des siècles. Les abords de la montagne divine sont des lieux saints où « les pierres prient ».

Son sommet n'a jamais été gravi.

J’ai remarqué une étrange similitude entre les deux sommets sacrés que sont le Gangkhar Puensum et le Kailash, l’un à la forme de la pyramide rhomboïdale à Dahshour, c’est le Kailash.







Concernant la pyramide rhomboïdale, sa forme particulière en fait pour la théorie officielle une tentative avortée de pyramide à faces lisses, dernier stade de l'évolution des pyramides. Mais est-ce vraiment un échec ? Se pourrait-il que cela soit volontaire de la part des anciens bâtisseurs ? J’ai tendance à le croire…

Elle possède de nombreuses particularités et ressemble par bien des points à la pyramide de Khéops. Elle est munie de deux entrées dont l'une n'est pas située sur la face nord, fait unique dans l’Ancien Empire, et conserve encore la majeure partie de son revêtement, faisant de cette pyramide la mieux conservée de toute l’Égypte.

L’autre à une forme ‘’presque’’ parfaite de pyramide c’est le Gangkhar Puensum, comme la grande pyramide de Gizeh dite de Khéops.







Le parement restant sur les deux pyramides fait indéniablement penser à de la neige sur une montagne de plus !

Ces 4 lieux sont sacrés, ces 4 lieux sont interdits, ces 4 lieux sont protégés, ces 4 lieux se ressemblent…

A propos du 2e sommet dont nous avons parlé, le Mont Siple situé en Antarctique, il paraitrait qu’il y aurait des pyramides sur ce continent glacé, mais ce serait des fakes,  idem pour le trou au pôle, et idem pour les créatures étranges qui vivraient sur ce continent isolé, mais ça c’est une autre histoire…




Source : Le blog de merlin    

Chaque signe du zodiaque est associé à un vice différent. Quel vice êtes-vous?

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Il peut être très facile de commettre un péché, surtout qu’il est présent partout où le regard se porte. Pratiquement personne au monde n’a jamais péché, et ce n’est certainement pas l’effet du hasard.



Notre signe du zodiaque joue un rôle essentiel dans notre vie, surtout en ce qui concerne le vice ou l’immoralité, en fonction de qui vous êtes.

Parfois nos signes du zodiaque suscitent le péché dans nos vies quotidiennes, devenant une habitude que nous ne pouvons pas rompre facilement.

Il est important d’identifier certains de ces éléments qui sont en nous, surtout quand il s’agit du péché.

Bien sûr, il peut être tentant de commettre un péché, mais il y a aussi des valeurs fondamentales telles que la modération. Alors, comment allez-vous dompter le péché auquel votre signe astrologique est le plus susceptible?




Sagittaire + L’adultère     


Le Sagittaire est souvent enclin à être le charmeur le plus sournois. 
La relation intime représente beaucoup de plaisir pour un Sagittaire, mais cela peut aussi signifier qu’il peut être très difficile pour lui d’entretenir des liens à long terme pendant une longue période.

Même quand il est en présence de son conjoint, ses yeux peuvent facilement être baladeurs. Il est difficile de ne pas être taquin, et il peut être aussi difficile de trouver le bon piston. Surtout en déambulant de personne en personne.



Poissons + La paresse



Le Poissons peut avoir l’air d’une personne qui aime un peu trop avoir la tête dans les nuages. Parfois, on dirait que c’est le seul monde qui existe pour lui en-dehors des limites de sa propre expérience.

Toujours en train de rêvasser, en pensant à ce qui pourrait être, vous laissez des occasions vous passer sous le nez pendant que vous continuez à vous déplacer à la même lenteur qu’à votre habitude. Tout cela vous fait adopter une attitude très paresseuse, et vivre dans le moment présent devient quasi impossible.




Gémeaux + La malhonnêteté


Le Gémeaux a la très mauvaise habitude de mélanger des histoires à chaque fois qu’il doit dire la vérité. Peut-être que cela est dû au fait que votre signe astrologique représente deux différents visages et qu’il est fort possible que ceux-ci aient deux différents points de vue sur la même histoire.

Dans tous les cas, vous aimez mentir sur les petits détails aussi bien que sur les choses importantes, surtout si ces détails ne vous mettent pas en valeur. Alors, quelle est la meilleure façon de tout saboter? Le mensonge.



Verseau + L’autoproclamé de Dieu



Les Verseaux aiment croire qu’ils sont beaucoup plus authentiques que tout le monde simplement parce que c’est ainsi que le divin les a crées. Vous aimez vous vanter d’avoir beaucoup plus de sagesse que quiconque.

Apporter une gamme de nouvelles idées et perspectives à votre entourage vous donne un sentiment profond de vous-même. Cependant, en fait, la réalité est tout autre.



Cancer + L’adoration


En étant Cancer, vous avez le sentiment que la personne que vous aimez ou qui vous a séduit est bien au-dessus de tout ce que vous avez connu auparavant. Vous êtes tout le temps là à faire en sorte qu’ils aient tout ce dont ils ont besoin en les soutenant à travers toute sorte d’adversité.

Vous pourriez penser que cela n’a pas l’air d’un péché. Mais pensez-y un instant; vous ne pensez pas par vous-même, vous préférez donner votre vie à quelqu’un qui pourrait la briser en un éclat, sans la moindre hésitation. Faites attention à qui vous adorez.



Capricorne + La cupidité


Le Capricorne a beaucoup de mal à quitter son bureau, et il y a une très bonne raison à cela. Vous êtes un compétiteur et vous faites tout ce qui est en votre pouvoir pour vous assurer que vous êtes la personne qui gagne le plus d’argent dans le milieu du travail.

Vous ne voulez même pas le savourer, vous cherchez juste à étaler votre succès à chaque fois que vous avez la chance de vous attribuer vos victoires. La cupidité vous pousse à faire des choses que vous pensiez impossibles.


Lion + La fierté


A la limite du narcissique, le Lion peut se révéler être l’une des personnes les plus égoïstes en matière de relations personnelles. Vous êtes naturel dans tout ce que vous faites et vous savez comment impressionner les autres avec un simple clin d’œil.

Arrogant et extrêmement imbu de vous-même, il y a des moments où même vos proches ne veulent rien savoir de vous. En fait, vous êtes plus enclin à aider quelqu’un qui recherche un reflet de lui-même dans les yeux d’une autre personne.



Taureau + La gourmandise


Le Taureau pourrait également être considéré comme un certain type de narcissique. Il aime seulement faire des choses qui lui seront bénéfiques sur le long terme.

Que ce soit de la bonne nourriture, des relations intimes, ou un nouveau jouet cher, le Taureau s’en accapare avec des actes malsains de gourmandise. La plupart du temps, vous préférez que toutes ces choses se produisent simultanément juste pour vous livrer aux excès de ce monde.


Vierge + La jalousie


Le signe de la Vierge est extrêmement instableparticulièrement au moment de décider ce qu’il y a de mieux pour lui. Ils cherchent souvent à être au centre des sujets de conversation, surtout pour pouvoir attirer un amant potentiel.

Si vous avez les yeux pour quelqu’un qui ne s’intéresse pas à vous, alors vous aurez tendance à les garder dans votre collimateur; en pensant rudement à votre jalousie invasive que cette personne a quelque chose que vous désirez. Vous n’êtes pas un amant passionné.



Scorpion + La luxure



Le Scorpion est lié à la luxure beaucoup plus qu’aux autres péchés. Cela est dû à leur comportement extrêmement intime avec les autres. Vous menez toujours les gens avec vos mots, et faites en sorte qu’ils entendent tout ce que vous avez à dire, car vous avez un penchant pour la luxure avec les gens.

Cependant, vous n’arrivez jamais à trouver l’amour chez tout le monde. La plupart du temps, vous avez des problèmes avec vos proches par manque d’engagement.



Balance + La vanité


La Balance ne se soucie guère d’autre chose que sa beauté personnelle. Tant qu’ils sont en mesure de regarder dans le miroir et de voir leur beau visage, ils ont tout ce qui leur faut pour continuer dans la vie.

Même si les Balances peuvent passer des heures à se contempler devant leur miroir, elles tentent souvent de travailler sur leur beauté intérieure. Après tout, être beau à l’intérieur comme à l’extérieur est l’une des clés de la réussite, n’est-ce pas?



Bélier + Le meurtre


Le Bélier peut être extrêmement imprévisible et empreint de fureur. Si vous faites face à la colère d’un Bélier, vous aurez très peu de chance de survivre. Le Bélier est non seulement un être intense, mais aussi incroyablement spontané.

Il est si spontané que cela peut souvent provoquer des problèmes. Faites attention au Bélier, et à cette tendance meurtrière, surtout lorsqu’il laisse la rage s’emparer de lui!

Alors, pensez-vous que votre signe astrologique joue un rôle dans votre tendance pour les actes pécheurs? De quelle façon différente vous décririez-vous alors?




Source :  ESM

Les Cités des Cimes

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Nichées le long de la cordillère des Andes, sur l’altiplano de Bolivie et du Pérou, se dressent sept cités antiques construites en pierres géantes, les mystérieuses Cités des Cimes sur le Camino del Inca, le vertigineux Chemin de l’Inca.




La plupart sont si haut perchées que lors du déluge, elles ne furent que léchées par la crête du raz-de-marée. Leurs noms ouvrent les portes dorées du rêve : Cuzco, Tiahuanaco, Quillabamba, Sacsayhuaman, Ollantaytambo, Urabamba, Machu Picchu. Mais il y en a d’autres. On suppose que le chiffre sept a été retenu pour sa valeur symbolique. La version officielle prétend qu’elles sont l’œuvre des Incas, mais les versions officielles sont myopes… Du temps des Incas, il est avéré que les Cités des Cimes étaient déjà très anciennes.

Leurs lointains bâtisseurs les ont voulues indestructibles. Bâties de blocs énormes inextricablement appariés,  elles ont tenu contre vents et raz de marées. Ces places fortes mégalithiques furent les refuges et les laboratoires où les élites pré-diluviennes ont préparé la renaissance de l’après-cataclysme… Là, bien à l’abri de murs cyclopéens, ces surhommes avaient soigneusement stocké du matériel génétique humain, mais aussi animal : c’est le sens caché du mythe de l’arche de Noé, qui se révèle universel.


Les mêmes précautions avaient été prises en d’autres endroits élevés de la planète, également dépositaires d’ADN humain et animal, ainsi que de graines : montagnes iraniennes, mont Olympe, mont Sinaï, Himalaya, etc. Grâce à leur technique de construction, les murs cyclopéens ont pu braver millénaires et  cataclysmes sans tomber en ruine. Leur taille gigantesque les a mis à l’abri des démolisseurs, toujours avides de pierres taillées. Même les séïsmes les ont épargnés.


Les bâtisseurs ont utilisé des blocs énormes soigneusement taillés, polis, ajustés sans mortier et  verrouillés par des queues d’aronde. Certains de ces blocs dépassent les cent tonnes et comportent plus de treize arêtes asymétriques, formant un véritable puzzle en 3D. Quels êtres gigantesques ont pu bâtir ces énigmes colossales ? Quelle force surhumaine, quelle puissance psychique inconnue a permis ce miracle ? Les archéologues et les guides touristiques ont peaufiné une phrase rituelle :



« Les énormes blocs s’emboîtent les uns dans les autres si étroitement qu’on ne peut glisser une lame dans l’interstice. »


Dans chaque dépliant touristique, on y a droit. Les archélogues eux-mêmes nous la ressortent à l’envi, sans que ni les savants, ni les guides ne puissent avancer la moindre solution à cet incompréhensible prodige. La solution, sans doute, n’est pas facile à imaginer. Avant de savoir comment ils ont fait, demandons-nous déjà pourquoi ils se sont donnés toute cette peine ? Là, on hasarde une explication plausible : les Andes sont une zone de séisme, et seuls d’énormes blocs verrouillés peuvent résister.

« L’assemblage en queue d’aronde de ces blocs crée en outre un verrouillage mutuel qui les met à l’épreuve des séismes ; de fait, les nombreux tremblements de terre qui ont dévasté les Andes au cours des siècles derniers n’ont pas entamé le parfait ajustement des blocs alors qu’ils ont abattu par deux fois la cathédrale espagnole de Cuzco. Plus incroyable encore, il ne s’agit pas de pierre locale. Des témoignages font provenir les blocs de carrières situées en Equateur, à 2400 km de là ! » 

Le plus bluffant, c’est l’inconcevable forteresse de Sacsayhuaman que nos archéologues jugent bien trop récente. Childress n’en est pas revenu. Ni moi.


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